Généalogie Charente-Périgord (GCP)

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  • Fureau de Fontenelle, avec Généalogie Charente Périgord

    D’argent au chevron de gueules accompagné de trois canards de sable, posés en deux et un.

    Filiation suivie

    I. — François Fureau, né en 1570, décédé en 1630, sieur de Villemalet, garde des eaux et forêts d’Angoumois, marié avec Jeanne de Rouffignac, d’où : 1° Jean Fureau, qui suit ; 2° Marie Fureau, mariée d’après acte du 14 février 1638 avec Pierre Boissier, sieur de La Fayolle ; 3° Catherine Fureau, mariée d’après acte du 27 août 1649, avec Jean Gervais, garde des eaux et forêts d’Angoumois ; 4° Jacquette Fureau, mariée d’après acte du 17 janvier 1634, avec Louis de Rouffignac, verdier des eaux et forêts d’Angoumois, d’où Renée de Rouffignac, Renée de Rouffignac, mariée avec Armand Gratereau, capitaine du château de Montignac ; 5° Roch Fureau, sieur de Villemalet, marié d’après acte du 1er avril 1644, avec Françoise Vigier, d’où Martine Fureau, mariée avec Louis Frotier-Tizon ; 6° Pierre Fureau, marchand.

    II. — Jean Fureau, sieur de Villemalet, garde des eaux et forêts d’Angoumois, marié avec Marie Cabaud, d’où : 1° Jean Fureau, qui suit ; 2° Antoinette Fureau, mariée d’après acte du 4 septembre 1673, avec François Georget, d’où François Georget, capitaine au régiment de Laval ; 3° Catherine Fureau, mariée d’après acte du 23 novembre 1666, avec Louis Binaud, sieur des Houches ; 4° Jacquette Fureau, mariée d’après acte du 30 avril 1659, avec Pierre Héraud, notaire royal.

    III. — Jean Fureau, sieur de Villemalet, garde des eaux et forêts d’Angoumois, marié d’après acte du 4 mai 1665, avec Anne Levesquot, fille de Michel Levesquot, sieur des Chariers, et Anne Romanet, d’où : 1° François Fureau, qui suit ; 2° Jean Fureau, né en 1668, décédé en 1718, sieur de La Coste.

    IV. — François Fureau, sieur de Villemalet, marié d’après acte du 16 mai 1694, avec Marie Rossignol, fille de Pierre Rossignol, secrétaire du roi, et Marie Delafont, d’où : 1° Pierre Fureau, qui suit. 2° Marie Fureau, mariée d’après acte du 24 février 1721, avec François Gounin, sieur de La Coste ; 3° Marie Fureau, mariée d’après acte du 13 février 1720, avec Jean de La Quintinie, sieur du Cluzeau ; 4° Pierre Fureau, sieur de Villemalet, marié d’après acte du 24 février 1721 avec Marie Gounin, d’où Pierre Fureau, sieur de Villemalet, marié d’après acte du 27 novembre 1759, avec Anne Constantin, d’où Pierre Fureau de Villemalet, né en 1760, décédé en 1795, général de division.

    V. — Pierre Fureau, né en 1702, décédé en 1774, sieur de Fontenelle, marié d’après acte du 3 février 1728, avec Madeleine Frotier-Tizon, fille de François Frotier-Tizon, sieur de La Borderie, et Louise Debord, d’où : 1° Pierre Fureau-Fontenelle, qui suit ; 2° Louise Fureau, mariée d’après acte du 5 août 1749, avec Alexandre Bordet, sieur des Vallons, garde des eaux et forêts d’Angoumois ; 3° Marie Fureau, mariée d’après acte du 9 février 1752, avec Jean Bordet, sieur de La Bauche ; 4° Anne Fureau, mariée d’après acte du 30 juillet 1770, avec François Frotier-Tizon, sieur de La Borderie ; 5° Marie Fureau, mariée d’après acte du 17 février 1778, avec Jean Machenaud, sieur de Beauchamp.

    VI. — Pierre Fureau-Fontenelle, né en 1746, décédé en 1827, juge de paix du canton de Jauldes, maire de La Rochette, marié d’après acte du 12 juin 1772, avec Marguerite de La Faye, fille de Antoine de La Faye, sieur de La Forêt, et Marie Sybille de Verneuil, d’où : 1° Pierre Fureau-Fontenelle, qui suit ; 2° Marie Fureau-Fontenelle, mariée d’après acte du 25 août 1795, avec Jacques Montagné, propriétaire.

    VII. — Pierre Fureau-Fontenelle, né en 1780, décédé en 1858, propriétaire, marié d’après acte du 10 novembre 1810, avec Marguerite Dereix, d’où : 1° Pierre Fureau-Fontenelle, avocat à Cognac, marié d’après acte du 27 septembre 1847, avec Anne Flavie Valleteau de Montboulard ; 2° Jean-Pierre Fureau-Fontenelle, notaire à Xambes, marié d’après acte du 6 décembre 1841, avec Catherine Louise Maulde de La Clavière.

    Archives départementales

    1627-1630. — Bail à ferme par François Fureau, garde des eaux et forêts, de sa métairie de Villemalet.

    1644. — Partage entre Jean Fureau, garde des eaux et forêts, Pierre Fureau, marchand, et Roch Fureau, sieur de Villemalet, frères, des biens meubles et immeubles de la succession de François Fureau, vivant garde des eaux et forêts, et de dame Jeanne de Rouffignac, leurs père et mère.

    Bail à ferme par messire François de l’Isle-Fort, curé de La Rochette, à Pierre Fureau, sieur des Essarts, marchand, de toute la dimerie de la paroisse de La Rochette.

    1649. — Échange d’héritages entre François Boissier, sieur de Grand-Champ, et Jean Fureau le jeune.

    1650. — Provision de l’office de garde des eaux et forêts d’Angoumois, par Diane de France, « fille et soeur légitime de Roys, duchesse d’Angoulême, douairière de Montmorancy, comtesse de Poictiers », en faveur de François Fureau.

    1717-1718. — Transaction entre Pierre Deschamps, écuyer, sieur de Roumefort, et dame Marie Rossignol, sa femme, demeurant ensemble au château de Roumefort, paroisse de Saint Front, d’une part, et demoiselle Marie, autre demoiselle Marie Fureau, Pierre, autre Pierre et Louis Fureau, frères, enfants de ladite demoiselle Rossignol et de feu François Fureau, son premier mari, décédé en 1705, d’autre part, au sujet d’intérêts communs aux parties.

    1721. — Contrat de mariage entre : François Gounin, sieur de La Côte, fils de feu Raymond Gounin et de dame Jeanne Héraud, d’une part, et demoiselle Marie Fureau, fille de feu François Fureau et de dame Marie Rossignol, d’autre part.

    1765. — Quittance d’une somme de 830 livres par Michel Sureau, sieur du Cluzeau, et demoiselle Marie Fureau, sa femme, à Pierre Fureau, sieur de Villemalet, et à demoiselle Anne Constantin, sa femme.

    1766. — Bail à ferme par maître Jean-Joseph Pinaud, subdélégué du Bureau des finances, au nom et comme procureur de monsieur Jean Caminade, seigneur engagiste des domaines du Roi, demeurant à Angoulême, à Pierre Fureau, sieur de Fontenelles, de tous les droits appartenant au dit seigneur sur Le Fief-Coutaud, paroisse d’Agris.

    Ratification par demoiselle Madeleine Frotier-Tizon, femme de Pierre Fureau, sieur de Fontenelle, de la vente consentie par ledit Fureau au profit de Charles et Pierre Guillon, marchands, d’une somme de 2,648 livres.

    Vente par Jean Goyon, praticien, à Pierre Fureau, sieur de Fontenelle, et demoiselle Frotier-Tizon, sa femme, d’une pièce de pré sur La Tardoire, relevant du chapitre de La Rochefoucauld.

    Bibliothèque généalogique

    • Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1995.

    Le département de la Charente a donné 15 généraux aux armées de la lère République. Pierre Fureau dit Villemalet, nom de son village natal, est l’un d’eux. Les Fureau étaient nombreux en Angoumois surtout dans les paroisses de la Rochette, d’Agris ou de Coulgens ; ils étaient roturiers en dépit de ce qu’a écrit sur cette famille, le curé Beau, desservant Coulgens et la Rochette. Ils ont toujours payé leurs tailles, signe de roture : ils étaient marchands, prêteurs d’argent, agents d’affaires, on disait alors praticiens ; ils avaient acheté des charges, notaires ou gardes des eaux et forêts. Vers 1700, ils avaient acheté avec un de leurs amis d’Agris, des droits seigneuriaux en Braconne ; c’est peut-être là, l’origine de cette soi-disant noblesse ; en tout cas ces droits lui furent remboursés par l’administration royale.

    De nos jours encore, les habitants du village, pensent qu’ils étaient nobles, MM. de Villemalet. Ils étaient alliés à des familles nobles des environs (les Crozan par exemple), en épousant des jeunes filles nobles aux parents fort désargentés ; ils avaient même leur blason d’argent au chevron de gueules accompagné de trois canards de sable posés en 2 et 1. Il n’était guère difficile d’en posséder un au XVIIIe siècle ; il en coûtait 20 livres tout simplement. Les Fureau possédaient quelques terres et métairies avec fermiers, en somme ils étaient des notables, des bourgeois et fiers de l’être, ce terme n’ayant pas la connotation péjorative qu’il prendra par la suite. On les nommait Messieurs de Villemalet.

    Au milieu du XVIIIe siècle, deux branches principales de cette famille vivaient à la Rochette ; les Fureau de Villemalet, le village, et les Fureau de Fontenelle (lieu-dit près de la Braconne), également au même village ; ces derniers ont habité en face de leurs cousins.

    Notre futur général était le fils d’un de ces MM. de Villemalet. Son père, Pierre, né en 1726, avait épousé en 1759 Marie-Anne Constantin-Beauregard, sa cousine ; ils vécurent à Villemalet ; leur maison existe encore : c’est la dernière sur la droite en quittant le village sur la route d’Agris, maison bourgeoise, classique, avec un beau pigeonnier. Pierre et Marie-Anne eurent sept enfants, tous nés dans le village. Leur premier né, également prénommé Pierre, né le 20 mars 1760 est le futur général dont le père fut un des représentants du district de La Rochefoucauld, à la fête de la Fédération le 14 juillet 1790.

    Le futur général a certainement fréquenté l’école paroissiale tenue par le curé Jordain, homme très cultivé et excellent prêtre ; nous n’avons aucune preuve qu’il eut complété son éducation aux collèges de La Rochefoucauld ou d’Angoulême. Ses écrits ultérieurs sont ceux d’un homme de bonne culture.

    Désireux de s’élever dans l’échelle sociale et de faire une carrière militaire, il s’engage à 22 ans, le 22 juillet 1782, dans l’armée royale aux chasseurs à cheval du Languedoc, plus tard 6eme chasseurs à cheval. Le 16 janvier 1785, nous le trouvons caporal au bataillon de chasseurs des Ardennes. Il est congédié avec ce grade, le 1er octobre 1789 à Monaco, presque huit années de service pour un bien maigre avancement. Pierre Fureau était victime de la détestable ordonnance du ministre de la guerre, le maréchal de Ségur, réservant les grades d’officiers dans l’infanterie aux possesseurs de quatre quartiers de noblesse.

    Il quitta donc l’armée, le cœur plein d’amertume, ce qui explique son engagement politique ; il s’inscrit à la société populaire de Ruffec et adopte les idées nouvelles « apportées par le vent d’Amérique ».

    Liens web

    Les bourgeois… et fiers de l’être.

  • Avant d’étudier les tombes qui se voient encore dans le cimetière de Vilhonneur, nous croyons devoir parler du mausolée du chevalier de Chambes, jadis placé derrière le chevet de l’église (1), autour de laquelle existait anciennement un cimetière, si l’on en juge par des fragments de dalles visibles aux abords de l’église, et dont quelques-uns même ont servi, il y a peu de temps, à réparer une portion du mur extérieur de l’absidiole gauche.

    Cette pierre tombale est connue, ainsi que l’inscription qui l’accompagne, inscription dont M. Babinet de Rencogne a donné la véritable interprétation (2); néanmoins la description complète du monument est utile, parce que d’abord elle a été imparfaitement faite, puis parce qu’elle nous servira de terme de coniparaison pour déterminer l’âge de l’une des tombes du cimetière.

    Malgré les mutilations qu’elle a éprouvées, la pierre tombale du chevalier Pierre de Chambes mesure 1m 70 de long sur 0m 70 de large; la statue, dont les bras et les jambes ont disparu , offre une longueur de 1m 30; son relief maximum est de 0m 25.

    Le chevalier est couché sur le dos; la tête repose sur un coussin. Les dégradations de cette partie ne nous permettent pas d’être aussi affirmatif que M. l’abbé Michon (3) et son copiste M. F. Marvaud (4), et de dire qu’elle est casquée. Les bras devaient être repliés sur la poitrine, d’après les faibles traces qui l’indiquent; il est vêtu de la cotte d’armes sende de fleurs de lys seulement à la partie inférieure, c’està-dire à partir des courroies qui soutiennent l’épée, ce qu’Adrien d’Averton (5) appelle la ceinture militaire.

    Sur le côté gauche on lit l’inscription suivante, que nous avons reproduite avec les caractères de l’époque sur les planches ci-jointes :

    DE CHAMBIS DICTUS PETRUS EST TELLURE RELICTUS
    QUEM SI CHRISTE PLACET TIBI VIRGO PIISSIMA PLACET
    PRETERIENS POSCAT CHRISTUM QUOD PACE QUIESCAT
    CUM SANCTIS ANIMA NEC INFERNI SCIAT YMA, AMEN.

    Ce mausolée date du XIIIe siècle. C’est en 1256 que le chevalier Pierre de Chambes vint occuper sa sépulture derrière le chevet de l’église de Vilhonneur (6).

    Le cimetière ne contient qu’une tombe digne de fixer l’attention. Conime celles de Pranzac, elle est de forme hexagonale; elle mesure 0m 80, le dessus 0m 28, les pans coupés 0m 32 et les côtés 0m 30. Sa hauteur totale est de 0m 55.

    Le dessus, les deux extrémités, un côté et un des pans coupés seuls sont sculptés.

    Le dessus présente dans son milieu une croix pattée inscrite dans un cercle; de chaque côté sont trois fleurs de lys séparées par des bandes en pal, composées d’échiquiers, dans lesquels sont sculptés en relief des fleurons à huit divisions.

    Les deux extrémités du pan coupé sont ornées des mêmes fleurons à huit divisions et de deux arcatures plein cintre supportées par des colonnettes; l’espace laissé libre par cette ornementation est rempli par quatre écus en pointe, portant chacun trois fleurs de lys; en dessous et à côté, on voit aussi un semis de fleurs de lys.

    Le côté, portant deux bandes de fleurons, comme sur les faces précédentes, est orné de deux rangs d’arcatures romanes superposées, portées par des colonnettes et au nombre de trente. Quatre arcades semblables se remarquent au bout correspondant aux pieds, ainsi que deux fleurons au-dessus; l’extrémité répondant à la tête, indépendamment de ces ornements, porte une croix pattée et emmanchée.

    Comparée à la pierre tombale du chevalier de Chambes, cette tombe remarquable s’en rapproche par quelques-uns de ses détails et principalement par les fleurs de lys qui, là comme sur la cotte d’armes, ont identiquement la même forme caractéristique du XIIIe siècle.

    Cette identité est d’autant plus frappante, que sur l’un comme sur l’autre monument elles traduisent les armes de la famille de Chambes.

    D’un autre côté, la présence de ces deux tombes dans la même localité autorise à dire, sans crainte de faire fausse route, que cette pierre tombale doit être celle d’un membre de la même famille.

    Nous citerons seulement pour mémoire deux autres tombes où l’on voit les traces d’arcades plein cintre et de fleurons à huit divisions. Ces tombes ont été en partie retaillées, elles recouvrent maintenant la dépouille de deux habitants de Vilhonneur et portent des inscriptions modernes à l’orthographe quelque peu hasardée.

    Alphonse Trémeau de Rochebrune

    Notes :

    1. M. Sénemaud, alors secrétaire de la Société archéologique de la Charente, communiquait, à la séance du 10 septembre 1862, une lettre de M. le curé de Vilhonneur, par laquelle il faisait don au musée de la pierre tombale du chevalier de Chambes. Aujourd’hui, le monument est déposé au musée, et la Société décidait qu’une inscription, destinée à perpétuer le souvenir du monument et du don qui en avait été fait, serait placée par ses soins derrière le chevet de l’église.
    2. Société archéologique de la Charente, procès-verbal de la séance du 27 juillet 1868.
    3. Loc, cit.
    4. Rép. archéol., loc. cit.
    5. Abécédaire (arch, relig.), p. 556.
    6. Procès-verbal des séances de la Société archéologique de la Charente, Bull. 1862, t. IV, 3. série, p. 190.

  • Chronique familiale de Junien DU ROUSSEAU de MARENDAT, FERRIÈRE & CHABROT.

    L’histoire de Junien et de ses descendants a été établie sur 7 générations.

    Génération.1

    Junien DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Jean DU ROUSSEAU, Seigneur de Marendat et de Paule de BÉRANGER. Junien sera Seigneur de Marendat. Il s’unit avec Marie COURAUDIN -, la fille naturelle et légitime de Pierre COURAUDIN et de Christine BAUDOUIN. Ce couple aura sept enfants : – Jacques. – François. – Christine. – François. – Jean. – Junien. – Marguerite. Ils se marient en 1540. Note : « 1538. Non Me Derelinquas Usquequaque. Du Rousseau ». Inscription en latin gravée dans la pierre, dans l’église de Montbron en Charente. Cf. Psaumes 119:8-11 (Bible). 

    Génération.2

    1

    Jacques DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Junien DU ROUSSEAU, Seigneur de Marendat et de Marie COURAUDIN. Jacques sera Seigneur de La Vue. Il s’unit avec Suzanne de CHASTEIGNER -, la fille naturelle et légitime de René de CHASTEIGNER et de Claude de SALIGNAC. Ce couple aura trois enfants : – Charles. – René. – Paule. Ils se marient en 1600. 

    2

    François DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Junien DU ROUSSEAU, Seigneur de Marendat et de Marie COURAUDIN. François sera Seigneur de Sainte-Catherine. Il s’unit avec Jeanne de DEVEZEAU -, la fille naturelle et légitime de Jacques de DEVEZEAU et de Marguerite de COULONGES. Ce couple aura trois enfants : – Charlotte. – François. – Françoise. 

    3

    Christine DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Junien DU ROUSSEAU, Seigneur de Marendat et de Marie COURAUDIN. Elle s’unit avec Pierre DU SOUCHET -, Juge de Montbron, le fils naturel et légitime de François DU SOUCHET et de Catherine FRICAND. Ce couple aura trois enfants : – Jacques. – Jean. – Pierre. Ils se marient en 1564. 

    4

    François DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Junien DU ROUSSEAU, Seigneur de Marendat et de Marie COURAUDIN. François sera Seigneur de Coulgens. Il s’unit avec Jacquette BAJOT -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura trois enfants : – Pierre. – Jean. – Marie. Ils se marient en 1586. 

    5

    Jean DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Junien DU ROUSSEAU, Seigneur de Marendat et de Marie COURAUDIN. Jean sera Seigneur de Ferrière. Il s’unit avec Jeanne FROTIER -, la fille naturelle et légitime de Pierre FROTIER et d’Yolande de VOYER. Ce couple aura un enfant : – Gabriel. Ils se marient en 1589. 

    6

    Junien DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Junien DU ROUSSEAU, Seigneur de Marendat et de Marie COURAUDIN. Junien sera Seigneur de Ferrière. Il s’unit avec Claude AUDOUIN -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Jacques. – Jacquette. Ils se marient en 1587. 

    7

    Marguerite DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Junien DU ROUSSEAU, Seigneur de Marendat et de Marie COURAUDIN. Elle s’unit avec Charles GAUBERT -, Seigneur du Poirier, le fils naturel et légitime de François GAUBERT et de Jeanne de COUSTIN. Ce couple aura deux enfants : – Pierre. – Paule. Ils se marient en 1581. 

    Génération.3

    1.1

    Charles DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Jacques DU ROUSSEAU, Seigneur de La Vue et de Suzanne de CHASTEIGNER. Charles sera Seigneur de La Vue. Il s’unit avec Catherine de BERMONDET -, la fille naturelle et légitime de Daniel de BERMONDET et de Jeanne de CHAMPLAIS. Ce couple aura deux enfants : – Magdeleine née en 1635. – Isabeau née en 1639. Ils se marient en 1633. 

    1.2

    René DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Jacques DU ROUSSEAU, Seigneur de La Vue et de Suzanne de CHASTEIGNER. René sera Seigneur des Granges. Il s’unit avec Jeanne de MAGNAC -, la fille naturelle et légitime de François de MAGNAC et de Jeanne de RAYMOND. Ce couple aura deux enfants : – Jean. – Jacquette. Ils se marient en 1629. 

    1.3

    Paule DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques DU ROUSSEAU, Seigneur de La Vue et de Suzanne de CHASTEIGNER. Elle s’unit avec Gabriel de LA PISSE -, Seigneur des Brosses, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – René. Ils se marient en 1629. 

    2.1

    Charlotte DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de François DU ROUSSEAU, Seigneur de Sainte-Catherine et de Jeanne de DEVEZEAU. Elle s’unit avec Charles de CORGNOL -, Seigneur de Beauregard, le fils naturel et légitime de Philippe de CORGNOL et de Louise DUMAS. Ce couple aura un enfant : – Philippe. Ils se marient en 1623. 

    2.2

    François DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de François DU ROUSSEAU, Seigneur de Sainte-Catherine et de Jeanne de DEVEZEAU. François sera Seigneur du Mas. Il s’unit avec Jacquette de ROFFIGNAC -, la fille naturelle et légitime de Gaspard de ROFFIGNAC et de Jeanne SEGUIN. Ce couple aura deux enfants : – René. – Jeanne. Ils se marient en 1632. 

    2.3

    Françoise DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de François DU ROUSSEAU, Seigneur de Sainte-Catherine et de Jeanne de DEVEZEAU. Elle s’unit avec Georges de MALET -, Seigneur de La Jorie, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura trois enfants : – Georges. – Antoine. – Marie. Ils se marient en 1640. 

    3.1

    Jacques DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime de Pierre DU SOUCHET, Juge de Montbron et de Christine DU ROUSSEAU. Jacques sera Sieur de Villars. Il s’unit avec Marguerite de LAGE -, la fille naturelle et légitime de François de LAGE et de Marguerite ARNAUD. Ce couple aura cinq enfants : – Marie. – Pierre. – Denis. – Anne. – Marguerite. Ils se marient en 1590. Note : Sieur de Villars (Garat) et de L’Isle (d’Espagnac), sénéchal du comté de Montbron. « D’or à une souche de sinople d’où sortent trois rameaux de même, à trois étoiles d’azur en chef ». 

    3.2

    Jean DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime de Pierre DU SOUCHET, Juge de Montbron et de Christine DU ROUSSEAU. Jean sera Sieur de Puymiraud. Il s’unit avec Xx XX -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura trois enfants : – Pierre. – François. – Alexandre. Note : Descendance de Sallegourde et de Grissac. 

    3.3

    Pierre DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime de Pierre DU SOUCHET, Juge de Montbron et de Christine DU ROUSSEAU. Pierre sera Avocat. Il s’unit avec Françoise AVRIL -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient en 1592. 

    4.1

    Pierre DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de François DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et de Jacquette BAJOT. Pierre sera Seigneur de Coulgens. Il s’unit avec Charlotte REMPNOULX (-1673), la fille naturelle et légitime d’Antoine REMPNOULX et de Charlotte SEICHÈRES. Ce couple aura deux enfants : – Charles né en 1637. – Gabriel né en 1641. Pierre DU ROUSSEAU est décédé le mardi 9 juin 1654, à Coulgens (16). 

    4.2

    Jean DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de François DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et de Jacquette BAJOT. Jean sera Seigneur de Berneuil. Il s’unit avec Marguerite DU NOURRIGIER -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Jean. 

    4.3

    Marie DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de François DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et de Jacquette BAJOT. Elle s’unit avec Léonard SEICHÈRES -, Seigneur de La Besse, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. 

    5.1

    Gabriel DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Jean DU ROUSSEAU, Seigneur de Ferrière et de Jeanne FROTIER. Gabriel sera Seigneur de Séchère. Il s’unit avec Léonarde REMPNOULX -, la fille naturelle et légitime d’Antoine REMPNOULX et de Charlotte SEICHÈRES. Ce couple aura six enfants : – Jacques né vers 1645. – Jean. – Léonarde. – Marie. – Marie Denise. – Gabrielle. Ils se marient en 1628. 

    6.1

    Jacques DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Junien DU ROUSSEAU, Seigneur de Ferrière et de Claude AUDOUIN. Jacques sera Seigneur de la Forest-Marendat. Il s’unit avec Jeanne SAPINAUD -, la fille naturelle et légitime de Jean SAPINAUD et de Jeanne de SAINT-ASTIER. Ce couple aura trois enfants : – Jacques. – Louise. – Charlotte. Ils se marient en 1634. 

    6.2

    Jacquette DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Junien DU ROUSSEAU, Seigneur de Ferrière et de Claude AUDOUIN. Elle s’unit avec Marc de MAGNAC -, Seigneur de Mazerolles, le fils naturel et légitime de François de MAGNAC et de Jeanne de RAYMOND. Ce couple aura un enfant : – Raymond. Ils se marient en 1616. 

    7.1

    Pierre GAUBERT. Il est le fils naturel et légitime de Charles GAUBERT, Seigneur du Poirier et de Marguerite DU ROUSSEAU. Pierre sera Sieur du Poirier. Il s’unit avec Elisabeth VIGIER -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Charles. Ils se marient en 1618. 

    7.2

    Paule GAUBERT. Elle est la fille naturelle et légitime de Charles GAUBERT, Seigneur du Poirier et de Marguerite DU ROUSSEAU. Elle s’unit avec Fabien de BÉON -, Sieur de Bière, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient en 1612. 

    Génération.4

    1.1.1

    Magdeleine DU ROUSSEAU est née le jeudi 1 février 1635 à Montbron (16). Elle est la fille naturelle et légitime de Charles DU ROUSSEAU, Seigneur de La Vue et de Catherine de BERMONDET. Magdeleine sera Célibataire. Magdeleine DU ROUSSEAU est décédée le samedi 31 janvier 1711, à l’âge de 75 ans, à Montbron (16). 

    1.1.2

    Isabeau DU ROUSSEAU est née le mercredi 27 juillet 1639 à Montbron (16). Elle est la fille naturelle et légitime de Charles DU ROUSSEAU, Seigneur de La Vue et de Catherine de BERMONDET. A sa naissance, elle a une soeur Magdeleine (née en 1635). Isabeau sera Célibataire. Isabeau DU ROUSSEAU est décédée le jeudi 6 avril 1713, à l’âge de 73 ans, à Montbron (16). 

    1.2.1

    Jean DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de René DU ROUSSEAU, Seigneur des Granges et de Jeanne de MAGNAC. Jean sera Seigneur des Granges. Il s’unit avec Marie de COUHÉ -, la fille naturelle et légitime de Pierre de COUHÉ et de Jeanne de MASCUREAU. Ce couple aura cinq enfants : – Gabrielle née vers 1678. – Catherine née vers 1691. – Jeanne née vers 1692. – Martial né vers 1700. – Henriette. Ils se marient en 1679. 

    1.2.2

    Jacquette DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de René DU ROUSSEAU, Seigneur des Granges et de Jeanne de MAGNAC. Elle s’unit avec Jacques BECHEMEIL -, Sieur de Boisgenty, le fils naturel et légitime de Sébastien BECHEMEIL et d’Anne VEYRET. Ce couple aura deux enfants : – Gabriel. – Jacques. Ils se marient le lundi 4 septembre 1679 à Lésignac-Durand (16). 

    1.3.1

    René de LA PISSE. Il est le fils naturel et légitime de Gabriel de LA PISSE, Seigneur des Brosses et de Paule DU ROUSSEAU. René sera Seigneur des Brosses. Il s’unit avec Anne de SAUZET -, la fille naturelle et légitime de Jean de SAUZET et d’Anne SAUVO. Ce couple aura un enfant : – Gabriel. Ils se marient en 1659. 

    2.1.1

    Philippe de CORGNOL. Il est le fils naturel et légitime de Charles de CORGNOL, Seigneur de Beauregard et de Charlotte DU ROUSSEAU. Philippe sera Seigneur de Beauregard. Il s’unit avec Charlotte de MARTIN -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura quatre enfants : – Louis né vers 1669. – Renée. – Louise. – Philippe. Ils se marient en 1648. 

    2.2.1

    René DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de François DU ROUSSEAU, Seigneur du Mas et de Jacquette de ROFFIGNAC. René sera Seigneur du Mas. Il s’unit avec Marie de TENANT -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Pierre. 

    2.2.2

    Jeanne DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de François DU ROUSSEAU, Seigneur du Mas et de Jacquette de ROFFIGNAC. Elle s’unit avec Pierre de HAUMONT -, Seigneur de La Garde, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Jean né en 1670. – Georges. Elle s’unit avec Simon de PINDRAY -, Sieur des Rosiers, le fils naturel et légitime de Foucaud de PINDRAY et de Létice FALIGON. Ce couple aura un enfant : – Jean. 

    2.3.1

    Georges de MALET. Il est le fils naturel et légitime de Georges de MALET, Seigneur de La Jorie et de Françoise DU ROUSSEAU. Georges sera Seigneur de La Jorie. Il s’unit avec Gabrielle de BARDON -, la fille naturelle et légitime de Marc de BARDON et de Jeanne de LESTRADE. Ce couple aura un enfant : – François. Ils se marient en 1697. 

    2.3.2

    Antoine de MALET. Il est le fils naturel et légitime de Georges de MALET, Seigneur de La Jorie et de Françoise DU ROUSSEAU. Antoine sera Seigneur du Chastenet. Il s’unit avec Isabeau de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura trois enfants : – Antoinette. – François. – Marie. Ils se marient en 1695. 

    2.3.3

    Marie de MALET. Elle est la fille naturelle et légitime de Georges de MALET, Seigneur de La Jorie et de Françoise DU ROUSSEAU. Elle s’unit avec Jean REYNIER -, Seigneur de La Navoye, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Anne. Ils se marient en 1671. 

    3.1.1

    Marie DU SOUCHET. Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques DU SOUCHET, Sieur de Villars et de Marguerite de LAGE. Elle s’unit avec François DE LA QUINTINIE -, Sieur de Montboulard, le fils naturel et légitime de Pierre DE LA QUINTINIE et d’Anne LAURENT. Ce couple aura quatre enfants : – Anne. – Jean. – Mathurine. – Pierre. Ils se marient le lundi 1 juillet 1624 à Angoulême (16). 

    3.1.2

    Pierre DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime de Jacques DU SOUCHET, Sieur de Villars et de Marguerite de LAGE. Pierre sera Sieur de Villars. Il s’unit avec Anne Luce de LESMERIE -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura trois enfants : – Antoine né vers 1639. – Marie. – Armand. Pierre DU SOUCHET est décédé le mercredi 12 octobre 1672, à Garat (16). 

    3.1.3

    Denis DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime de Jacques DU SOUCHET, Sieur de Villars et de Marguerite de LAGE. Denis sera Sieur de L’Isle. Il s’unit avec Jacquette BAREAU -, la fille naturelle et légitime de Jacques BAREAU et de Marie PELLUCHON. Ce couple aura deux enfants : – Jacques. – Marie. Ils se marient le dimanche 10 septembre 1617 à Angoulême (16). 

    3.1.4

    Anne DU SOUCHET. Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques DU SOUCHET, Sieur de Villars et de Marguerite de LAGE. Elle s’unit avec Jacques de RAVENEL -, Sieur de La Béraudière, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Jacques. Ils se marient le lundi 19 juin 1617 à Ruffec (16). 

    3.1.5

    Marguerite DU SOUCHET. Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques DU SOUCHET, Sieur de Villars et de Marguerite de LAGE. Elle s’unit avec Pierre BOUHIER -, Sieur du Partineau, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Pierre. – Jacques. 

    3.2.1

    Pierre DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime de Jean DU SOUCHET, Sieur de Puymiraud et de Xx XX. Pierre sera Sieur de Malleyrand. Il s’unit avec Léa COURAUDIN -, la fille naturelle et légitime de Léonard COURAUDIN et de Jeanne de BLOIS. Ce couple aura deux enfants : – Guillemine. – Marie. Ils se marient en 1619. 

    3.2.2

    François DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime de Jean DU SOUCHET, Sieur de Puymiraud et de Xx XX. François sera Sieur de La Biguerie. Il s’unit avec Suzanne de RABAINE -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Jean. – Alexandre. 

    3.2.3

    Alexandre DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime de Jean DU SOUCHET, Sieur de Puymiraud et de Xx XX. Alexandre sera Prêtre. Note : Curé de Courlac. 

    4.1.1

    Charles DU ROUSSEAU voit le jour le dimanche 27 septembre 1637 à Coulgens (16). Il est le fils naturel et légitime de Pierre DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et de Charlotte REMPNOULX. Charles sera Seigneur de Coulgens. Son père Pierre meurt le 9 juin 1654, Charles est âgé de 16 ans. Il s’unit avec Marie FROTIER-TIZON (1648-1720), la fille naturelle et légitime de Clément FROTIER-TIZON et d’Antoinette CATRIX. Ce couple aura trois enfants : – Charlotte née en 1663. – Anne née en 1664. – Roch né en 1668. Ils se marient le dimanche 17 juillet 1661 à La Rochette (16). Le 13 janvier 1663 naît sa fille Charlotte. Charles est âgé de 25 ans. Le 22 juin 1664 naît sa fille Anne. Charles est âgé de 26 ans. Le 5 février 1668 naît son fils Roch. Charles est âgé de 30 ans. Sa mère Charlotte meurt le 5 avril 1673, Charles est âgé de 35 ans. Charles DU ROUSSEAU est décédé le jeudi 2 décembre 1706, à l’âge de 69 ans, à Coulgens (16). 

    4.1.2

    Gabriel DU ROUSSEAU voit le jour le dimanche 27 octobre 1641 à Coulgens (16). Il est le fils naturel et légitime de Pierre DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et de Charlotte REMPNOULX. A sa naissance, il a un frère Charles (né en 1637). Gabriel sera Prêtre. Son père Pierre meurt le 9 juin 1654, Gabriel est âgé de 12 ans. Sa mère Charlotte meurt le 5 avril 1673, Gabriel est âgé de 31 ans. Note : Curé de La Rochette. 

    4.2.1

    Jean DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Jean DU ROUSSEAU, Seigneur de Berneuil et de Marguerite DU NOURRIGIER. Jean sera Seigneur de Berneuil. Il s’unit avec Claude de TUSTAL -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Joseph. Ils se marient en 1653. 

    5.1.1

    Jacques DU ROUSSEAU voit le jour vers 1645. Il est le fils naturel et légitime de Gabriel DU ROUSSEAU, Seigneur de Séchère et de Léonarde REMPNOULX. Jacques sera Seigneur de Chabrot. Il s’unit avec Anne de CAMPNIAC -, la fille naturelle et légitime de Claude de CAMPNIAC et de Gabrielle MOSNIER de PLANEAUX. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient en 1687. Jacques DU ROUSSEAU est décédé le mercredi 8 janvier 1710, à l’âge de 65 ans environ, à Montbron (16). 

    5.1.2

    Jean DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Gabriel DU ROUSSEAU, Seigneur de Séchère et de Léonarde REMPNOULX. Jean sera Chevalier, seigneur de Séchère. Il s’unit avec Gabrielle de NESMOND -, la fille naturelle et légitime de Philippe de NESMOND et d’Isabeau de PRESSAC. Ce couple aura quatre enfants : – Eléonore née vers 1673. – Jacques. – Jean Gabriel. – Marie Claudine. Ils se marient en 1670. 

    5.1.3

    Léonarde DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Gabriel DU ROUSSEAU, Seigneur de Séchère et de Léonarde REMPNOULX. Elle s’unit avec Louis de CROZANT -, Seigneur de Moulin-Paute, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Marie. – Louise. 

    5.1.4

    Marie DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Gabriel DU ROUSSEAU, Seigneur de Séchère et de Léonarde REMPNOULX. Elle s’unit avec Pierre GUILLOT DU DOUSSAY -, Seigneur du Puy-de-Cussac, le fils naturel et légitime de Guy GUILLOT DU DOUSSAY et de Marie d’AUJAC. Ce couple aura trois enfants : – Jean né en 1665. – Charles. – Gabrielle. Ils se marient en 1651. 

    5.1.5

    Marie Denise DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Gabriel DU ROUSSEAU, Seigneur de Séchère et de Léonarde REMPNOULX. Elle s’unit avec Gabriel de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE -, Chevalier, seigneur de Gorre, le fils naturel et légitime de Jean de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE et de Claude DELVIEUX. Ce couple aura un enfant : – Louis. Ils se marient en 1677. 

    5.1.6

    Gabrielle DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Gabriel DU ROUSSEAU, Seigneur de Séchère et de Léonarde REMPNOULX. Elle s’unit avec Pierre de LOMÉNIE -, Seigneur de Faye, le fils naturel et légitime de Guillaume de LOMÉNIE et de Simone de LOMÉNIE. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient en 1679. 

    6.1.1

    Jacques DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Jacques DU ROUSSEAU, Seigneur de la Forest-Marendat et de Jeanne SAPINAUD. Jacques sera Seigneur de Fayolle. Il s’unit avec Marie Renée de BROUILHAC -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Pierre. – Louis Charles. Ils se marient en 1663. 

    6.1.2

    Louise DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques DU ROUSSEAU, Seigneur de la Forest-Marendat et de Jeanne SAPINAUD. Elle s’unit avec Charles de PLUMENT -, Sieur de Bailhac, le fils naturel et légitime de Léonard de PLUMENT et de Françoise CAILLOU. Ce couple aura un enfant : – Jean. 

    6.1.3

    Charlotte DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques DU ROUSSEAU, Seigneur de la Forest-Marendat et de Jeanne SAPINAUD. Elle s’unit avec François DU THEIL -, Seigneur de Saint-Christophe, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient en 1656. 

    6.2.1

    Raymond de MAGNAC. Il est le fils naturel et légitime de Marc de MAGNAC, Seigneur de Mazerolles et de Jacquette DU ROUSSEAU. Raymond sera Seigneur de Mazerolles. Il s’unit avec Jacquette VIROULAUD -, la fille naturelle et légitime de Pierre VIROULAUD et de Renée DESCRAVAYAT. Ce couple aura trois enfants : – Jeanne. – Jacques. – Jean. Ils se marient en 1649. 

    7.1.1

    Charles GAUBERT. Il est le fils naturel et légitime de Pierre GAUBERT, Sieur du Poirier et d’Elisabeth VIGIER. Charles sera Sieur du Poirier. Il s’unit avec Jeanne de CROZANT -, la fille naturelle et légitime de Claude de CROZANT et d’Anne de ROUSIERS. Ce couple aura deux enfants : – François. – Marguerite. Ils se marient en 1642. 

    Génération.5

    1.2.1.1

    Gabrielle DU ROUSSEAU est née vers 1678. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean DU ROUSSEAU, Seigneur des Granges et de Marie de COUHÉ. Elle s’unit avec Étienne VEYRET -, Sieur de La Tour, le fils naturel et légitime de Louis VEYRET et de Jeanne de LAMBERTERIE. Ce couple aura un enfant : – Martial né en 1717. Ils se marient le lundi 29 juillet 1715 à Lésignac-Durand (16). Le 14 avril 1717 naît son fils Martial. Gabrielle est âgée de 39 ans environ. Gabrielle DU ROUSSEAU est décédée le jeudi 9 mars 1730, à l’âge de 52 ans environ, à Cherves-Châtelars (16). 

    1.2.1.2

    Catherine DU ROUSSEAU est née vers 1691. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean DU ROUSSEAU, Seigneur des Granges et de Marie de COUHÉ. A sa naissance, elle a une soeur Gabrielle (née vers 1678). Elle s’unit avec Bertrand BERTHOUMÉ (1685-1759), Sieur de La Vue, le fils naturel et légitime de Louis BERTHOUMÉ et de Marie DUMAS. Ce couple aura deux enfants : – Germain né vers 1725. – Jeanne. Ils se marient le samedi 24 septembre 1712 à Montbron (16). Vers 1725 naît son fils Germain. Catherine est âgée de 34 ans environ. Catherine DU ROUSSEAU est décédée le dimanche 29 mai 1757, à l’âge de 66 ans environ, à Montbron (16). 

    1.2.1.3

    Jeanne DU ROUSSEAU est née vers 1692. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean DU ROUSSEAU, Seigneur des Granges et de Marie de COUHÉ. A sa naissance, elle a plusieurs soeurs : Gabrielle (née vers 1678), Catherine (née vers 1691). Elle s’unit avec Louis DUPUY -, Bourgeois, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le jeudi 23 septembre 1723 à Cherves-Châtelars (16). Elle s’unit avec François THIBAUD -, Sieur de Létang, le fils naturel et légitime de Pierre THIBAUD et de Charlotte LAMBERT. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le samedi 21 septembre 1737 à Cherves-Châtelars (16). Jeanne DU ROUSSEAU est décédée le lundi 19 avril 1784, à l’âge de 92 ans environ, à Orgedeuil (16). 

    1.2.1.4

    Martial DU ROUSSEAU voit le jour vers 1700. Il est le fils naturel et légitime de Jean DU ROUSSEAU, Seigneur des Granges et de Marie de COUHÉ. A sa naissance, il a plusieurs soeurs : Gabrielle (née vers 1678), Catherine (née vers 1691), Jeanne (née vers 1692). Martial sera Seigneur de Lésignac-Durand. Il s’unit avec Marie Suzanne PASQUET de ROUMAZIÈRES (~ 1698-1748), la fille naturelle et légitime d’Abraham PASQUET et de Marie GOIX. Ce couple aura quatre enfants : – Jeanne née vers 1728. – Anne née vers 1728. – François né vers 1730. – Jacques né vers 1736. Ils se marient le dimanche 14 mai 1724 à La Rochefoucauld (16). Vers 1728 naît sa fille Jeanne. Martial est âgé de 27 ans environ. Vers 1728 naît sa fille Anne. Martial est âgé de 27 ans environ. Vers 1730 naît son fils François. Martial est âgé de 30 ans environ. Vers 1736 naît son fils Jacques. Martial est âgé de 35 ans environ. Le 3 mai 1747 son fils François meurt, Martial est âgé de 47 ans environ. Le 12 avril 1748 son épouse Marie meurt, Martial est âgé de 48 ans environ. Martial DU ROUSSEAU est décédé le lundi 22 septembre 1755, à l’âge de 55 ans environ, à Lésignac-Durand (16). 

    1.2.1.5

    Henriette DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean DU ROUSSEAU, Seigneur des Granges et de Marie de COUHÉ. Elle s’unit avec Léonard DEPLAS -, Sieur de Fontaubière, le fils naturel et légitime de Jacques DEPLAS et d’Anne DAUPHIN. Ce couple aura un enfant : – Jean. Ils se marient le mardi 30 juillet 1715 à Cherves-Châtelars (16). 

    1.2.2.1

    Gabriel BECHEMEIL. Il est le fils naturel et légitime de Jacques BECHEMEIL, Sieur de Boisgenty et de Jacquette DU ROUSSEAU. Gabriel sera Bourgeois. Il s’unit avec Catherine DEBORD -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mardi 26 janvier 1712 à Lésignac-Durand (16). 

    1.2.2.2

    Jacques BECHEMEIL. Il est le fils naturel et légitime de Jacques BECHEMEIL, Sieur de Boisgenty et de Jacquette DU ROUSSEAU. Jacques sera Sieur de Boisgenty. Il s’unit avec Marie DUPUY -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Jacques. Ils se marient le dimanche 6 août 1713 à Cherves-Châtelars (16). 

    1.3.1.1

    Gabriel de LA PISSE. Il est le fils naturel et légitime de René de LA PISSE, Seigneur des Brosses et d’Anne de SAUZET. Gabriel sera Seigneur des Brosses. Il s’unit avec Madeleine de CHASTEIGNER -, la fille naturelle et légitime de Pons de CHASTEIGNER et de Charlotte de NESMOND. Ce couple aura deux enfants : – Anne née vers 1690. – François né en 1693. Ils se marient en 1687. 

    2.1.1.1

    Louis de CORGNOL voit le jour vers 1669. Il est le fils naturel et légitime de Philippe de CORGNOL, Seigneur de Beauregard et de Charlotte de MARTIN. Louis sera Seigneur de Tessé. Il s’unit avec Marie CAILLOT -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura trois enfants : – Jacques Louis né en 1703. – François. – Jacques Philippe. Ils se marient le lundi 28 août 1702 à Ruffec (16). Le 26 juillet 1703 naît son fils Jacques. Louis est âgé de 34 ans environ. Louis de CORGNOL est décédé le jeudi 19 mars 1739, à l’âge de 70 ans environ, à Ébréon (16). 

    2.1.1.2

    Renée de CORGNOL. Elle est la fille naturelle et légitime de Philippe de CORGNOL, Seigneur de Beauregard et de Charlotte de MARTIN. Elle s’unit avec Isaac François de CORGNOL (~ 1673-1738), Seigneur de La Touche, le fils naturel et légitime de Philippe de CORGNOL et de Charlotte de MARTINEAU. Ce couple aura deux enfants : – Louis né vers 1700. – François. Ils se marient le jeudi 21 mai 1699 à Anais (16). 

    2.1.1.3

    Louise de CORGNOL. Elle est la fille naturelle et légitime de Philippe de CORGNOL, Seigneur de Beauregard et de Charlotte de MARTIN. Elle s’unit avec Jean REGNAULD -, Seigneur de Villognon, le fils naturel et légitime de Henri REGNAULD et de Marie JOLY. Ce couple aura un enfant : – Marie. 

    2.1.1.4

    Philippe de CORGNOL. Il est le fils naturel et légitime de Philippe de CORGNOL, Seigneur de Beauregard et de Charlotte de MARTIN. Philippe sera Prêtre. 

    2.2.1.1

    Pierre DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de René DU ROUSSEAU, Seigneur du Mas et de Marie de TENANT. Pierre sera Seigneur du Mas. Il s’unit avec Jeanne de LOSSE -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. 

    2.2.2.1a

    Jean de HAUMONT voit le jour le vendredi 1 août 1670 à Beaussac (24). Il est le fils naturel et légitime de Pierre de HAUMONT, Seigneur de La Garde et de Jeanne DU ROUSSEAU. Jean sera Seigneur de La Garde. Il s’unit avec Marie VIROULAUD -, la fille naturelle et légitime de Jacques VIROULAUD et de Marie de LAMBERTIE. Ce couple aura trois enfants : – Jean François né en 1698. – François. – Jean. Ils se marient le mardi 15 janvier 1697 à La Rochefoucauld (16). Le 18 janvier 1698 naît son fils Jean. Jean est âgé de 27 ans. Jean de HAUMONT est décédé le dimanche 27 février 1752, à l’âge de 81 ans, à Beaussac (24). 

    2.2.2.2b

    Jean de PINDRAY. Il est le fils naturel et légitime de Simon de PINDRAY, Sieur des Rosiers et de Jeanne DU ROUSSEAU. Jean sera Sieur des Granges. Il s’unit avec Marie DE MARENDAT (~ 1684-1764), la fille naturelle et légitime de Étienne DE MARENDAT et de Marie EYRIAUD. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le samedi 12 mars 1707 à Varaignes (24). 

    2.2.2.3a

    Georges de HAUMONT. Il est le fils naturel et légitime de Pierre de HAUMONT, Seigneur de La Garde et de Jeanne DU ROUSSEAU. Georges sera Seigneur de La Garde. Il s’unit avec Marie de PINDRAY -, la fille naturelle et légitime de Pierre de PINDRAY et de Jeanne de PINDRAY. Ce couple aura deux enfants : – Catherine née en 1697. – François. Ils se marient le samedi 1 octobre 1695 à Beaussac (24). Il s’unit avec Louise DUFAUX (1660-1728), la fille naturelle et légitime de Jean DUFAUX et de Léonarde de LAULANIÉ. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le jeudi 6 septembre 1714 à La Chapelle-Pommier (24). 

    2.3.1.1

    François de MALET. Il est le fils naturel et légitime de Georges de MALET, Seigneur de La Jorie et de Gabrielle de BARDON. François sera Seigneur de La Jorie. Il s’unit avec Marie de LA GARDE -, la fille naturelle et légitime de Thibaud de LA GARDE et de Marie Blaise SAUNIER de LA BORIE. Ce couple aura deux enfants : – Marguerite. – Gabrielle. Ils se marient le jeudi 8 octobre 1722 à Saint-Crépin-de-Richemont (24). Il s’unit avec Bertrande Thérèse BERTIN -, la fille naturelle et légitime de Jean BERTIN et de Marie Lucrèce de SAINT-CHAMANS. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mardi 8 janvier 1743 à Saint-Front-la-Rivière (24). 

    2.3.2.1

    Antoinette de MALET. Elle est la fille naturelle et légitime d’Antoine de MALET, Seigneur du Chastenet et d’Isabeau de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE. Elle s’unit avec Jean de CHAMPAGNAC -, Seigneur de La Jaunie, le fils naturel et légitime de François de CHAMPAGNAC et de Jeanne POURTENC. Ce couple aura deux enfants : – Jean François né vers 1717. – Jean né vers 1736. Ils se marient en 1716. 

    2.3.2.2

    François de MALET. Il est le fils naturel et légitime d’Antoine de MALET, Seigneur du Chastenet et d’Isabeau de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE. François sera Seigneur de la Garde. Il s’unit avec Angélique FLAMENC de BRUZAC -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – François. Ils se marient en 1728. 

    2.3.2.3

    Marie de MALET. Elle est la fille naturelle et légitime d’Antoine de MALET, Seigneur du Chastenet et d’Isabeau de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE. Elle s’unit avec Sicaire de GRIGNOLS -, Seigneur de La Porte, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Marguerite née en 1733. Ils se marient en 1730. 

    2.3.3.1

    Anne REYNIER de LA NAVOYE. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean REYNIER, Seigneur de La Navoye et de Marie de MALET. Elle s’unit avec Charles de CHAPT de RASTIGNAC -, Comte de Rastignac, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Charles. – Anne. Ils se marient en 1686. Elle s’unit avec Guy Raymond de MAILLARD -, Seigneur de La Combe, le fils naturel et légitime de Jean de MAILLARD et de Marguerite de LAGEARD. Ce couple aura quatre enfants : – Jeanne Marie née vers 1698. – François né vers 1702. – Marthe née vers 1712. – Pierre né vers 1712. Ils se marient en 1696. 

    3.1.1.1

    Anne DE LA QUINTINIE. Elle est la fille naturelle et légitime de François DE LA QUINTINIE, Sieur de Montboulard et de Marie DU SOUCHET. Elle s’unit avec Charles BABIN -, Sieur de Signat, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura trois enfants : – Anne. – Jean. – Marie. 

    3.1.1.2

    Jean DE LA QUINTINIE. Il est le fils naturel et légitime de François DE LA QUINTINIE, Sieur de Montboulard et de Marie DU SOUCHET. Jean sera Sieur de La Barde. 

    3.1.1.3

    Mathurine DE LA QUINTINIE. Elle est la fille naturelle et légitime de François DE LA QUINTINIE, Sieur de Montboulard et de Marie DU SOUCHET. Elle s’unit avec Jean JABOUIN -, Sieur de La Fontaine, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Marie. 

    3.1.1.4

    Pierre DE LA QUINTINIE. Il est le fils naturel et légitime de François DE LA QUINTINIE, Sieur de Montboulard et de Marie DU SOUCHET. Pierre sera Jésuite. 

    3.1.2.1

    Antoine DU SOUCHET voit le jour vers 1639. Il est le fils naturel et légitime de Pierre DU SOUCHET, Sieur de Villars et d’Anne Luce de LESMERIE. Antoine sera Sieur de Villars. Son père Pierre meurt le 12 octobre 1672, Antoine est âgé de 33 ans environ. Il s’unit avec Madeleine de CORGNOL -, la fille naturelle et légitime de Henri de CORGNOL et de Marguerite NORMAND de PUYGRELIER. Ce couple aura trois enfants : – Armand. – Esmerie. – Madeleine. Antoine DU SOUCHET est décédé le samedi 28 avril 1703, à l’âge de 64 ans environ, à Garat (16). 

    3.1.2.2

    Marie DU SOUCHET. Elle est la fille naturelle et légitime de Pierre DU SOUCHET, Sieur de Villars et d’Anne Luce de LESMERIE. Elle s’unit avec Simon VERGEREAU -, Sieur du Maine-Faure, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Marguerite Rose. 

    3.1.2.3

    Armand DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime de Pierre DU SOUCHET, Sieur de Villars et d’Anne Luce de LESMERIE. Armand sera Sieur de Macqueville. 

    3.1.3.1

    Jacques DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime de Denis DU SOUCHET, Sieur de L’Isle et de Jacquette BAREAU. Jacques sera Sieur de L’Isle. Il s’unit avec Marie MOUSSIER -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Madeleine. – Marie. Ils se marient le dimanche 10 juin 1646 à Angoulême (16). 

    3.1.3.2

    Marie DU SOUCHET. Elle est la fille naturelle et légitime de Denis DU SOUCHET, Sieur de L’Isle et de Jacquette BAREAU. Elle s’unit avec Louis JAMEU -, Président en l’élection d’Angoulême, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le samedi 27 avril 1641 à Angoulême (16). 

    3.1.4.1

    Jacques de RAVENEL. Il est le fils naturel et légitime de Jacques de RAVENEL, Sieur de La Béraudière et d’Anne DU SOUCHET. Jacques sera Capitaine au régiment de Laval. Il s’unit avec Marie de MARÇONNAY -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le jeudi 24 février 1639 à Saumur (49). 

    3.1.5.1

    Pierre BOUHIER. Il est le fils naturel et légitime de Pierre BOUHIER, Sieur du Partineau et de Marguerite DU SOUCHET. Pierre sera Substitut du procureur du roi. Il s’unit avec Françoise MESNARD -, la fille naturelle et légitime de Pierre MESNARD et de Marie TIZON. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mercredi 1 septembre 1660 à Angoulême (16). 

    3.1.5.2

    Jacques BOUHIER. Il est le fils naturel et légitime de Pierre BOUHIER, Sieur du Partineau et de Marguerite DU SOUCHET. Jacques sera Sieur du Sablon. 

    3.2.1.1

    Guillemine DU SOUCHET. Elle est la fille naturelle et légitime de Pierre DU SOUCHET, Sieur de Malleyrand et de Léa COURAUDIN. Elle s’unit avec René PERRY -, Seigneur de Malleyrand, le fils naturel et légitime de Louis PERRY et de Marguerite d’ABZAC. Ce couple aura un enfant : – Henri né vers 1667. Ils se marient en 1647. 

    3.2.1.2

    Marie DU SOUCHET. Elle est la fille naturelle et légitime de Pierre DU SOUCHET, Sieur de Malleyrand et de Léa COURAUDIN. Elle s’unit avec Charles JOUSSEAULME -, Sieur de La Gaulie, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Anne. Ils se marient en 1664. 

    3.2.2.1

    Jean DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime de François DU SOUCHET, Sieur de La Biguerie et de Suzanne de RABAINE. Jean sera Sieur de Grissac. Il s’unit avec Marie GRIMOARD -, la fille naturelle et légitime de François GRIMOARD et de Henriette LÉGER. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le lundi 5 juillet 1666 à La Valette (16). 

    3.2.2.2

    Alexandre DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime de François DU SOUCHET, Sieur de La Biguerie et de Suzanne de RABAINE. Alexandre sera Sieur de Sallegourde. Il s’unit avec Renée de LIVRON -, la fille naturelle et légitime de Pierre de LIVRON et de Florence GUY. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mardi 29 décembre 1682 à Charmant (16). 

    4.1.1.1

    Charlotte DU ROUSSEAU est née le samedi 13 janvier 1663 à Coulgens (16). Elle est la fille naturelle et légitime de Charles DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens, âgé de 25 ans et de Marie FROTIER-TIZON, âgée de 14 ans. Charlotte sera Célibataire. Son père Charles meurt le 2 décembre 1706, Charlotte est âgée de 43 ans. Sa mère Marie meurt le 25 octobre 1720, Charlotte est âgée de 57 ans. Charlotte DU ROUSSEAU est décédée le dimanche 23 septembre 1736, à l’âge de 73 ans, à Coulgens (16). 

    4.1.1.2

    Anne DU ROUSSEAU est née le dimanche 22 juin 1664 à Coulgens (16). Elle est la fille naturelle et légitime de Charles DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens, âgé de 26 ans et de Marie FROTIER-TIZON, âgée de 15 ans. A sa naissance, elle a une soeur Charlotte (née en 1663). Anne sera Célibataire. Son père Charles meurt le 2 décembre 1706, Anne est âgée de 42 ans. Sa mère Marie meurt le 25 octobre 1720, Anne est âgée de 56 ans. Anne DU ROUSSEAU est décédée le mardi 29 août 1730, à l’âge de 66 ans, à Coulgens (16). 

    4.1.1.3

    Roch DU ROUSSEAU voit le jour le dimanche 5 février 1668 à Coulgens (16). Il est le fils naturel et légitime de Charles DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens, âgé de 30 ans et de Marie FROTIER-TIZON, âgée de 19 ans. A sa naissance, il a plusieurs soeurs : Charlotte (née en 1663), Anne (née en 1664). Roch sera Seigneur de Coulgens. Son père Charles meurt le 2 décembre 1706, Roch est âgé de 38 ans. Il s’unit avec Françoise de ROCQUARD (1683-1728), la fille naturelle et légitime de François de ROCQUARD et de Catherine CAILLOU. Ce couple aura quatre enfants : – Joachim né en 1714. – Suzanne. – René. – Madeleine. Ils se marient le mardi 29 janvier 1709 à Saint-Mary (16). Le 9 février 1714 naît son fils Joachim. Roch est âgé de 46 ans. Sa mère Marie meurt le 25 octobre 1720, Roch est âgé de 52 ans. Le 23 juillet 1728 son épouse Françoise meurt, Roch est âgé de 60 ans. Roch DU ROUSSEAU est décédé le lundi 24 janvier 1746, à l’âge de 77 ans, à Coulgens (16). 

    4.2.1.1

    Joseph DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Jean DU ROUSSEAU, Seigneur de Berneuil et de Claude de TUSTAL. Joseph sera Seigneur de Berneuil. Il s’unit avec Louise de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Marie Anne. – Gabriel. Ils se marient en 1689. 

    5.1.2.1

    Eléonore DU ROUSSEAU est née vers 1673. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean DU ROUSSEAU, Chevalier, seigneur de Séchère et de Gabrielle de NESMOND. Elle s’unit avec François REGNAULD (~ 1676-1722), Chevalier, seigneur de l’Age-Bertrand, le fils naturel et légitime de Louis REGNAULD et de Françoise de LA CHÉTARDIE. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le lundi 24 juin 1697 à Saint-Mathieu (87). Le 1 janvier 1722 son époux François meurt, Eléonore est âgée de 48 ans environ. Eléonore DU ROUSSEAU est décédée le mardi 13 octobre 1739, à l’âge de 66 ans environ, à Chirac (16). 

    5.1.2.2

    Jacques DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Jean DU ROUSSEAU, Chevalier, seigneur de Séchère et de Gabrielle de NESMOND. Jacques sera Seigneur de Ferrière. Il s’unit avec Agnès POUTE -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Jacques Louis né en 1719. – Marie. 

    5.1.2.3

    Jean Gabriel DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Jean DU ROUSSEAU, Chevalier, seigneur de Séchère et de Gabrielle de NESMOND. Jean sera Seigneur de Chabrot. Il s’unit avec Marie Anne de LA RAMIÈRE (~ 1692-1776), la fille naturelle et légitime de Jean de LA RAMIÈRE et de Marie Anne FROTIER. Ce couple aura quatre enfants : – Gabrielle née vers 1724. – Jean né vers 1726. – Thérèse née vers 1731. – Jean Gédéon né en 1731. 

    5.1.2.4

    Marie Claudine DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean DU ROUSSEAU, Chevalier, seigneur de Séchère et de Gabrielle de NESMOND. Elle s’unit avec Pierre REGNAULD (~ 1678-1738), Chevalier, seigneur de l’Age-Bertrand, le fils naturel et légitime de Louis REGNAULD et de Françoise de LA CHÉTARDIE. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le samedi 6 juin 1716 à Saint-Mathieu (87). 

    5.1.3.1

    Marie de CROZANT. Elle est la fille naturelle et légitime de Louis de CROZANT, Seigneur de Moulin-Paute et de Léonarde DU ROUSSEAU. Elle s’unit avec Robert d’ASNIÈRES -, Sieur de Saint-Palais, le fils naturel et légitime de Robert d’ASNIÈRES et de Marie de BARBEZIÈRES. Ce couple aura trois enfants : – Robert né vers 1700. – Henriette. – Gabrielle. Ils se marient en 1694. 

    5.1.3.2

    Louise de CROZANT. Elle est la fille naturelle et légitime de Louis de CROZANT, Seigneur de Moulin-Paute et de Léonarde DU ROUSSEAU. Elle s’unit avec Jean François MARTIN (~ 1677-1739), Seigneur de Bourgon, le fils naturel et légitime de François MARTIN et de Françoise de LA SUDRIE. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient en 1725. 

    5.1.4.1

    Jean GUILLOT DU DOUSSAY voit le jour le samedi 3 octobre 1665 à Cussac (87). Il est le fils naturel et légitime de Pierre GUILLOT DU DOUSSAY, Seigneur du Puy-de-Cussac et de Marie DU ROUSSEAU. Jean sera Évêque de Belley. Jean GUILLOT DU DOUSSAY est décédé le jeudi 4 février 1745, à l’âge de 79 ans, à Belley (01). 

    5.1.4.2

    Charles GUILLOT DU DOUSSAY. Il est le fils naturel et légitime de Pierre GUILLOT DU DOUSSAY, Seigneur du Puy-de-Cussac et de Marie DU ROUSSEAU. Charles sera Seigneur de La Reille. Il s’unit avec Henriette d’ASNIÈRES -, la fille naturelle et légitime de Robert d’ASNIÈRES et de Marie de CROZANT. Ce couple aura deux enfants : – Louise née en 1724. – Jean Baptiste né en 1728. Ils se marient en 1722. 

    5.1.4.3

    Gabrielle GUILLOT DU DOUSSAY. Elle est la fille naturelle et légitime de Pierre GUILLOT DU DOUSSAY, Seigneur du Puy-de-Cussac et de Marie DU ROUSSEAU. Elle s’unit avec Léonard JUDDE -, Sieur de Laubanie, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – René né vers 1711. – Gabrielle. Ils se marient en 1692. 

    5.1.5.1

    Louis de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE. Il est le fils naturel et légitime de Gabriel de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE, Chevalier, seigneur de Gorre et de Marie Denise DU ROUSSEAU. Louis sera Seigneur de Gorre. Il s’unit avec Françoise GUINGAND de SAINT-MATHIEU -, la fille naturelle et légitime de Charles GUINGAND et de Thérèse MOULINIER. Ce couple aura trois enfants : – Martial Louis. – Henri. – Thérèse Gabrielle. Ils se marient le jeudi 30 mars 1713 à Aixe-sur-Vienne (87). 

    6.1.1.1

    Pierre DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Jacques DU ROUSSEAU, Seigneur de Fayolle et de Marie Renée de BROUILHAC. Pierre sera Seigneur de Fayolle. Il s’unit avec Marie Anne PRÉVOST de TOUCHIMBERT -, la fille naturelle et légitime de Casimir PRÉVOST de TOUCHIMBERT et de Marie de ROBILLARD. Ce couple aura deux enfants : – Charles Louis Jacques. – Renée Jeanne Simone. Ils se marient en 1698. 

    6.1.1.2

    Louis Charles DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Jacques DU ROUSSEAU, Seigneur de Fayolle et de Marie Renée de BROUILHAC. Louis sera Prêtre. 

    6.1.2.1

    Jean de PLUMENT. Il est le fils naturel et légitime de Charles de PLUMENT, Sieur de Bailhac et de Louise DU ROUSSEAU. Jean sera Sieur de Bailhac. Il s’unit avec Françoise LAURENT -, la fille naturelle et légitime de François LAURENT et de Françoise de LA CHARLONNIE. Ce couple aura deux enfants : – François né vers 1700. – Eléonore née vers 1714. Ils se marient le jeudi 25 novembre 1694 à Chabanais (16). 

    6.2.1.1

    Jeanne de MAGNAC. Elle est la fille naturelle et légitime de Raymond de MAGNAC, Seigneur de Mazerolles et de Jacquette VIROULAUD. Elle s’unit avec Jean de FORNEL -, Sieur de Limérac, le fils naturel et légitime de Jacques de FORNEL et d’Anne de VILLARS. Ce couple aura quatre enfants : – Pierre né vers 1687. – Marguerite née vers 1694. – Pierre né vers 1697. – Gabriel. Ils se marient en 1685. 

    6.2.1.2

    Jacques de MAGNAC. Il est le fils naturel et légitime de Raymond de MAGNAC, Seigneur de Mazerolles et de Jacquette VIROULAUD. Jacques sera Sieur du Fresse. Il s’unit avec Gabrielle de FEYDIT (~ 1652-1700), la fille naturelle et légitime de Nicolas de FEYDIT et de Narde de MASFRAND. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mercredi 16 novembre 1678 à Rouzède (16). 

    6.2.1.3

    Jean de MAGNAC. Il est le fils naturel et légitime de Raymond de MAGNAC, Seigneur de Mazerolles et de Jacquette VIROULAUD. Jean sera Sieur de Mazerolles. 

    7.1.1.1

    François GAUBERT. Il est le fils naturel et légitime de Charles GAUBERT, Sieur du Poirier et de Jeanne de CROZANT. François sera Sieur du Poirier. Il s’unit avec Jacquette de PRESSAC -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Charles. 

    7.1.1.2

    Marguerite GAUBERT. Elle est la fille naturelle et légitime de Charles GAUBERT, Sieur du Poirier et de Jeanne de CROZANT. Elle s’unit avec Antoine RIBIER -, Sieur de Châteauneuf, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. 

    Génération.6

    1.2.1.1.1

    Martial VEYRET voit le jour le mercredi 14 avril 1717 à Cherves-Châtelars (16). Il est le fils naturel et légitime de Étienne VEYRET, Sieur de La Tour et de Gabrielle DU ROUSSEAU, âgée de 39 ans environ. Martial sera Sieur de La Tour. Sa mère Gabrielle meurt le 9 mars 1730, Martial est âgé de 12 ans. Il s’unit avec Marie de FORNEL -, la fille naturelle et légitime de Jacques de FORNEL et de Marie VIROULAUD. Ce couple aura trois enfants : – Jacques né en 1776. – Marie. – Jean. Ils se marient le lundi 20 septembre 1773 à Roussines (16). Le 16 juillet 1776 naît son fils Jacques. Martial est âgé de 59 ans. Martial VEYRET est décédé le dimanche 28 avril 1799, à l’âge de 82 ans, à Cherves-Châtelars (16). 

    1.2.1.2.1

    Germain BERTHOUMÉ voit le jour vers 1725. Il est le fils naturel et légitime de Bertrand BERTHOUMÉ, Sieur de La Vue, âgé de 39 ans environ et de Catherine DU ROUSSEAU, âgée de 34 ans environ. Germain sera Sieur de La Vue. Il s’unit avec Catherine REMPNOULX (~ 1727-1762), la fille naturelle et légitime de Daniel REMPNOULX et de Marie Elisabeth DUVAL. Ce couple aura deux enfants : – Isaac Bertrand né en 1755. – Catherine née en 1759. Ils se marient le lundi 2 septembre 1754 à Confolens (16). Le 4 octobre 1755 naît son fils Isaac. Germain est âgé de 30 ans environ. Sa mère Catherine meurt le 29 mai 1757, Germain est âgé de 32 ans environ. Son père Bertrand meurt le 1 avril 1759, Germain est âgé de 34 ans environ. Le 11 octobre 1759 naît sa fille Catherine. Germain est âgé de 34 ans environ. Le 22 août 1762 son épouse Catherine meurt, Germain est âgé de 37 ans environ. Le 22 février 1779 sa fille Catherine meurt, Germain est âgé de 54 ans environ. Germain BERTHOUMÉ est décédé le lundi 18 avril 1785, à l’âge de 60 ans environ, à Montbron (16). 

    1.2.1.2.2

    Jeanne BERTHOUMÉ. Elle est la fille naturelle et légitime de Bertrand BERTHOUMÉ, Sieur de La Vue et de Catherine DU ROUSSEAU. Elle s’unit avec Jean REMPNOULX -, Sieur de Lage, le fils naturel et légitime de Louis REMPNOULX et de Marie HUGONNEAU. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le lundi 16 juin 1755 à Montbron (16). 

    1.2.1.4.1

    Jeanne DU ROUSSEAU est née vers 1728. Elle est la fille naturelle et légitime de Martial DU ROUSSEAU, Seigneur de Lésignac-Durand, âgé de 27 ans environ et de Marie Suzanne PASQUET de ROUMAZIÈRES, âgée de 29 ans environ. Jeanne sera Célibataire. Sa mère Marie meurt le 12 avril 1748, Jeanne est âgée de 20 ans environ. Son père Martial meurt le 22 septembre 1755, Jeanne est âgée de 27 ans environ. Jeanne DU ROUSSEAU est décédée le samedi 12 août 1780, à l’âge de 52 ans environ, à Lésignac-Durand (16). 

    1.2.1.4.2

    Anne DU ROUSSEAU est née vers 1728. Elle est la fille naturelle et légitime de Martial DU ROUSSEAU, Seigneur de Lésignac-Durand, âgé de 27 ans environ et de Marie Suzanne PASQUET de ROUMAZIÈRES, âgée de 29 ans environ. Sa mère Marie meurt le 12 avril 1748, Anne est âgée de 20 ans environ. Son père Martial meurt le 22 septembre 1755, Anne est âgée de 27 ans environ. Elle s’unit avec François de LA FAYE (~ 1742-1775), Seigneur de Champlaurier, le fils naturel et légitime de Claude de LA FAYE et de Marie d’ABZAC. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le samedi 2 juillet 1763 à Lésignac-Durand (16). Le 9 septembre 1775 son époux François meurt, Anne est âgée de 47 ans environ. Anne DU ROUSSEAU est décédée le samedi 19 janvier 1793, à l’âge de 65 ans environ, à Lésignac-Durand (16). 

    1.2.1.4.3

    François DU ROUSSEAU voit le jour vers 1730. Il est le fils naturel et légitime de Martial DU ROUSSEAU, Seigneur de Lésignac-Durand, âgé de 30 ans environ et de Marie Suzanne PASQUET de ROUMAZIÈRES, âgée de 31 ans environ. A sa naissance, il a plusieurs soeurs : Jeanne (née vers 1728), Anne (née vers 1728). François sera Célibataire. François DU ROUSSEAU est décédé le mercredi 3 mai 1747, à l’âge de 17 ans environ, à Lésignac-Durand (16). 

    1.2.1.4.4

    Jacques DU ROUSSEAU voit le jour vers 1736. Il est le fils naturel et légitime de Martial DU ROUSSEAU, Seigneur de Lésignac-Durand, âgé de 35 ans environ et de Marie Suzanne PASQUET de ROUMAZIÈRES, âgée de 37 ans environ. A sa naissance, il a pour frères et soeurs : Jeanne (née vers 1728), Anne (née vers 1728), François (né vers 1730). Jacques sera Seigneur de Lésignac-Durand. Sa mère Marie meurt le 12 avril 1748, Jacques est âgé de 12 ans environ. Son père Martial meurt le 22 septembre 1755, Jacques est âgé de 19 ans environ. Il s’unit avec Eléonore GARNIER DU POIRIER (~ 1740-1808), la fille naturelle et légitime de Charles GARNIER et de Marguerite GAUBERT. Ce couple aura deux enfants : – Jeanne née en 1769. – Antoine. Ils se marient le lundi 21 novembre 1768 à Verneuil (16). Le 30 décembre 1769 naît sa fille Jeanne. Jacques est âgé de 33 ans environ. Jacques DU ROUSSEAU est décédé le vendredi 13 mai 1796, à l’âge de 60 ans environ, à Lésignac-Durand (16). 

    1.2.1.5.1

    Jean DEPLAS. Il est le fils naturel et légitime de Léonard DEPLAS, Sieur de Fontaubière et de Henriette DU ROUSSEAU. Jean sera Sieur de Fontaubière. Il s’unit avec Marie de SAINT-FIEF -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Gabrielle née en 1760. 

    1.2.2.2.1

    Jacques BECHEMEIL. Il est le fils naturel et légitime de Jacques BECHEMEIL, Sieur de Boisgenty et de Marie DUPUY. Jacques sera Bourgeois. Il s’unit avec Elisabeth CHABANNES -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Renée née vers 1750. Ils se marient le mercredi 15 juin 1746 à Montemboeuf (16). 

    1.3.1.1.1

    Anne de LA PISSE est née vers 1690. Elle est la fille naturelle et légitime de Gabriel de LA PISSE, Seigneur des Brosses et de Madeleine de CHASTEIGNER. Elle s’unit avec René de ROFFIGNAC (~ 1680-1745), Chevalier, seigneur de Belleville, le fils naturel et légitime de Jean de ROFFIGNAC et d’Antoinette Renée D’AYDIE. Ce couple aura un enfant : – Jean né en 1712. Ils se marient le mardi 12 février 1709 à Soudat (24). Le 23 novembre 1712 naît son fils Jean. Anne est âgée de 22 ans environ. Anne de LA PISSE est décédée le jeudi 27 octobre 1740, à l’âge de 50 ans environ, à Feuillade (16). 

    1.3.1.1.2

    François de LA PISSE voit le jour le mardi 10 février 1693 à Soudat (24). Il est le fils naturel et légitime de Gabriel de LA PISSE, Seigneur des Brosses et de Madeleine de CHASTEIGNER. A sa naissance, il a une soeur Anne (née vers 1690). François sera Seigneur de Langlardie. Il s’unit avec Marguerite Esther de MAZIÈRES -, la fille naturelle et légitime de Philippe Benjamin de MAZIÈRES et d’Esther GUILHAUDEAU. Ce couple aura deux enfants : – Madeleine née en 1715. – Marie Madeleine. Ils se marient en 1714. Le 18 mars 1715 naît sa fille Madeleine. François est âgé de 22 ans. François de LA PISSE est décédé le mercredi 27 mars 1720, à l’âge de 27 ans, à Soudat (24). 

    2.1.1.1.1

    Jacques Louis de CORGNOL voit le jour le jeudi 26 juillet 1703 à Ébréon (16). Il est le fils naturel et légitime de Louis de CORGNOL, Seigneur de Tessé, âgé de 34 ans environ et de Marie CAILLOT. Jacques sera Seigneur de Tessé. Son père Louis meurt le 19 mars 1739, Jacques est âgé de 35 ans. Il s’unit avec Louise Catherine de PONTHIEU -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Marie née vers 1745. Ils se marient le lundi 11 février 1743 à Ébréon (16). Vers 1745 naît sa fille Marie. Jacques est âgé de 41 ans environ. Il s’unit avec Catherine Elisabeth AVRIL -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Marie Sophie Elisabeth née en 1763. Ils se marient le jeudi 9 septembre 1762 à Ébréon (16). Le 19 juillet 1763 naît sa fille Marie. Jacques est âgé de 59 ans. Jacques L. de CORGNOL est décédé le mardi 29 août 1775, à l’âge de 72 ans, à Ébréon (16). 

    2.1.1.1.2

    François de CORGNOL. Il est le fils naturel et légitime de Louis de CORGNOL, Seigneur de Tessé et de Marie CAILLOT. François sera Prêtre. 

    2.1.1.1.3

    Jacques Philippe de CORGNOL. Il est le fils naturel et légitime de Louis de CORGNOL, Seigneur de Tessé et de Marie CAILLOT. Jacques sera Prêtre. 

    2.1.1.2.1

    Louis de CORGNOL voit le jour vers 1700. Il est le fils naturel et légitime d’Isaac François de CORGNOL, Seigneur de La Touche, âgé de 27 ans environ et de Renée de CORGNOL. Louis sera Seigneur de La Touche. Il s’unit avec Suzanne PASQUET DU RANDON (~ 1708-1768), la fille naturelle et légitime de Jacob PASQUET DU RANDON et d’Anne de BERNON. Ce couple aura trois enfants : – Suzanne née en 1736. – Louis né en 1740. – Marie Anne. Ils se marient le mardi 16 février 1734 à Montignac-Charente (16). Le 8 juillet 1736 naît sa fille Suzanne. Louis est âgé de 36 ans environ. Son père Isaac meurt le 23 avril 1738, Louis est âgé de 38 ans environ. Le 17 février 1740 naît son fils Louis. Louis est âgé de 40 ans environ. Louis de CORGNOL est décédé le vendredi 10 novembre 1752, à l’âge de 52 ans environ, à Anais (16). 

    2.1.1.2.2

    François de CORGNOL. Il est le fils naturel et légitime d’Isaac François de CORGNOL, Seigneur de La Touche et de Renée de CORGNOL. François sera Capitaine au régiment d’Orléans. 

    2.1.1.3.1

    Marie REGNAULD de VILLOGNON. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean REGNAULD, Seigneur de Villognon et de Louise de CORGNOL. Elle s’unit avec François de CHERGÉ -, Seigneur de Villognon, le fils naturel et légitime de Jacques de CHERGÉ et d’Antoinette DEXMIER. Ce couple aura un enfant : – Philippe. Ils se marient le jeudi 24 novembre 1695 à Ébréon (16). 

    2.2.2.1a.1

    Jean François de HAUMONT voit le jour le samedi 18 janvier 1698 à La Rochefoucauld (16). Il est le fils naturel et légitime de Jean de HAUMONT, Seigneur de La Garde, âgé de 27 ans et de Marie VIROULAUD. Jean sera Seigneur de La Garde. Il s’unit avec Catherine de SAULNIER -, la fille naturelle et légitime de François de SAULNIER et d’Adrienne de RAYMOND. Ce couple aura deux enfants : – Jean né en 1740. – Jean Joseph. Ils se marient le lundi 26 septembre 1735 à Saint-Pardoux-de-Mareuil (24). Le 30 août 1740 naît son fils Jean. Jean est âgé de 42 ans. Il s’unit avec Marguerite GAULTIER -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mercredi 1 mai 1748 à Angoulême (16). Son père Jean meurt le 27 février 1752, Jean est âgé de 54 ans. Jean F. de HAUMONT est décédé le mercredi 24 octobre 1753, à l’âge de 55 ans, à Beaussac (24). 

    2.2.2.1a.2

    François de HAUMONT. Il est le fils naturel et légitime de Jean de HAUMONT, Seigneur de La Garde et de Marie VIROULAUD. François sera Seigneur de La Garde. Il s’unit avec Marie VIROULAUD -, la fille naturelle et légitime de Jean VIROULAUD et de Hyppolite PASQUET. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le samedi 2 décembre 1741 à Pluviers (24). 

    2.2.2.1a.3

    Jean de HAUMONT. Il est le fils naturel et légitime de Jean de HAUMONT, Seigneur de La Garde et de Marie VIROULAUD. Jean sera Seigneur du Fouilloux. Il s’unit avec Jeanne DU BOUCHAUD -, la fille naturelle et légitime de François DU BOUCHAUD et de Marguerite de FORNEL. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. 

    2.2.2.3a.1a

    Catherine de HAUMONT est née le dimanche 18 août 1697 à Beaussac (24). Elle est la fille naturelle et légitime de Georges de HAUMONT, Seigneur de La Garde et de Marie de PINDRAY. Catherine sera Célibataire. Catherine de HAUMONT est décédée le jeudi 13 juin 1771, à l’âge de 73 ans, à Beaussac (24). 

    2.2.2.3a.2a

    François de HAUMONT. Il est le fils naturel et légitime de Georges de HAUMONT, Seigneur de La Garde et de Marie de PINDRAY. François sera Seigneur de Cussac. Il s’unit avec Anne BIRAUD -, la fille naturelle et légitime de Jacques BIRAUD et de Marie de PINDRAY. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le vendredi 16 août 1737 à Barro (16). 

    2.3.1.1.1a

    Marguerite de MALET. Elle est la fille naturelle et légitime de François de MALET, Seigneur de La Jorie et de Marie de LA GARDE. Elle s’unit avec Joseph Sicaire de VASSAL -, Seigneur de Purecet, le fils naturel et légitime de Joseph de VASSAL et de Françoise PERRIER. Ce couple aura un enfant : – Louis François. Ils se marient le dimanche 3 novembre 1748 à Saint-Médard-d’Excideuil (24). 

    2.3.1.1.2a

    Gabrielle de MALET. Elle est la fille naturelle et légitime de François de MALET, Seigneur de La Jorie et de Marie de LA GARDE. Elle s’unit avec Eymeric DURAND d’AUBEROCHE -, Seigneur du Bastit, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Jeanne. Ils se marient le lundi 7 décembre 1744 à Saint-Médard-d’Excideuil (24). 

    2.3.2.1.1

    Jean François de CHAMPAGNAC voit le jour vers 1717. Il est le fils naturel et légitime de Jean de CHAMPAGNAC, Seigneur de La Jaunie et d’Antoinette de MALET. Jean sera Capitaine au régiment de Boulonnais. Il s’unit avec Marie de TEYSSIÈRE (~ 1740-1792), la fille naturelle et légitime de François de TEYSSIÈRE et de Marie de LA ROUMAGIÈRE. Ce couple aura un enfant : – Pierre François. Ils se marient le lundi 9 février 1767 à Lanouaille (24). Jean F. de CHAMPAGNAC est décédé le jeudi 22 décembre 1785, à l’âge de 68 ans environ, à Saint-Pardoux-la-Rivière (24). 

    2.3.2.1.2

    Jean de CHAMPAGNAC voit le jour vers 1736. Il est le fils naturel et légitime de Jean de CHAMPAGNAC, Seigneur de La Jaunie et d’Antoinette de MALET. A sa naissance, il a un frère Jean François (né vers 1717). Jean sera Seigneur du Breuil. Il s’unit avec Marie Anne Louise de GUITARD (1744-1816), la fille naturelle et légitime de François Louis de GUITARD et d’Anne PASQUET de LARTIGE. Ce couple aura deux enfants : – Marie Sophie née en 1777. – Marie Lucile. Ils se marient le samedi 28 mai 1774 à Rivières (16). Le 25 décembre 1777 naît sa fille Marie. Jean est âgé de 41 ans environ. Jean de CHAMPAGNAC est décédé le vendredi 14 octobre 1796, à l’âge de 60 ans environ, à Montbron (16). 

    2.3.2.2.1

    François de MALET. Il est le fils naturel et légitime de François de MALET, Seigneur de la Garde et d’Angélique FLAMENC de BRUZAC. François sera Seigneur de la Garde. Il s’unit avec Jeanne Elisabeth de TERRASSON -, la fille naturelle et légitime de Jean Louis de TERRASSON et d’Anne Rose MÉHÉE. Ce couple aura deux enfants : – François. – Marie Elisabeth. Ils se marient en 1756. 

    2.3.2.3.1

    Marguerite de GRIGNOLS est née le jeudi 4 juin 1733 à Agonac (24). Elle est la fille naturelle et légitime de Sicaire de GRIGNOLS, Seigneur de La Porte et de Marie de MALET. Le 28 juillet 1768 naît sa fille Valérie. Marguerite est âgée de 35 ans. Le 2 décembre 1781 son époux Henri meurt, Marguerite est âgée de 48 ans. Elle s’unit avec Henri René de MARANTIN (~ 1728-1781), Officier d’infanterie, le fils naturel et légitime de Pierre MARANTIN et de Valérie CONSTANT de BEAUPEYRAT. Ce couple aura un enfant : – Valérie née en 1768. Marguerite de GRIGNOLS est décédée le dimanche 4 novembre 1804, à l’âge de 71 ans, à Périgueux (24). 

    2.3.3.1.1b

    Jeanne Marie de MAILLARD de LACOMBE est née vers 1698. Elle est la fille naturelle et légitime de Guy Raymond de MAILLARD, Seigneur de La Combe et d’Anne REYNIER de LA NAVOYE. Jeanne sera Célibataire. Jeanne M. de MAILLARD de LACOMBE est décédée le dimanche 16 avril 1775, à l’âge de 77 ans environ, à Beaussac (24). 

    2.3.3.1.2b

    François de MAILLARD voit le jour vers 1702. Il est le fils naturel et légitime de Guy Raymond de MAILLARD, Seigneur de La Combe et d’Anne REYNIER de LA NAVOYE. A sa naissance, il a une soeur Jeanne Marie (née vers 1698). François sera Seigneur de La Combe. Il s’unit avec Marie de CONAN (~ 1708-1786), la fille naturelle et légitime de Jacques de CONAN et de Madeleine de LA ROUMAGIÈRE. Ce couple aura trois enfants : – Marie Madeleine née en 1731. – Pierre né en 1734. – Marthe née en 1741. Ils se marient le samedi 12 août 1730 à Beaussac (24). Le 16 mars 1731 naît sa fille Marie. François est âgé de 29 ans environ. Le 31 octobre 1734 naît son fils Pierre. François est âgé de 32 ans environ. Le 23 septembre 1741 naît sa fille Marthe. François est âgé de 39 ans environ. François de MAILLARD est décédé le vendredi 23 avril 1762, à l’âge de 60 ans environ, aux Graulges (24). 

    2.3.3.1.3b

    Marthe de MAILLARD de LACOMBE est née vers 1712. Elle est la fille naturelle et légitime de Guy Raymond de MAILLARD, Seigneur de La Combe et d’Anne REYNIER de LA NAVOYE. A sa naissance, elle a pour frères et soeurs : Jeanne Marie (née vers 1698), François (né vers 1702). Elle s’unit avec Louis de VILLARS (~ 1705-1763), Seigneur de Poutignac, le fils naturel et légitime de Claude de VILLARS et de Marie BORIE. Ce couple aura trois enfants : – Raymond né en 1725. – Marie Rose née vers 1729. – Marie née vers 1736. Ils se marient le samedi 6 novembre 1723 à Beaussac (24). Le 22 août 1725 naît son fils Raymond. Marthe est âgée de 13 ans environ. Vers 1729 naît sa fille Marie. Marthe est âgée de 17 ans environ. Vers 1736 naît sa fille Marie. Marthe est âgée de 24 ans environ. Le 26 juin 1763 son époux Louis meurt, Marthe est âgée de 51 ans environ. Le 28 avril 1765 son fils Raymond meurt, Marthe est âgée de 53 ans environ. Marthe de MAILLARD de LACOMBE est décédée le dimanche 8 octobre 1769, à l’âge de 57 ans environ, à Beaussac (24). 

    2.3.3.1.4b

    Pierre de MAILLARD voit le jour vers 1712. Il est le fils naturel et légitime de Guy Raymond de MAILLARD, Seigneur de La Combe et d’Anne REYNIER de LA NAVOYE. A sa naissance, il a pour frères et soeurs : Jeanne Marie (née vers 1698), François (né vers 1702). Pierre sera Porte-étendard des gardes du roi, chevalier de Saint-Louis. Il s’unit avec Marie Louise SONGIS -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mercredi 25 novembre 1778 à Dosnon (10). Pierre de MAILLARD est décédé le dimanche 11 octobre 1789, à l’âge de 77 ans environ, à Dosnon (10). 

    2.3.3.1.5a

    Charles de CHAPT de RASTIGNAC. Il est le fils naturel et légitime de Charles de CHAPT de RASTIGNAC, Comte de Rastignac et d’Anne REYNIER de LA NAVOYE. Charles sera Marquis de Laxion. Il s’unit avec Eléonore D’AYDIE (~ 1695-1741), la fille naturelle et légitime d’Aimé Blaise D’AYDIE et de Charlotte Diane de BAUTRU. Ce couple aura trois enfants : – Jacques Louis Gabriel né vers 1726. – Gabrielle. – Armand. Ils se marient en 1724. 

    2.3.3.1.6a

    Anne de CHAPT de RASTIGNAC. Elle est la fille naturelle et légitime de Charles de CHAPT de RASTIGNAC, Comte de Rastignac et d’Anne REYNIER de LA NAVOYE. Elle s’unit avec François de LESTRADE -, Seigneur de Conty, le fils naturel et légitime de François de LESTRADE et de Madeleine de LA GARDE. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient en 1727. 

    3.1.1.1.1

    Anne BABIN. Elle est la fille naturelle et légitime de Charles BABIN, Sieur de Signat et d’Anne DE LA QUINTINIE. Elle s’unit avec Annet RICHETEAU -, Notaire royal, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le samedi 4 mai 1715 à Angoulême (16). 

    3.1.1.1.2

    Jean BABIN. Il est le fils naturel et légitime de Charles BABIN, Sieur de Signat et d’Anne DE LA QUINTINIE. Jean sera Sieur de La Touche. Il s’unit avec Marguerite VARIN -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le lundi 4 août 1670 à Poursac (16). 

    3.1.1.1.3

    Marie BABIN. Elle est la fille naturelle et légitime de Charles BABIN, Sieur de Signat et d’Anne DE LA QUINTINIE. Elle s’unit avec Jean COYTEUX -, Bourgeois, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le lundi 12 octobre 1693 à Poursac (16). 

    3.1.1.3.1

    Marie JABOUIN. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean JABOUIN, Sieur de La Fontaine et de Mathurine DE LA QUINTINIE. Elle s’unit avec François MANÈS (~ 1673-1739), Bourgeois, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le vendredi 24 octobre 1704 à Vindelle (16). 

    3.1.2.1.1

    Armand DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime d’Antoine DU SOUCHET, Sieur de Villars et de Madeleine de CORGNOL. Armand sera Sieur de Villars. Il s’unit avec Marie FROTIER -, la fille naturelle et légitime de Gaspard FROTIER et de Marie de TALLEYRAND. Ce couple aura deux enfants : – Charles. – Louise. Ils se marient en 1701. 

    3.1.2.1.2

    Esmerie DU SOUCHET. Elle est la fille naturelle et légitime d’Antoine DU SOUCHET, Sieur de Villars et de Madeleine de CORGNOL. Elle s’unit avec François RAIMBAUD -, Juge de Courcôme, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient en 1713. 

    3.1.2.1.3

    Madeleine DU SOUCHET. Elle est la fille naturelle et légitime d’Antoine DU SOUCHET, Sieur de Villars et de Madeleine de CORGNOL. Elle s’unit avec Noël ARNAUDIE -, Sieur de La Vallade, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient en 1702. 

    3.1.2.2.1

    Marguerite Rose VERGEREAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Simon VERGEREAU, Sieur du Maine-Faure et de Marie DU SOUCHET. Elle s’unit avec Daniel BOURRUT (1676-1735), Maître-chirurgien, le fils naturel et légitime de Jacques BOURRUT et de Marguerite DARNAT. Ce couple aura un enfant : – François né vers 1712. Ils se marient le lundi 28 janvier 1704 à Gurat (16). 

    3.1.3.1.1

    Madeleine DU SOUCHET. Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques DU SOUCHET, Sieur de L’Isle et de Marie MOUSSIER. Elle s’unit avec Jean Léonard de LA FORESTIE -, Sieur des Aubards, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Léonard. Ils se marient le jeudi 17 novembre 1667 à L’Isle-d’Espagnac (16). 

    3.1.3.1.2

    Marie DU SOUCHET. Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques DU SOUCHET, Sieur de L’Isle et de Marie MOUSSIER. Elle s’unit avec Jean BALLUE -, Sieur de Soyaux, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mardi 4 mars 1670 à L’Isle-d’Espagnac (16). 

    3.2.1.1.1

    Henri PERRY voit le jour vers 1667. Il est le fils naturel et légitime de René PERRY, Seigneur de Malleyrand et de Guillemine DU SOUCHET. Henri sera Seigneur de Malleyrand. Il s’unit avec Jeanne de SÉCHÈRE (~ 1669-1739), la fille naturelle et légitime de Jean de SÉCHÈRE et de Marie DAUPHIN. Ce couple aura trois enfants : – Pierre né vers 1708. – Louis. – Marie. Ils se marient en 1692. Vers 1708 naît son fils Pierre. Henri est âgé de 40 ans environ. Henri PERRY est décédé le samedi 20 mai 1730, à l’âge de 63 ans environ, à Marillac-le-Franc (16). 

    3.2.1.2.1

    Anne JOUSSEAULME. Elle est la fille naturelle et légitime de Charles JOUSSEAULME, Sieur de La Gaulie et de Marie DU SOUCHET. Elle s’unit avec Jean de JAUBERT -, Seigneur de La Courre, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Françoise. Ils se marient en 1694. 

    4.1.1.3.1

    Joachim DU ROUSSEAU voit le jour le vendredi 9 février 1714 à Coulgens (16). Il est le fils naturel et légitime de Roch DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens, âgé de 46 ans et de Françoise de ROCQUARD, âgée de 30 ans. Joachim sera Seigneur du Breuil. Sa mère Françoise meurt le 23 juillet 1728, Joachim est âgé de 14 ans. Il s’unit avec Catherine BENOIST -, la fille naturelle et légitime de Jacques BENOIST et de Marie Anne GAY. Ce couple aura un enfant : – Pierre. Ils se marient le mardi 17 juillet 1742 à Anais (16). Son père Roch meurt le 24 janvier 1746, Joachim est âgé de 31 ans. Joachim DU ROUSSEAU est décédé le jeudi 30 mai 1754, à l’âge de 40 ans, à Coulgens (16). 

    4.1.1.3.2

    Suzanne DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Roch DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et de Françoise de ROCQUARD. Elle s’unit avec Louis de SALIGNAC (~ 1692-1762), Seigneur de Leyrière, le fils naturel et légitime de Girard de SALIGNAC et d’Antoinette MOTHEAU. Ce couple aura un enfant : – Anne Suzanne Léontine née en 1758. Ils se marient le dimanche 12 juin 1757 à Coulgens (16). 

    4.1.1.3.3

    René DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Roch DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et de Françoise de ROCQUARD. René sera Seigneur de Coulgens. Il s’unit avec Eléonore de PLUMENT (~ 1714-1752), la fille naturelle et légitime de Jean de PLUMENT et de Françoise LAURENT. Ce couple aura quatre enfants : – Suzanne née en 1739. – Jean né en 1743. – François. – Françoise. Ils se marient le jeudi 15 mars 1736 à Étagnac (16). 

    4.1.1.3.4

    Madeleine DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Roch DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et de Françoise de ROCQUARD. Madeleine sera Célibataire. 

    4.2.1.1.1

    Marie Anne DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Joseph DU ROUSSEAU, Seigneur de Berneuil et de Louise de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE. Elle s’unit avec Jean GALLIOT -, Seigneur de La Tailhardrie, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient en 1712. 

    4.2.1.1.2

    Gabriel DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Joseph DU ROUSSEAU, Seigneur de Berneuil et de Louise de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE. Gabriel sera Seigneur de Berneuil. Il s’unit avec Marie de PRESSAC -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient en 1720. 

    5.1.2.2.1

    Jacques Louis DU ROUSSEAU voit le jour le jeudi 26 octobre 1719 à Saint-Mathieu (87). Il est le fils naturel et légitime de Jacques DU ROUSSEAU, Seigneur de Ferrière et d’Agnès POUTE. Jacques sera Chevalier, seigneur de Ferrière. Il s’unit avec Marie Anne de BERMONDET -, la fille naturelle et légitime d’Armand Charles de BERMONDET et de Marie Anne de VIVONNE. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mercredi 31 octobre 1742 à Cussac (87). Il s’unit avec Marie Souveraine PERRY de SAINT-AUVENT (~ 1728-1816), la fille naturelle et légitime de François PERRY de SAINT-AUVENT et d’Anne Gabrielle FROTIER. Ce couple aura quatre enfants : – François né en 1758. – Françoise Marie Souveraine née en 1760. – Louis Benjamin né en 1762. – Marie Anne. Ils se marient en 1753. Le 7 juin 1758 naît son fils François. Jacques est âgé de 38 ans. Le 7 avril 1760 naît sa fille Françoise. Jacques est âgé de 40 ans. Le 29 décembre 1762 naît son fils Louis. Jacques est âgé de 43 ans. Jacques L. DU ROUSSEAU est décédé le mardi 19 février 1765, à l’âge de 45 ans, à Saint-Mathieu (87). 

    5.1.2.2.2

    Marie DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques DU ROUSSEAU, Seigneur de Ferrière et d’Agnès POUTE. Elle s’unit avec Léonard Louis GUINGAND -, Chevalier, seigneur de Saint-Mathieu, le fils naturel et légitime de Martial GUINGAND et de Catherine LIMOUSIN. Ce couple aura un enfant : – Maurille né en 1744. Ils se marient le mardi 3 mai 1740 à Saint-Mathieu (87). 

    5.1.2.3.1

    Gabrielle DU ROUSSEAU est née vers 1724. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean Gabriel DU ROUSSEAU, Seigneur de Chabrot et de Marie Anne de LA RAMIÈRE, âgée de 31 ans environ. Gabrielle sera Religieuse. Sa mère Marie meurt le 18 avril 1776, Gabrielle est âgée de 52 ans environ. Gabrielle DU ROUSSEAU est décédée le lundi 26 mars 1787, à l’âge de 63 ans environ, à Angoulême (16). 

    5.1.2.3.2

    Jean DU ROUSSEAU voit le jour vers 1726. Il est le fils naturel et légitime de Jean Gabriel DU ROUSSEAU, Seigneur de Chabrot et de Marie Anne de LA RAMIÈRE, âgée de 34 ans environ. A sa naissance, il a une soeur Gabrielle (née vers 1724). Jean sera Chevalier, seigneur de Chabrot. Il s’unit avec Suzanne de FOUGÈRES -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le samedi 14 juin 1760 à Chaillac (36). Sa mère Marie meurt le 18 avril 1776, Jean est âgé de 50 ans environ. Jean DU ROUSSEAU est décédé le samedi 22 novembre 1788, à l’âge de 62 ans environ, à Montbron (16). 

    5.1.2.3.3

    Thérèse DU ROUSSEAU est née vers 1731. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean Gabriel DU ROUSSEAU, Seigneur de Chabrot et de Marie Anne de LA RAMIÈRE, âgée de 39 ans environ. A sa naissance, elle a pour frères et soeurs : Gabrielle (née vers 1724), Jean (né vers 1726). Elle s’unit avec Salomon CHAPITEAU (~ 1732-1804), Chevalier, seigneur de Rémondias, le fils naturel et légitime de Pierre Jean CHAPITEAU et de Marie Anne HASTELET de VILLEDEBOST. Ce couple aura un enfant : – Charles né en 1764. Ils se marient le dimanche 17 juillet 1763 à Montbron (16). Le 8 août 1764 naît son fils Charles. Thérèse est âgée de 33 ans environ. Sa mère Marie meurt le 18 avril 1776, Thérèse est âgée de 45 ans environ. Thérèse DU ROUSSEAU est décédée le mercredi 16 mars 1785, à l’âge de 54 ans environ, à Mainzac (16). 

    5.1.2.3.4

    Jean Gédéon DU ROUSSEAU voit le jour le dimanche 9 septembre 1731 à Montbron (16). Il est le fils naturel et légitime de Jean Gabriel DU ROUSSEAU, Seigneur de Chabrot et de Marie Anne de LA RAMIÈRE, âgée de 39 ans environ. A sa naissance, il a pour frères et soeurs : Gabrielle (née vers 1724), Jean (né vers 1726), Thérèse (née vers 1731). Jean sera Brigadier des gardes du roi, maire de Montbron. Sa mère Marie meurt le 18 avril 1776, Jean est âgé de 44 ans. Jean G. DU ROUSSEAU est décédé le vendredi 6 mai 1814, à l’âge de 82 ans, à Montbron (16). 

    5.1.3.1.1

    Robert d’ASNIÈRES voit le jour vers 1700. Il est le fils naturel et légitime de Robert d’ASNIÈRES, Sieur de Saint-Palais et de Marie de CROZANT. Robert sera Seigneur de Moulin-Paute. Il s’unit avec Marie Madeleine de NESMOND -, la fille naturelle et légitime d’André de NESMOND et de Marie GILLIBERT. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient en 1731. Robert d’ASNIÈRES est décédé le dimanche 22 octobre 1775, à l’âge de 75 ans environ, à Biennat (87). 

    5.1.3.1.2

    Henriette d’ASNIÈRES. Elle est la fille naturelle et légitime de Robert d’ASNIÈRES, Sieur de Saint-Palais et de Marie de CROZANT. Elle s’unit avec Charles GUILLOT DU DOUSSAY -, Seigneur de La Reille, le fils naturel et légitime de Pierre GUILLOT DU DOUSSAY et de Marie DU ROUSSEAU. Ce couple aura deux enfants : – Louise née en 1724. – Jean Baptiste né en 1728. Ils se marient en 1722. 

    5.1.3.1.3

    Gabrielle d’ASNIÈRES. Elle est la fille naturelle et légitime de Robert d’ASNIÈRES, Sieur de Saint-Palais et de Marie de CROZANT. Gabrielle sera Religieuse. 

    +5.1.4.2.1

    Louise GUILLOT DU DOUSSAY est née le vendredi 1 décembre 1724 à Cussac (87). Elle est la fille naturelle et légitime de Charles GUILLOT DU DOUSSAY, Seigneur de La Reille et de Henriette d’ASNIÈRES. Louise sera Célibataire. Louise GUILLOT DU DOUSSAY est décédée le samedi 30 janvier 1779, à l’âge de 54 ans, à Biennat (87). 

    +5.1.4.2.2

    Jean Baptiste GUILLOT DU DOUSSAY voit le jour le dimanche 11 juillet 1728 à Cussac (87). Il est le fils naturel et légitime de Charles GUILLOT DU DOUSSAY, Seigneur de La Reille et de Henriette d’ASNIÈRES. A sa naissance, il a une soeur Louise (née en 1724). Jean sera Lieutenant-colonel de cavalerie. Il s’unit avec Radegonde de LA RAMIÈRE -, la fille naturelle et légitime de Charles de LA RAMIÈRE et de Marie de ROCQUARD. Ce couple aura deux enfants : – Louis Gabriel né en 1757. – Charles né en 1761. Ils se marient en 1755. Le 31 décembre 1757 naît son fils Louis. Jean est âgé de 29 ans. Le 13 décembre 1761 naît son fils Charles. Jean est âgé de 33 ans. Jean B. GUILLOT DU DOUSSAY est décédé le samedi 23 janvier 1802, à l’âge de 73 ans, à Biennat (87). 

    5.1.4.3.1

    René JUDDE voit le jour vers 1711. Il est le fils naturel et légitime de Léonard JUDDE, Sieur de Laubanie et de Gabrielle GUILLOT DU DOUSSAY. René sera Sieur de Laubanie. Il s’unit avec Jeanne AUTHIER -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Jean né vers 1744. – Antoine. Ils se marient en 1731. Vers 1744 naît son fils Jean. René est âgé de 33 ans environ. René JUDDE est décédé le samedi 29 mai 1784, à l’âge de 73 ans environ, à Champagnac-la-Rivière (87). 

    5.1.4.3.2

    Gabrielle JUDDE. Elle est la fille naturelle et légitime de Léonard JUDDE, Sieur de Laubanie et de Gabrielle GUILLOT DU DOUSSAY. Elle s’unit avec Jacques DESCHAMPS -, Bourgeois, le fils naturel et légitime de Denis DESCHAMPS et de Léonarde BUISSON. Ce couple aura un enfant : – Marguerite. Ils se marient en 1728. 

    5.1.5.1.1

    Martial Louis de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE. Il est le fils naturel et légitime de Louis de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE, Seigneur de Gorre et de Françoise GUINGAND de SAINT-MATHIEU. Martial sera Évêque de Poitiers. 

    5.1.5.1.2

    Henri de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE. Il est le fils naturel et légitime de Louis de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE, Seigneur de Gorre et de Françoise GUINGAND de SAINT-MATHIEU. Henri sera Marquis de Gorre. Il s’unit avec Adélaïde THIBAUT de LA ROCHETHULON -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mardi 17 octobre 1775 à Vouneuil-sur-Vienne (86). 

    5.1.5.1.3

    Thérèse Gabrielle de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE. Elle est la fille naturelle et légitime de Louis de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE, Seigneur de Gorre et de Françoise GUINGAND de SAINT-MATHIEU. Elle s’unit avec Jean de MARSANGES -, Seigneur de Vaulry, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Françoise. Ils se marient le mardi 22 septembre 1744 à Gorre (87). 

    6.1.1.1.1

    Charles Louis Jacques DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Pierre DU ROUSSEAU, Seigneur de Fayolle et de Marie Anne PRÉVOST de TOUCHIMBERT. Charles sera Marquis du Rousseau de Fayolle. Il s’unit avec Marie Marguerite DU QUESNE-GUITTON -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – André. Ils se marient en 1730. 

    6.1.1.1.2

    Renée Jeanne Simone DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Pierre DU ROUSSEAU, Seigneur de Fayolle et de Marie Anne PRÉVOST de TOUCHIMBERT. Elle s’unit avec René de RECHIGNEVOISIN -, Seigneur de Caunay, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Pierre Charles Gabriel. Ils se marient en 1736. 

    6.1.2.1.1

    François de PLUMENT voit le jour vers 1700. Il est le fils naturel et légitime de Jean de PLUMENT, Sieur de Bailhac et de Françoise LAURENT. François sera Sieur de Bailhac. Il s’unit avec Jeanne DAUPHIN -, la fille naturelle et légitime de François DAUPHIN et d’Anne de SAINT-FIEF. Ce couple aura un enfant : – Jacques. Ils se marient le samedi 16 février 1732 à Chasseneuil (16). Il s’unit avec Catherine LAURENT -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura trois enfants : – Jean Baptiste né en 1750. – Jean Philippe né en 1759. – Jean. Ils se marient le mercredi 25 novembre 1744 à Availles-Limouzine (86). Le 16 janvier 1750 naît son fils Jean. François est âgé de 50 ans environ. Le 11 mai 1759 naît son fils Jean. François est âgé de 59 ans environ. François de PLUMENT est décédé le samedi 19 avril 1783, à l’âge de 83 ans environ, à Étagnac (16). 

    6.1.2.1.2

    Eléonore de PLUMENT est née vers 1714. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean de PLUMENT, Sieur de Bailhac et de Françoise LAURENT. A sa naissance, elle a un frère François (né vers 1700). Elle s’unit avec René DU ROUSSEAU -, Seigneur de Coulgens, le fils naturel et légitime de Roch DU ROUSSEAU et de Françoise de ROCQUARD. Ce couple aura quatre enfants : – Suzanne née en 1739. – Jean né en 1743. – François. – Françoise. Ils se marient le jeudi 15 mars 1736 à Étagnac (16). Le 13 janvier 1739 naît sa fille Suzanne. Eléonore est âgée de 25 ans environ. Le 18 octobre 1743 naît son fils Jean. Eléonore est âgée de 29 ans environ. Eléonore de PLUMENT est décédée le vendredi 14 juillet 1752, à l’âge de 38 ans environ, à Coulgens (16). 

    6.2.1.1.1

    Pierre de FORNEL voit le jour vers 1687. Il est le fils naturel et légitime de Jean de FORNEL, Sieur de Limérac et de Jeanne de MAGNAC. Pierre sera Sieur de Limérac. Il s’unit avec Jeanne DEVOISIN (1689-1747), la fille naturelle et légitime de Léonard DEVOISIN et de Louise DALESME. Ce couple aura quatre enfants : – Françoise née en 1719. – Jacques né en 1722. – Louis Joseph né en 1725. – Jeanne Thérèse. Ils se marient le mardi 29 mars 1718 à Saint-Mathieu (87). Le 17 février 1719 naît sa fille Françoise. Pierre est âgé de 32 ans environ. Le 26 septembre 1722 naît son fils Jacques. Pierre est âgé de 35 ans environ. Le 11 février 1725 naît son fils Louis. Pierre est âgé de 38 ans environ. Le 5 septembre 1747 son épouse Jeanne meurt, Pierre est âgé de 60 ans environ. Pierre de FORNEL est décédé le dimanche 1 août 1751, à l’âge de 64 ans environ, à Marthon (16). 

    6.2.1.1.2

    Marguerite de FORNEL est née vers 1694. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean de FORNEL, Sieur de Limérac et de Jeanne de MAGNAC. A sa naissance, elle a un frère Pierre (né vers 1687). Elle s’unit avec Pierre Léon de VILLEMANDY (~ 1699-1739), Sieur d’Anthieu, le fils naturel et légitime de Louis de VILLEMANDY et de Catherine GAUVRY. Ce couple aura un enfant : – Marie. Ils se marient le lundi 1 septembre 1727 à Lussac (16). Marguerite de FORNEL est décédée le mardi 27 août 1737, à l’âge de 43 ans environ, à Bunzac (16). 

    6.2.1.1.3

    Pierre de FORNEL voit le jour vers 1697. Il est le fils naturel et légitime de Jean de FORNEL, Sieur de Limérac et de Jeanne de MAGNAC. A sa naissance, il a pour frères et soeurs : Pierre (né vers 1687), Marguerite (née vers 1694). Pierre sera Sieur de La Davinière. Il s’unit avec Thérèse POMMET (~ 1709-1788), la fille naturelle et légitime de Jacques POMMET et de Françoise de RAYMOND. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le jeudi 13 février 1749 à Lussac (16). Pierre de FORNEL est décédé le mercredi 27 décembre 1775, à l’âge de 78 ans environ, à Lussac (16). 

    6.2.1.1.4

    Gabriel de FORNEL. Il est le fils naturel et légitime de Jean de FORNEL, Sieur de Limérac et de Jeanne de MAGNAC. Gabriel sera Sieur de La Garde. Il s’unit avec Marie de CASTELLO -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mardi 13 février 1725 à Marthon (16). 

    7.1.1.1.1

    Charles GAUBERT. Il est le fils naturel et légitime de François GAUBERT, Sieur du Poirier et de Jacquette de PRESSAC. Charles sera Sieur du Poirier. Il s’unit avec Marie BERTRAND -, la fille naturelle et légitime de Jean BERTRAND et de Marie GREEN de SAINT-MARSAULT. Ce couple aura un enfant : – Marguerite. Ils se marient en 1696. 

    Génération.7

    1.2.1.1.1.1

    Jacques VEYRET-LATOUR voit le jour le mardi 16 juillet 1776 à Cherves-Châtelars (16). Il est le fils naturel et légitime de Martial VEYRET, Sieur de La Tour, âgé de 59 ans et de Marie de FORNEL. Il s’unit avec Marie GUERRY -, la fille naturelle et légitime d’Antoine GUERRY et de Jeanne LÉONARD-LAMOTHE. Ce couple aura quatre enfants : – Emma. – Marie. – Jeanne. – Jeanne Léonarde. Ils se marient le dimanche 7 février 1796 à Cherves-Châtelars (16). Son père Martial meurt le 28 avril 1799, Jacques est âgé de 22 ans. Jacques VEYRET-LATOUR est décédé le mercredi 15 mars 1837, à l’âge de 60 ans, à Montemboeuf (16). 

    1.2.1.1.1.2

    Marie VEYRET-LATOUR. Elle est la fille naturelle et légitime de Martial VEYRET, Sieur de La Tour et de Marie de FORNEL. Elle s’unit avec Jean CHABAUD -, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le lundi 14 mai 1804 à Cherves-Châtelars (16). 

    1.2.1.1.1.3

    Jean VEYRET-LATOUR. Il est le fils naturel et légitime de Martial VEYRET, Sieur de La Tour et de Marie de FORNEL. Il s’unit avec Marguerite Sophie TRUFFIN de LAVALADE -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Joseph. Ils se marient le mercredi 22 janvier 1806 à Cherves-Châtelars (16). 

    1.2.1.2.1.1

    Isaac Bertrand BERTHOUMÉ de LA VUE voit le jour le samedi 4 octobre 1755 à Montbron (16). Il est le fils naturel et légitime de Germain BERTHOUMÉ, Sieur de La Vue, âgé de 30 ans environ et de Catherine REMPNOULX, âgée de 28 ans environ. Isaac sera Officier de cavalerie. Sa mère Catherine meurt le 22 août 1762, Isaac est âgé de 6 ans. Son père Germain meurt le 18 avril 1785, Isaac est âgé de 29 ans. Il s’unit avec Radegonde Clothilde de TRYON (1775-1820), la fille naturelle et légitime de Joseph de TRYON et de Françoise de BRETTES. Ce couple aura un enfant : – Pierre Ferdinand né en 1800. Ils se marient le jeudi 23 février 1797 à Chassenon (16). Le 24 juin 1800 naît son fils Pierre. Isaac est âgé de 44 ans. Isaac B. BERTHOUMÉ de LA VUE est décédé le lundi 14 octobre 1811, à l’âge de 56 ans, à Montbron (16). 

    1.2.1.2.1.2

    Catherine BERTHOUMÉ de LA VUE est née le jeudi 11 octobre 1759 à Montbron (16). Elle est la fille naturelle et légitime de Germain BERTHOUMÉ, Sieur de La Vue, âgé de 34 ans environ et de Catherine REMPNOULX, âgée de 32 ans environ. A sa naissance, elle a un frère Isaac Bertrand (né en 1755). Catherine sera Célibataire. Sa mère Catherine meurt le 22 août 1762, Catherine est âgée de 2 ans. Catherine BERTHOUMÉ de LA VUE est décédée le lundi 22 février 1779, à l’âge de 19 ans, à Montbron (16). 

    1.2.1.4.4.1

    Jeanne DU ROUSSEAU est née le samedi 30 décembre 1769 à Lésignac-Durand (16). Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques DU ROUSSEAU, Seigneur de Lésignac-Durand, âgé de 33 ans environ et d’Eléonore GARNIER DU POIRIER, âgée de 29 ans environ. Son père Jacques meurt le 13 mai 1796, Jeanne est âgée de 26 ans. Elle s’unit avec Louis Henri ALBERT (1774-1843), Propriétaire, maire de Lésignac-Durand, le fils naturel et légitime de Jean ALBERT et de Catherine DUGALLOIS. Ce couple aura un enfant : – Catherine née en 1799. Ils se marient le lundi 20 novembre 1797 à Lésignac-Durand (16). Le 14 février 1799 naît sa fille Catherine. Jeanne est âgée de 29 ans. Sa mère Eléonore meurt le 4 mars 1808, Jeanne est âgée de 38 ans. Jeanne DU ROUSSEAU est décédée le mercredi 28 janvier 1835, à l’âge de 65 ans, à La Rochefoucauld (16). 

    1.2.1.4.4.2

    Antoine DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Jacques DU ROUSSEAU, Seigneur de Lésignac-Durand et d’Eléonore GARNIER DU POIRIER. Antoine sera Seigneur de Lésignac-Durand. 

    1.2.1.5.1.1

    Gabrielle DEPLAS est née le vendredi 6 juin 1760 à Cherves-Châtelars (16). Elle est la fille naturelle et légitime de Jean DEPLAS, Sieur de Fontaubière et de Marie de SAINT-FIEF. Elle s’unit avec Jean Baptiste DUMONTET -, Sieur de Laurière, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le lundi 15 novembre 1773 à Sarrazac (24). Gabrielle DEPLAS est décédée le samedi 15 novembre 1823, à l’âge de 63 ans, à Jumilhac (24). 

    1.2.2.2.1.1

    Renée BECHEMEIL est née vers 1750. Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques BECHEMEIL, Bourgeois et d’Elisabeth CHABANNES. Elle s’unit avec Jacques VINCENT -, Notaire-procureur à Montemboeuf, le fils naturel et légitime de Pierre VINCENT et de Jeanne VEYRET. Ce couple aura trois enfants : – Marie Anne née vers 1780. – Jean né en 1782. – Jeanne née vers 1784. Ils se marient le lundi 23 novembre 1772 à Montemboeuf (16). Vers 1780 naît sa fille Marie. Renée est âgée de 30 ans environ. Le 30 août 1782 naît son fils Jean. Renée est âgée de 32 ans environ. Vers 1784 naît sa fille Jeanne. Renée est âgée de 34 ans environ. Renée BECHEMEIL est décédée le jeudi 2 juin 1785, à l’âge de 35 ans environ, à Montemboeuf (16). 

    1.3.1.1.1.1

    Jean de ROFFIGNAC voit le jour le mercredi 23 novembre 1712 à Feuillade (16). Il est le fils naturel et légitime de René de ROFFIGNAC, Chevalier, seigneur de Belleville, âgé de 32 ans environ et d’Anne de LA PISSE, âgée de 22 ans environ. Jean sera Comte de Roffignac, lieutenant des maréchaux de France. Il s’unit avec Louise DUFAUX (1722-1795), la fille naturelle et légitime de Joseph DUFAUX et de Marguerite EVEZARD. Ce couple aura deux enfants : – René Annibal né en 1740. – Gabrielle née en 1743. Ils se marient le dimanche 27 mars 1735 à Feuillade (16). Sa mère Anne meurt le 27 octobre 1740, Jean est âgé de 27 ans. Le 24 décembre 1740 naît son fils René. Jean est âgé de 28 ans. Le 1 octobre 1743 naît sa fille Gabrielle. Jean est âgé de 30 ans. Son père René meurt le 29 juin 1745, Jean est âgé de 32 ans. Jean de ROFFIGNAC est décédé le dimanche 7 novembre 1751, à l’âge de 38 ans, à Feuillade (16). 

    1.3.1.1.2.1

    Madeleine de LA PISSE est née le lundi 18 mars 1715 à Soudat (24). Elle est la fille naturelle et légitime de François de LA PISSE, Seigneur de Langlardie, âgé de 22 ans et de Marguerite Esther de MAZIÈRES. Son père François meurt le 27 mars 1720, Madeleine est âgée de 5 ans. Elle s’unit avec Jean François de LAGEARD (1700-1764), Seigneur de Beauregard, le fils naturel et légitime de René de LAGEARD et de Catherine Valérie de RENNEL. Ce couple aura cinq enfants : – René né en 1737. – Thérèse née en 1739. – Marie née vers 1741. – Marie née en 1742. – Léonard né en 1747. Ils se marient le vendredi 8 février 1737 à Soudat (24). Le 24 décembre 1737 naît son fils René. Madeleine est âgée de 22 ans. Le 28 janvier 1739 naît sa fille Thérèse. Madeleine est âgée de 23 ans. Vers 1741 naît sa fille Marie. Madeleine est âgée de 25 ans environ. Le 30 octobre 1742 naît sa fille Marie. Madeleine est âgée de 27 ans. Le 13 octobre 1747 naît son fils Léonard. Madeleine est âgée de 32 ans. Le 27 mars 1764 son époux Jean meurt, Madeleine est âgée de 49 ans. Madeleine de LA PISSE est décédée le vendredi 16 avril 1784, à l’âge de 69 ans, à Saint-Pardoux-de-Mareuil (24). 

    1.3.1.1.2.2

    Marie Madeleine de LA PISSE. Elle est la fille naturelle et légitime de François de LA PISSE, Seigneur de Langlardie et de Marguerite Esther de MAZIÈRES. Elle s’unit avec François de LAMBERTERIE -, Seigneur de La Chapelle-Montmoreau, le fils naturel et légitime de Pierre de LAMBERTERIE et d’Eléonore de MORELON. Ce couple aura quatre enfants : – Pierre né en 1742. – Suzanne née en 1752. – François Joseph né en 1753. – Eléonore. Ils se marient le vendredi 13 octobre 1741 à Vieux-Mareuil (24). 

    2.1.1.1.1.1a

    Marie de CORGNOL est née vers 1745. Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques Louis de CORGNOL, Seigneur de Tessé, âgé de 41 ans environ et de Louise Catherine de PONTHIEU. Marie sera Religieuse. Son père Jacques meurt le 29 août 1775, Marie est âgée de 30 ans environ. Marie de CORGNOL est décédée le jeudi 26 septembre 1805, à l’âge de 60 ans environ, à Ruffec (16). 

    2.1.1.1.1.2b

    Marie Sophie Elisabeth de CORGNOL est née le mardi 19 juillet 1763 à Ébréon (16). Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques Louis de CORGNOL, Seigneur de Tessé, âgé de 59 ans et de Catherine Elisabeth AVRIL. A sa naissance, elle a une soeur Marie (née vers 1745). Son père Jacques meurt le 29 août 1775, Marie est âgée de 12 ans. Elle s’unit avec Élie Jean Anne GUIMARD (1755-1808), Seigneur de Puyfrançais, chevau-léger du roi, le fils naturel et légitime d’Annet Jean GUIMARD et de Marie Françoise PENAUD-DESMARAIS. Ce couple aura deux enfants : – Jean Baptiste Daniel Emmanuel né en 1786. – Marie Amélie Elisa née en 1795. Ils se marient le mardi 24 février 1784 à Ébréon (16). Le 21 octobre 1786 naît son fils Jean. Marie est âgée de 23 ans. Le 1 octobre 1795 naît sa fille Marie. Marie est âgée de 32 ans. Le 26 juin 1808 son époux Élie meurt, Marie est âgée de 44 ans. Marie S. E. de CORGNOL est décédée le mardi 24 août 1813, à l’âge de 50 ans, à Angoulême (16). 

    2.1.1.2.1.1

    Suzanne de CORGNOL est née le dimanche 8 juillet 1736 à Anais (16). Elle est la fille naturelle et légitime de Louis de CORGNOL, Seigneur de La Touche, âgé de 36 ans environ et de Suzanne PASQUET DU RANDON, âgée de 28 ans environ. Suzanne sera Célibataire. Son père Louis meurt le 10 novembre 1752, Suzanne est âgée de 16 ans. Sa mère Suzanne meurt le 16 septembre 1768, Suzanne est âgée de 32 ans. Suzanne de CORGNOL est décédée le vendredi 18 novembre 1814, à l’âge de 78 ans, à Angoulême (16). 

    2.1.1.2.1.2

    Louis de CORGNOL voit le jour le mercredi 17 février 1740 à Anais (16). Il est le fils naturel et légitime de Louis de CORGNOL, Seigneur de La Touche, âgé de 40 ans environ et de Suzanne PASQUET DU RANDON, âgée de 32 ans environ. A sa naissance, il a une soeur Suzanne (née en 1736). Louis sera Seigneur de Rochebertier. Son père Louis meurt le 10 novembre 1752, Louis est âgé de 12 ans. Il s’unit avec Marie Rose GRANT de BELLUSSIÈRE -, la fille naturelle et légitime de Guy GRANT et de Marie Thérèse de RESTIER. Ce couple aura six enfants : – Anne née en 1765. – Jean Guy né en 1769. – Suzanne Sophie née en 1772. – Madeleine Rosalie née en 1773. – Marie Julie née en 1775. – Suzanne Elisabeth née en 1780. Ils se marient le mercredi 25 janvier 1764 à Vilhonneur (16). Le 4 avril 1765 naît sa fille Anne. Louis est âgé de 25 ans. Sa mère Suzanne meurt le 16 septembre 1768, Louis est âgé de 28 ans. Le 21 juillet 1769 naît son fils Jean. Louis est âgé de 29 ans. Le 19 juin 1772 naît sa fille Suzanne. Louis est âgé de 32 ans. Le 6 août 1773 naît sa fille Madeleine. Louis est âgé de 33 ans. Le 20 novembre 1775 naît sa fille Marie. Louis est âgé de 35 ans. Le 9 juillet 1780 naît sa fille Suzanne. Louis est âgé de 40 ans. Louis de CORGNOL est décédé le jeudi 14 avril 1785, à l’âge de 45 ans, à Angoulême (16). 

    2.1.1.2.1.3

    Marie Anne de CORGNOL. Elle est la fille naturelle et légitime de Louis de CORGNOL, Seigneur de La Touche et de Suzanne PASQUET DU RANDON. Marie sera Célibataire. 

    2.1.1.3.1.1

    Philippe de CHERGÉ. Il est le fils naturel et légitime de François de CHERGÉ, Seigneur de Villognon et de Marie REGNAULD de VILLOGNON. Philippe sera Seigneur de Villognon. Il s’unit avec Marie REGNAULD de LA BORDE -, la fille naturelle et légitime de Henri REGNAULD et de Xx XX. Ce couple aura deux enfants : – Marie Denise née en 1732. – François né en 1742. Ils se marient le mardi 26 octobre 1728 à Nanteuil-en-Vallée (16). 

    2.2.2.1a.1.1a

    Jean de HAUMONT voit le jour le mardi 30 août 1740 à Beaussac (24). Il est le fils naturel et légitime de Jean François de HAUMONT, Seigneur de La Garde, âgé de 42 ans et de Catherine de SAULNIER. Jean sera Prêtre. Son père Jean meurt le 24 octobre 1753, Jean est âgé de 13 ans. Jean de HAUMONT est décédé le mardi 24 juin 1794, à l’âge de 53 ans, à Paris (75). 

    2.2.2.1a.1.2a

    Jean Joseph de HAUMONT. Il est le fils naturel et légitime de Jean François de HAUMONT, Seigneur de La Garde et de Catherine de SAULNIER. Jean sera Lieutenant-colonel au régiment d’Enghien. Il s’unit avec Olympe de GALARD de BÉARN (~ 1741-1766), la fille naturelle et légitime de Philippe Paul de GALARD de BÉARN et d’Anne HASTELET de VILLEDEBOST. Ce couple aura un enfant : – Jean François Joseph né en 1766. Ils se marient le mercredi 23 juillet 1766 à Beaussac (24). Il s’unit avec Anne Angélique DU VERDIER -, la fille naturelle et légitime de Claude DU VERDIER et de Jeanne Thérèse de FORNEL. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le dimanche 18 janvier 1778 à Angoulême (16). 

    2.3.1.1.1a.1

    Louis François de VASSAL. Il est le fils naturel et légitime de Joseph Sicaire de VASSAL, Seigneur de Purecet et de Marguerite de MALET. Louis sera Page du roi. Il s’unit avec Marie de VASSAL -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – David. Ils se marient le mardi 1 août 1775 à Saint-Chamassy (24). Il s’unit avec Marie ROUX de LUSSON -, la fille naturelle et légitime de Joseph ROUX de LUSSON et d’Elisabeth ROUX de VIGNERAS. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le jeudi 17 décembre 1801 à Saint-Front-la-Rivière (24). 

    2.3.1.1.2a.1

    Jeanne DURAND d’AUBEROCHE. Elle est la fille naturelle et légitime d’Eymeric DURAND d’AUBEROCHE, Seigneur du Bastit et de Gabrielle de MALET. Elle s’unit avec Alexandre PATRONNIER (~ 1727-1805), Seigneur de Gandillac, le fils naturel et légitime de Henry PATRONNIER et d’Anne TEXIER. Ce couple aura deux enfants : – Pierre. – Gabrielle Henriette. Ils se marient le mercredi 3 février 1779 à Bars (24). 

    2.3.2.1.1.1

    Pierre François de CHAMPAGNAC. Il est le fils naturel et légitime de Jean François de CHAMPAGNAC, Capitaine au régiment de Boulonnais et de Marie de TEYSSIÈRE. Pierre sera Propriétaire. Il s’unit avec Marie Sophie DU LAU (1770-1850), la fille naturelle et légitime de Louis DU LAU et de Françoise Jeanne GARNIER de LA DAVINIÈRE. Ce couple aura un enfant : – Françoise Hélène. Ils se marient le mercredi 5 mai 1790 à Saint-Projet (16). 

    2.3.2.1.2.1

    Marie Sophie de CHAMPAGNAC DU BREUIL est née le jeudi 25 décembre 1777 à Saint-Pardoux-la-Rivière (24). Elle est la fille naturelle et légitime de Jean de CHAMPAGNAC, Seigneur du Breuil, âgé de 41 ans environ et de Marie Anne Louise de GUITARD, âgée de 33 ans. Son père Jean meurt le 14 octobre 1796, Marie est âgée de 18 ans. Elle s’unit avec Pierre Benoît LAPEYRE-BELLAIR (1781-1856), Propriétaire, maire de Saint-Germain-de-Montbron, le fils naturel et légitime de Jean Baptiste LAPEYRE-BELLAIR et de Sybille PASTOUREAU-LABESSE. Ce couple aura trois enfants : – Marie Athénaïs née en 1813. – Marie Caroline née en 1816. – Pierre né en 1820. Ils se marient le lundi 4 mai 1812 à La Rochefoucauld (16). Le 29 mars 1813 naît sa fille Marie. Marie est âgée de 35 ans. Sa mère Marie meurt le 28 avril 1816, Marie est âgée de 38 ans. Le 10 novembre 1816 naît sa fille Marie. Marie est âgée de 38 ans. Le 8 octobre 1820 naît son fils Pierre. Marie est âgée de 42 ans. Marie S. de CHAMPAGNAC DU BREUIL est décédée le vendredi 13 octobre 1837, à l’âge de 59 ans, à Marthon (16). 

    2.3.2.1.2.2

    Marie Lucile de CHAMPAGNAC. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean de CHAMPAGNAC, Seigneur du Breuil et de Marie Anne Louise de GUITARD. Elle s’unit avec Jean Jacques Victor GOURSAUD de LA JOUSSELENIE -, Propriétaire, le fils naturel et légitime de Jacques GOURSAUD et de Marie Radegonde SARDAIN de LA SOUTIÈRE. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le lundi 18 avril 1803 à La Rochefoucauld (16). 

    2.3.2.2.1.1

    François de MALET. Il est le fils naturel et légitime de François de MALET, Seigneur de la Garde et de Jeanne Elisabeth de TERRASSON. François sera Seigneur de La Garde. Il s’unit avec Anne Françoise Laure de FERRIÈRES -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Olivier né en 1809. Ils se marient le lundi 2 mars 1807 à Paris (75). 

    2.3.2.2.1.2

    Marie Elisabeth de MALET. Elle est la fille naturelle et légitime de François de MALET, Seigneur de la Garde et de Jeanne Elisabeth de TERRASSON. Elle s’unit avec Étienne MÉHÉE -, Capitaine d’infanterie, le fils naturel et légitime de Étienne MÉHÉE et de Madeleine LEVESQUOT. Ce couple aura un enfant : – Marie Elisabeth. Ils se marient le jeudi 11 février 1779 à Moulidars (16). 

    2.3.2.3.1.1

    Valérie de MARANTIN est née le jeudi 28 juillet 1768 à La Rochefoucauld (16). Elle est la fille naturelle et légitime de Henri René de MARANTIN, Officier d’infanterie, âgé de 40 ans environ et de Marguerite de GRIGNOLS, âgée de 35 ans. Son père Henri meurt le 2 décembre 1781, Valérie est âgée de 13 ans. Elle s’unit avec Augustin FLAMENC de BRUZAC (1755-1838), Propriétaire, le fils naturel et légitime de François FLAMENC de BRUZAC et de Marie Thérèse de LA FAYE. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le vendredi 16 septembre 1791 à Agonac (24). Sa mère Marguerite meurt le 4 novembre 1804, Valérie est âgée de 36 ans. Elle s’unit avec Jean REY-DUMAINE -, Propriétaire, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le jeudi 14 août 1806 à Champcevinel (24). Valérie de MARANTIN est décédée le samedi 31 août 1833, à l’âge de 65 ans, à Milhac-d’Auberoche (24). 

    2.3.3.1.2b.1

    Marie Madeleine de MAILLARD de LACOMBE est née le vendredi 16 mars 1731 à Beaussac (24). Elle est la fille naturelle et légitime de François de MAILLARD, Seigneur de La Combe, âgé de 29 ans environ et de Marie de CONAN, âgée de 23 ans environ. Son père François meurt le 23 avril 1762, Marie est âgée de 31 ans. Elle s’unit avec Nicolas HASTELET (~ 1725-1778), Seigneur de Puygombert, le fils naturel et légitime de Thibaud HASTELET et de Louise ARBONNEAU. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mardi 23 août 1763 à Beaussac (24). Le 2 octobre 1778 son époux Nicolas meurt, Marie est âgée de 47 ans. Marie M. de MAILLARD de LACOMBE est décédée le samedi 7 décembre 1782, à l’âge de 51 ans, à Beaussac (24). 

    2.3.3.1.2b.2

    Pierre de MAILLARD voit le jour le dimanche 31 octobre 1734 à Beaussac (24). Il est le fils naturel et légitime de François de MAILLARD, Seigneur de La Combe, âgé de 32 ans environ et de Marie de CONAN, âgée de 26 ans environ. A sa naissance, il a une soeur Marie Madeleine (née en 1731). Pierre sera Chevalier, seigneur de La Combe. Son père François meurt le 23 avril 1762, Pierre est âgé de 27 ans. Il s’unit avec Henriette MOREAU de VILLEJALET (1747-1821), la fille naturelle et légitime de Jean Thibaud MOREAU de VILLEJALET et de Marie Philiberte de MARCILLAC d’ORADOUR. Ce couple aura deux enfants : – Thibaud né en 1772. – Marie Philiberte née en 1777. Ils se marient le mardi 12 mars 1771 à Saint-Martial-de-Valette (24). Le 12 avril 1772 naît son fils Thibaud. Pierre est âgé de 37 ans. Le 2 mai 1777 naît sa fille Marie. Pierre est âgé de 42 ans. Sa mère Marie meurt le 18 septembre 1786, Pierre est âgé de 51 ans. Pierre de MAILLARD est décédé le dimanche 19 novembre 1786, à l’âge de 52 ans, à Beaussac (24). 

    2.3.3.1.2b.3

    Marthe de MAILLARD de LACOMBE est née le samedi 23 septembre 1741 à Beaussac (24). Elle est la fille naturelle et légitime de François de MAILLARD, Seigneur de La Combe, âgé de 39 ans environ et de Marie de CONAN, âgée de 33 ans environ. A sa naissance, elle a pour frères et soeurs : Marie Madeleine (née en 1731), Pierre (né en 1734). Son père François meurt le 23 avril 1762, Marthe est âgée de 20 ans. Elle s’unit avec Pierre de MAILLARD -, Capitaine au régiment de Bresse, le fils naturel et légitime de François de MAILLARD et de Madeleine de GALARD de BÉARN. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mercredi 13 octobre 1779 à Beaussac (24). Sa mère Marie meurt le 18 septembre 1786, Marthe est âgée de 44 ans. Marthe de MAILLARD de LACOMBE est décédée le mercredi 11 février 1829, à l’âge de 87 ans, à Puyrenier (24). 

    2.3.3.1.3b.1

    Raymond de VILLARS voit le jour le mercredi 22 août 1725 à Beaussac (24). Il est le fils naturel et légitime de Louis de VILLARS, Seigneur de Poutignac, âgé de 20 ans environ et de Marthe de MAILLARD de LACOMBE, âgée de 13 ans environ. Raymond sera Seigneur de Poutignac. Il s’unit avec Marie GOURDIN -, la fille naturelle et légitime de François GOURDIN et de Jeanne de SAUZET. Ce couple aura trois enfants : – Léonard né en 1756. – François. – Jean. Ils se marient en 1753. Le 12 mars 1756 naît son fils Léonard. Raymond est âgé de 30 ans. Son père Louis meurt le 26 juin 1763, Raymond est âgé de 37 ans. Raymond de VILLARS est décédé le dimanche 28 avril 1765, à l’âge de 39 ans, à Vilhonneur (16). 

    2.3.3.1.3b.2

    Marie Rose de VILLARS est née vers 1729. Elle est la fille naturelle et légitime de Louis de VILLARS, Seigneur de Poutignac, âgé de 24 ans environ et de Marthe de MAILLARD de LACOMBE, âgée de 17 ans environ. A sa naissance, elle a un frère Raymond (né en 1725). Marie sera Célibataire. Son père Louis meurt le 26 juin 1763, Marie est âgée de 34 ans environ. Sa mère Marthe meurt le 8 octobre 1769, Marie est âgée de 40 ans environ. Marie R. de VILLARS est décédée le jeudi 23 novembre 1809, à l’âge de 80 ans environ, à Beaussac (24). 

    2.3.3.1.3b.3

    Marie de VILLARS est née vers 1736. Elle est la fille naturelle et légitime de Louis de VILLARS, Seigneur de Poutignac, âgé de 31 ans environ et de Marthe de MAILLARD de LACOMBE, âgée de 24 ans environ. A sa naissance, elle a pour frères et soeurs : Raymond (né en 1725), Marie Rose (née vers 1729). Marie sera Célibataire. Son père Louis meurt le 26 juin 1763, Marie est âgée de 27 ans environ. Sa mère Marthe meurt le 8 octobre 1769, Marie est âgée de 33 ans environ. Marie de VILLARS est décédée le mercredi 20 novembre 1799, à l’âge de 63 ans environ, à Beaussac (24). 

    2.3.3.1.5a.1

    Jacques Louis Gabriel de CHAPT de RASTIGNAC voit le jour vers 1726. Il est le fils naturel et légitime de Charles de CHAPT de RASTIGNAC, Marquis de Laxion et d’Eléonore D’AYDIE, âgée de 31 ans environ. Jacques sera Marquis de Laxion. Sa mère Eléonore meurt le 17 juin 1741, Jacques est âgé de 15 ans environ. Il s’unit avec Gabrielle D’AYDIE (1727-1772), la fille naturelle et légitime de Jean D’AYDIE et de Henriette TEXIER de JAVERLHAC. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le dimanche 30 janvier 1746 à Champagnac-de-Belair (24). Le 26 avril 1772 son épouse Gabrielle meurt, Jacques est âgé de 46 ans environ. Il s’unit avec Marguerite de CHABANS (~ 1777-1837), la fille naturelle et légitime de Nicolas de CHABANS et d’Elisabeth Catherine d’ALOIGNY. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le jeudi 23 juin 1796 à Corgnac-sur-L’Isle (24). Jacques L. G. de CHAPT de RASTIGNAC est décédé le mercredi 24 août 1796, à l’âge de 70 ans environ, à Corgnac-sur-L’Isle (24). 

    2.3.3.1.5a.2

    Gabrielle de CHAPT de RASTIGNAC. Elle est la fille naturelle et légitime de Charles de CHAPT de RASTIGNAC, Marquis de Laxion et d’Eléonore D’AYDIE. Elle s’unit avec Joseph François DU MAS -, Marquis de Paysac, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mardi 26 juillet 1746 à Corgnac-sur-L’Isle (24). 

    2.3.3.1.5a.3

    Armand de CHAPT de RASTIGNAC. Il est le fils naturel et légitime de Charles de CHAPT de RASTIGNAC, Marquis de Laxion et d’Eléonore D’AYDIE. Armand sera Prêtre. 

    3.1.2.1.1.1

    Charles DU SOUCHET. Il est le fils naturel et légitime d’Armand DU SOUCHET, Sieur de Villars et de Marie FROTIER. Charles sera Chevalier, seigneur de Macqueville. Il s’unit avec Marie Angélique JOUBERT de SAINT-CHRISTOPHE -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Marie Magdeleine. Ils se marient le lundi 17 décembre 1736 à Rétaud (17). 

    3.1.2.1.1.2

    Louise DU SOUCHET. Elle est la fille naturelle et légitime d’Armand DU SOUCHET, Sieur de Villars et de Marie FROTIER. Elle s’unit avec Pierre BENOIST -, Sieur de Beaupré, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Michel. Ils se marient le mardi 8 décembre 1733 à Garat (16). 

    3.1.2.2.1.1

    François BOURRUT voit le jour vers 1712. Il est le fils naturel et légitime de Daniel BOURRUT, Maître-chirurgien, âgé de 35 ans environ et de Marguerite Rose VERGEREAU. François sera Sieur des Nauves. Son père Daniel meurt le 21 décembre 1735, François est âgé de 23 ans environ. Vers 1740 naît sa fille Marguerite. François est âgé de 28 ans environ. Il s’unit avec Marie NEBOUT (~ 1721-1759), la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Marguerite Rose née vers 1740. Ils se marient le mardi 23 février 1740 à Gurat (16). Le 9 février 1759 son épouse Marie meurt, François est âgé de 47 ans environ. François BOURRUT est décédé le lundi 11 octobre 1790, à l’âge de 78 ans environ, à Gurat (16). 

    3.1.3.1.1.1

    Léonard de LA FORESTIE. Il est le fils naturel et légitime de Jean Léonard de LA FORESTIE, Sieur des Aubards et de Madeleine DU SOUCHET. Léonard sera Sieur de L’Isle. Il s’unit avec Marie Rose AYMARD -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Marie née vers 1694. – Pierre Paul né vers 1696. Ils se marient le mardi 31 janvier 1690 à Angoulême (16). 

    3.2.1.1.1.1

    Pierre PERRY voit le jour vers 1708. Il est le fils naturel et légitime de Henri PERRY, Seigneur de Malleyrand, âgé de 40 ans environ et de Jeanne de SÉCHÈRE, âgée de 38 ans environ. Pierre sera Seigneur de Puymiraud. Son père Henri meurt le 20 mai 1730, Pierre est âgé de 22 ans environ. Sa mère Jeanne meurt le 7 décembre 1739, Pierre est âgé de 31 ans environ. Il s’unit avec Elisabeth BARRAUD (1717-1782), la fille naturelle et légitime de François BARRAUD et de Paule LÉRIGET. Ce couple aura deux enfants : – Jean Baptiste né en 1756. – Marie Elisabeth née en 1759. Ils se marient le mardi 28 janvier 1755 à Orgedeuil (16). Le 6 janvier 1756 naît son fils Jean. Pierre est âgé de 48 ans environ. Le 20 avril 1759 naît sa fille Marie. Pierre est âgé de 51 ans environ. Pierre PERRY est décédé le jeudi 3 octobre 1782, à l’âge de 74 ans environ, à Orgedeuil (16). 

    3.2.1.1.1.2

    Louis PERRY. Il est le fils naturel et légitime de Henri PERRY, Seigneur de Malleyrand et de Jeanne de SÉCHÈRE. Louis sera Seigneur de Malleyrand. Il s’unit avec Catherine DAUPHIN (1709-1754), la fille naturelle et légitime de François DAUPHIN et de Catherine DESCRAVAYAT. Ce couple aura deux enfants : – Suzanne Félicité née vers 1740. – Pierre né vers 1746. Ils se marient en 1735. Il s’unit avec Marie DELIMAIGNE -, la fille naturelle et légitime de Jean DELIMAIGNE et de Jeanne de LA PISSE. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mardi 9 janvier 1770 à Chabanais (16). 

    3.2.1.1.1.3

    Marie PERRY de MALLEYRAND. Elle est la fille naturelle et légitime de Henri PERRY, Seigneur de Malleyrand et de Jeanne de SÉCHÈRE. Elle s’unit avec Jean Élie DAUPHIN (1707-1765), Sieur de La Faurie, le fils naturel et légitime de François DAUPHIN et de Catherine DESCRAVAYAT. Ce couple aura deux enfants : – Jeanne née vers 1738. – Anne née vers 1740. Ils se marient le jeudi 16 avril 1733 à Marillac-le-Franc (16). 

    3.2.1.2.1.1

    Françoise de JAUBERT. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean de JAUBERT, Seigneur de La Courre et d’Anne JOUSSEAULME. Elle s’unit avec Léonard D’ARLOT -, Page du roi, le fils naturel et légitime de Jacques D’ARLOT et de Marie Claire de LADOIRE. Ce couple aura quatre enfants : – Louis. – Jean François. – Anne. – Léonard. Ils se marient en 1724. 

    4.1.1.3.1.1

    Pierre DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Joachim DU ROUSSEAU, Seigneur du Breuil et de Catherine BENOIST. Pierre sera Notaire. Il s’unit avec Geneviève de LAMARQUE -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Alexandre Jean Conrad né en 1770. Ils se marient le lundi 29 septembre 1766 à La Rochelle (17). 

    4.1.1.3.2.1

    Anne Suzanne Léontine de SALIGNAC est née le dimanche 26 novembre 1758 à Valence (16). Elle est la fille naturelle et légitime de Louis de SALIGNAC, Seigneur de Leyrière, âgé de 66 ans environ et de Suzanne DU ROUSSEAU. Son père Louis meurt le 17 octobre 1762, Anne est âgée de 3 ans. Elle s’unit avec Jean Raymond de SALIGNAC (1746-1824), Colonel de cavalerie, chevalier de Saint-Louis, le fils naturel et légitime d’Antoine de SALIGNAC et d’Anne SEGUIN. Ce couple aura un enfant : – Antoine Alexandre Auguste né en 1774. Ils se marient le mercredi 9 janvier 1771 à Valence (16). Le 15 février 1774 naît son fils Antoine. Anne est âgée de 15 ans. Anne S. L. de SALIGNAC est décédée le vendredi 25 février 1774, à l’âge de 15 ans, à Ventouse (16). 

    +4.1.1.3.3.1

    Suzanne DU ROUSSEAU est née le mardi 13 janvier 1739 à Coulgens (16). Elle est la fille naturelle et légitime de René DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et d’Eléonore de PLUMENT, âgée de 25 ans environ. Sa mère Eléonore meurt le 14 juillet 1752, Suzanne est âgée de 13 ans. Elle s’unit avec Pierre de DAVID (~ 1735-1770), Seigneur du Bois, le fils naturel et légitime de Jean de DAVID et de Françoise BORDIER. Ce couple aura deux enfants : – Françoise née en 1765. – Françoise née en 1768. Ils se marient le lundi 29 octobre 1764 à Coulgens (16). Le 6 septembre 1765 naît sa fille Françoise. Suzanne est âgée de 26 ans. Le 3 décembre 1768 naît sa fille Françoise. Suzanne est âgée de 29 ans. Le 15 août 1770 son époux Pierre meurt, Suzanne est âgée de 31 ans. Le 1 septembre 1787 sa fille Françoise meurt, Suzanne est âgée de 48 ans. Le 7 janvier 1794 sa fille Françoise meurt, Suzanne est âgée de 54 ans. Suzanne DU ROUSSEAU est décédée le vendredi 30 décembre 1808, à l’âge de 69 ans, à Vitrac (16). 

    +4.1.1.3.3.2

    Jean DU ROUSSEAU voit le jour le vendredi 18 octobre 1743 à Coulgens (16). Il est le fils naturel et légitime de René DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et d’Eléonore de PLUMENT, âgée de 29 ans environ. A sa naissance, il a une soeur Suzanne (née en 1739). Jean sera Seigneur de La Grange. Sa mère Eléonore meurt le 14 juillet 1752, Jean est âgé de 8 ans. Il s’unit avec Marie Catherine LHOUMEAU (~ 1744-1797), la fille naturelle et légitime de Jean Louis LHOUMEAU et de Marie Anne ROCHETTE. Ce couple aura neuf enfants : – Marie Anne Eléonore née en 1772. – Elisabeth née en 1775. – Marie Anne née en 1776. – Catherine Agathe née en 1777. – Jean né en 1779. – Catherine née en 1780. – Jean François né en 1783. – Jean François né en 1785. – Pierre. Ils se marient le mardi 23 juillet 1771 à Champagne-Mouton (16). Le 2 décembre 1772 naît sa fille Marie. Jean est âgé de 29 ans. Le 7 mars 1775 naît sa fille Elisabeth. Jean est âgé de 31 ans. Le 6 mai 1776 naît sa fille Marie. Jean est âgé de 32 ans. Le 14 décembre 1777 naît sa fille Catherine. Jean est âgé de 34 ans. Le 25 août 1779 naît son fils Jean. Jean est âgé de 35 ans. Le 21 septembre 1780 naît sa fille Catherine. Jean est âgé de 36 ans. Le 25 mai 1783 naît son fils Jean. Jean est âgé de 39 ans. Le 31 décembre 1785 naît son fils Jean. Jean est âgé de 42 ans. Le 30 novembre 1797 son épouse Marie meurt, Jean est âgé de 54 ans. Le 18 décembre 1804 sa fille Marie meurt, Jean est âgé de 61 ans. Jean DU ROUSSEAU est décédé le jeudi 25 juillet 1816, à l’âge de 72 ans, à Coulgens (16). 

    +4.1.1.3.3.3

    François DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de René DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et d’Eléonore de PLUMENT. François sera Seigneur de Coulgens. Il s’unit avec Marie MALLAT -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mardi 13 février 1776 à Angoulême (16). 

    +4.1.1.3.3.4

    Françoise DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de René DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et d’Eléonore de PLUMENT. Elle s’unit avec Pierre SURAUD -, Receveur des aides, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mercredi 23 septembre 1767 à Coulgens (16). 

    5.1.2.2.1.1b

    François DU ROUSSEAU voit le jour le mercredi 7 juin 1758 à Montbron (16). Il est le fils naturel et légitime de Jacques Louis DU ROUSSEAU, Chevalier, seigneur de Ferrière, âgé de 38 ans et de Marie Souveraine PERRY de SAINT-AUVENT, âgée de 30 ans environ. François sera Capitaine de dragons, chevalier de Saint-Louis. Son père Jacques meurt le 19 février 1765, François est âgé de 6 ans. Il s’unit avec Marie Michelle DES ROCHES de CHASSAY (1761-1800), la fille naturelle et légitime de Jean Alexandre DES ROCHES de CHASSAY et de Marguerite Antoinette de LA BREUILLE. Ce couple aura deux enfants : – Charles Maurille né en 1783. – Eléonore. Ils se marient le mardi 3 juillet 1781 aux Salles-Lavauguyon (87). Le 17 avril 1783 naît son fils Charles. François est âgé de 24 ans. Le 27 juin 1800 son épouse Marie meurt, François est âgé de 42 ans. Sa mère Marie meurt le 16 décembre 1816, François est âgé de 58 ans. François DU ROUSSEAU est décédé le mercredi 17 juin 1829, à l’âge de 71 ans, à Montbron (16). 

    5.1.2.2.1.2b

    Françoise Marie Souveraine DU ROUSSEAU est née le lundi 7 avril 1760 à Montbron (16). Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques Louis DU ROUSSEAU, Chevalier, seigneur de Ferrière, âgé de 40 ans et de Marie Souveraine PERRY de SAINT-AUVENT, âgée de 32 ans environ. A sa naissance, elle a un frère François (né en 1758). Son père Jacques meurt le 19 février 1765, Françoise est âgée de 4 ans. Elle s’unit avec Jean de GALARD de BÉARN (~ 1700-1790), Seigneur du Repaire, le fils naturel et légitime de Charles de GALARD de BÉARN et de Charlotte de GALARD de BÉARN. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le jeudi 5 mars 1789 à Rougnac (16). Le 25 août 1790 son époux Jean meurt, Françoise est âgée de 30 ans. Sa mère Marie meurt le 16 décembre 1816, Françoise est âgée de 56 ans. Françoise M. S. DU ROUSSEAU est décédée le samedi 27 février 1847, à l’âge de 86 ans, à Angoulême (16). 

    5.1.2.2.1.3b

    Louis Benjamin DU ROUSSEAU voit le jour le mercredi 29 décembre 1762 à Montbron (16). Il est le fils naturel et légitime de Jacques Louis DU ROUSSEAU, Chevalier, seigneur de Ferrière, âgé de 43 ans et de Marie Souveraine PERRY de SAINT-AUVENT, âgée de 34 ans environ. A sa naissance, il a pour frères et soeurs : François (né en 1758), Françoise Marie Souveraine (née en 1760). Louis sera Lieutenant de vaisseau, chevalier de Saint-Louis. Son père Jacques meurt le 19 février 1765, Louis est âgé de 2 ans. Sa mère Marie meurt le 16 décembre 1816, Louis est âgé de 53 ans. Louis B. DU ROUSSEAU est décédé le dimanche 26 février 1843, à l’âge de 80 ans, à Montbron (16). 

    5.1.2.2.1.4b

    Marie Anne DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques Louis DU ROUSSEAU, Chevalier, seigneur de Ferrière et de Marie Souveraine PERRY de SAINT-AUVENT. Elle s’unit avec Jean Baptiste GARNIER (~ 1757-1835), Propriétaire, le fils naturel et légitime de Charles Alexandre GARNIER et d’Anne de BARBARIN. Ce couple aura un enfant : – Eléonore née vers 1790. Ils se marient le lundi 21 janvier 1788 à Montbron (16). 

    5.1.2.2.2.1

    Maurille GUINGAND de SAINT-MATHIEU voit le jour le mercredi 8 janvier 1744 à Saint-Mathieu (87). Il est le fils naturel et légitime de Léonard Louis GUINGAND, Chevalier, seigneur de Saint-Mathieu et de Marie DU ROUSSEAU. Maurille sera Capitaine d’infanterie, chevalier de Saint-Louis. Il s’unit avec Marie Antoinette de WALLERS -, la fille naturelle et légitime de Louis Joseph de WALLERS et de Marie Albertine de LESCLUZE. Ce couple aura un enfant : – Pierre Albert Joseph né en 1785. Ils se marient le mardi 16 avril 1776 à Paris (75). Le 12 juin 1785 naît son fils Pierre. Maurille est âgé de 41 ans. Maurille GUINGAND de SAINT-MATHIEU est décédé le dimanche 8 juillet 1810, à l’âge de 66 ans, à Paris (75). 

    5.1.2.3.3.1

    Charles CHAPITEAU de RÉMONDIAS voit le jour le mercredi 8 août 1764 à Mainzac (16). Il est le fils naturel et légitime de Salomon CHAPITEAU, Chevalier, seigneur de Rémondias, âgé de 32 ans environ et de Thérèse DU ROUSSEAU, âgée de 33 ans environ. Charles sera Propriétaire, maire de Montbron. Sa mère Thérèse meurt le 16 mars 1785, Charles est âgé de 20 ans. Il s’unit avec Marie GUYOT -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Salomon Charles né vers 1787. – Marie Louise Antoinette née vers 1791. Ils se marient le jeudi 23 février 1786 à Asnières-sur-Blour (86). Vers 1787 naît son fils Salomon. Charles est âgé de 22 ans environ. Vers 1791 naît sa fille Marie. Charles est âgé de 26 ans environ. Son père Salomon meurt le 19 novembre 1804, Charles est âgé de 40 ans. Le 24 février 1822 sa fille Marie meurt, Charles est âgé de 57 ans. Charles CHAPITEAU de RÉMONDIAS est décédé le jeudi 7 janvier 1830, à l’âge de 65 ans, à Montbron (16). 

    Génération.6

    5.1.3.1.2.1 (5.1.4.2.1)

    Louise GUILLOT DU DOUSSAY est née le vendredi 1 décembre 1724 à Cussac (87). Elle est la fille naturelle et légitime de Charles GUILLOT DU DOUSSAY, Seigneur de La Reille et de Henriette d’ASNIÈRES. Louise sera Célibataire. Louise GUILLOT DU DOUSSAY est décédée le samedi 30 janvier 1779, à l’âge de 54 ans, à Biennat (87). 

    5.1.3.1.2.2 (5.1.4.2.2)

    Jean Baptiste GUILLOT DU DOUSSAY voit le jour le dimanche 11 juillet 1728 à Cussac (87). Il est le fils naturel et légitime de Charles GUILLOT DU DOUSSAY, Seigneur de La Reille et de Henriette d’ASNIÈRES. A sa naissance, il a une soeur Louise (née en 1724). Jean sera Lieutenant-colonel de cavalerie. Il s’unit avec Radegonde de LA RAMIÈRE -, la fille naturelle et légitime de Charles de LA RAMIÈRE et de Marie de ROCQUARD. Ce couple aura deux enfants : – Louis Gabriel né en 1757. – Charles né en 1761. Ils se marient en 1755. Le 31 décembre 1757 naît son fils Louis. Jean est âgé de 29 ans. Le 13 décembre 1761 naît son fils Charles. Jean est âgé de 33 ans. Jean B. GUILLOT DU DOUSSAY est décédé le samedi 23 janvier 1802, à l’âge de 73 ans, à Biennat (87). 

    Génération.7

    5.1.4.2.2.1

    Louis Gabriel GUILLOT DU DOUSSAY voit le jour le samedi 31 décembre 1757 à Cussac (87). Il est le fils naturel et légitime de Jean Baptiste GUILLOT DU DOUSSAY, Lieutenant-colonel de cavalerie, âgé de 29 ans et de Radegonde de LA RAMIÈRE. Louis sera Propriétaire, célibataire. Son père Jean meurt le 23 janvier 1802, Louis est âgé de 44 ans. Louis G. GUILLOT DU DOUSSAY est décédé le vendredi 3 avril 1829, à l’âge de 71 ans, à Rochechouart (87). 

    5.1.4.2.2.2

    Charles GUILLOT DU DOUSSAY voit le jour le dimanche 13 décembre 1761 à Cussac (87). Il est le fils naturel et légitime de Jean Baptiste GUILLOT DU DOUSSAY, Lieutenant-colonel de cavalerie, âgé de 33 ans et de Radegonde de LA RAMIÈRE. A sa naissance, il a un frère Louis Gabriel (né en 1757). Charles sera Chevalier de Malte. Son père Jean meurt le 23 janvier 1802, Charles est âgé de 40 ans. 

    5.1.4.3.1.1

    Jean JUDDE de LAUBANIE voit le jour vers 1744. Il est le fils naturel et légitime de René JUDDE, Sieur de Laubanie, âgé de 33 ans environ et de Jeanne AUTHIER. Jean sera Sieur du Chatenet. Il s’unit avec Marie FLEURAT (~ 1756-1830), la fille naturelle et légitime de Pierre FLEURAT et de Françoise VIDAUD. Ce couple aura trois enfants : – Marguerite. – Marie. – Marie. Ils se marient le lundi 10 février 1777 à La Chapelle-Montbrandeix (87). Son père René meurt le 29 mai 1784, Jean est âgé de 40 ans environ. Jean JUDDE de LAUBANIE est décédé le vendredi 10 janvier 1806, à l’âge de 62 ans environ, à Champagnac-la-Rivière (87). 

    5.1.4.3.1.2

    Antoine JUDDE de LAUBANIE. Il est le fils naturel et légitime de René JUDDE, Sieur de Laubanie et de Jeanne AUTHIER. Antoine sera Officier au régiment de La Force. Il s’unit avec Marie FLEURAT (~ 1748-1808), la fille naturelle et légitime de Pierre FLEURAT et de Françoise VIDAUD. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mardi 28 janvier 1766 à Champagnac-la-Rivière (87). 

    5.1.4.3.2.1

    Marguerite DESCHAMPS. Elle est la fille naturelle et légitime de Jacques DESCHAMPS, Bourgeois et de Gabrielle JUDDE. Elle s’unit avec Jean PABOT DU CHATELARD (~ 1720-1781), Maître de forges, le fils naturel et légitime d’Aubin PABOT et de Françoise de LA BRUNIE. Ce couple aura trois enfants : – Jacques né en 1753. – Marie Henriette. – Aubin. Ils se marient le mardi 24 novembre 1750 à Champsac (87). 

    5.1.5.1.3.1

    Françoise de MARSANGES. Elle est la fille naturelle et légitime de Jean de MARSANGES, Seigneur de Vaulry et de Thérèse Gabrielle de BEAUPOIL de SAINT-AULAIRE. Elle s’unit avec Antoine ESMOINGT de LAVAUBLANCHE -, Propriétaire, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Jean Emmanuel Achille né en 1779. Ils se marient le mardi 17 juin 1777 à Vaulry (87). 

    6.1.1.1.1.1

    André DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de Charles Louis Jacques DU ROUSSEAU, Marquis du Rousseau de Fayolle et de Marie Marguerite DU QUESNE-GUITTON. André sera Capitaine d’infanterie, chevalier de Saint-Louis. Il s’unit avec Marguerite Hélène de CRUGY-MARCILLAC -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Pierre Théodore. Ils se marient en 1774. 

    6.1.1.1.2.1

    Pierre Charles Gabriel de RECHIGNEVOISIN. Il est le fils naturel et légitime de René de RECHIGNEVOISIN, Seigneur de Caunay et de Renée Jeanne Simone DU ROUSSEAU. Il s’unit avec Henriette de LA ROCHE-CÉRY -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le lundi 13 juin 1774 à Ingrandes (86). 

    6.1.2.1.1.1b

    Jean Baptiste de PLUMENT voit le jour le vendredi 16 janvier 1750 à Étagnac (16). Il est le fils naturel et légitime de François de PLUMENT, Sieur de Bailhac, âgé de 50 ans environ et de Catherine LAURENT. Jean sera Propriétaire, maire d’Étagnac. Il s’unit avec Marie Alexandrine Victoire GUIOT DU DOIGNON -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Paul François né en 1778. Ils se marient le mardi 18 juillet 1775 à Lesterps (16). Le 30 décembre 1778 naît son fils Paul. Jean est âgé de 28 ans. Son père François meurt le 19 avril 1783, Jean est âgé de 33 ans. Jean B. de PLUMENT est décédé le lundi 13 octobre 1828, à l’âge de 78 ans, à Étagnac (16). 

    6.1.2.1.1.2b

    Jean Philippe de PLUMENT voit le jour le vendredi 11 mai 1759 à Étagnac (16). Il est le fils naturel et légitime de François de PLUMENT, Sieur de Bailhac, âgé de 59 ans environ et de Catherine LAURENT. A sa naissance, il a un frère Jean Baptiste (né en 1750). Jean sera Propriétaire. Son père François meurt le 19 avril 1783, Jean est âgé de 23 ans. Il s’unit avec Marie Rose de RAYMOND (1751-1789), la fille naturelle et légitime de Pierre François de RAYMOND et de Jeanne Catherine de JOUSSERANT. Ce couple aura un enfant : – Catherine Louise née en 1787. Ils se marient le lundi 29 mai 1786 à Lussac (16). Le 9 mars 1787 naît sa fille Catherine. Jean est âgé de 27 ans. Le 5 février 1789 son épouse Marie meurt, Jean est âgé de 29 ans. Jean P. de PLUMENT est décédé le dimanche 1 mars 1835, à l’âge de 75 ans, à Saint-Maurice-des-Lions (16). 

    6.1.2.1.1.3a

    Jacques de PLUMENT. Il est le fils naturel et légitime de François de PLUMENT, Sieur de Bailhac et de Jeanne DAUPHIN. Jacques sera Sieur de Bouchefaud. Il s’unit avec Françoise DUTEIL -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Marie. Ils se marient le lundi 9 février 1750 à Saulgond (16). 

    6.1.2.1.1.4b

    Jean de PLUMENT. Il est le fils naturel et légitime de François de PLUMENT, Sieur de Bailhac et de Catherine LAURENT. Jean sera Prêtre. 

    6.1.2.1.2.1 (4.1.1.3.3.1)

    Suzanne DU ROUSSEAU est née le mardi 13 janvier 1739 à Coulgens (16). Elle est la fille naturelle et légitime de René DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et d’Eléonore de PLUMENT, âgée de 25 ans environ. Sa mère Eléonore meurt le 14 juillet 1752, Suzanne est âgée de 13 ans. Elle s’unit avec Pierre de DAVID (~ 1735-1770), Seigneur du Bois, le fils naturel et légitime de Jean de DAVID et de Françoise BORDIER. Ce couple aura deux enfants : – Françoise née en 1765. – Françoise née en 1768. Ils se marient le lundi 29 octobre 1764 à Coulgens (16). Le 6 septembre 1765 naît sa fille Françoise. Suzanne est âgée de 26 ans. Le 3 décembre 1768 naît sa fille Françoise. Suzanne est âgée de 29 ans. Le 15 août 1770 son époux Pierre meurt, Suzanne est âgée de 31 ans. Le 1 septembre 1787 sa fille Françoise meurt, Suzanne est âgée de 48 ans. Le 7 janvier 1794 sa fille Françoise meurt, Suzanne est âgée de 54 ans. Suzanne DU ROUSSEAU est décédée le vendredi 30 décembre 1808, à l’âge de 69 ans, à Vitrac (16). 

    6.1.2.1.2.2 (4.1.1.3.3.2)

    Jean DU ROUSSEAU voit le jour le vendredi 18 octobre 1743 à Coulgens (16). Il est le fils naturel et légitime de René DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et d’Eléonore de PLUMENT, âgée de 29 ans environ. A sa naissance, il a une soeur Suzanne (née en 1739). Jean sera Seigneur de La Grange. Sa mère Eléonore meurt le 14 juillet 1752, Jean est âgé de 8 ans. Il s’unit avec Marie Catherine LHOUMEAU (~ 1744-1797), la fille naturelle et légitime de Jean Louis LHOUMEAU et de Marie Anne ROCHETTE. Ce couple aura neuf enfants : – Marie Anne Eléonore née en 1772. – Elisabeth née en 1775. – Marie Anne née en 1776. – Catherine Agathe née en 1777. – Jean né en 1779. – Catherine née en 1780. – Jean François né en 1783. – Jean François né en 1785. – Pierre. Ils se marient le mardi 23 juillet 1771 à Champagne-Mouton (16). Le 2 décembre 1772 naît sa fille Marie. Jean est âgé de 29 ans. Le 7 mars 1775 naît sa fille Elisabeth. Jean est âgé de 31 ans. Le 6 mai 1776 naît sa fille Marie. Jean est âgé de 32 ans. Le 14 décembre 1777 naît sa fille Catherine. Jean est âgé de 34 ans. Le 25 août 1779 naît son fils Jean. Jean est âgé de 35 ans. Le 21 septembre 1780 naît sa fille Catherine. Jean est âgé de 36 ans. Le 25 mai 1783 naît son fils Jean. Jean est âgé de 39 ans. Le 31 décembre 1785 naît son fils Jean. Jean est âgé de 42 ans. Le 30 novembre 1797 son épouse Marie meurt, Jean est âgé de 54 ans. Le 18 décembre 1804 sa fille Marie meurt, Jean est âgé de 61 ans. Jean DU ROUSSEAU est décédé le jeudi 25 juillet 1816, à l’âge de 72 ans, à Coulgens (16). 

    6.1.2.1.2.3 (4.1.1.3.3.3)

    François DU ROUSSEAU. Il est le fils naturel et légitime de René DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et d’Eléonore de PLUMENT. François sera Seigneur de Coulgens. Il s’unit avec Marie MALLAT -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mardi 13 février 1776 à Angoulême (16). 

    6.1.2.1.2.4 (4.1.1.3.3.4)

    Françoise DU ROUSSEAU. Elle est la fille naturelle et légitime de René DU ROUSSEAU, Seigneur de Coulgens et d’Eléonore de PLUMENT. Elle s’unit avec Pierre SURAUD -, Receveur des aides, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le mercredi 23 septembre 1767 à Coulgens (16). 

    6.2.1.1.1.1

    Françoise de FORNEL est née le vendredi 17 février 1719 à Saint-Mathieu (87). Elle est la fille naturelle et légitime de Pierre de FORNEL, Sieur de Limérac, âgé de 32 ans environ et de Jeanne DEVOISIN, âgée de 29 ans. A sa naissance, elle a une soeur Marthe (née vers 1708). Françoise sera Religieuse. Sa mère Jeanne meurt le 5 septembre 1747, Françoise est âgée de 28 ans. Son père Pierre meurt le 1 août 1751, Françoise est âgée de 32 ans. Françoise de FORNEL est décédée le jeudi 13 novembre 1788, à l’âge de 69 ans, à Angoulême (16). 

    6.2.1.1.1.2

    Jacques de FORNEL voit le jour le samedi 26 septembre 1722 à Marthon (16). Il est le fils naturel et légitime de Pierre de FORNEL, Sieur de Limérac, âgé de 35 ans environ et de Jeanne DEVOISIN, âgée de 32 ans. A sa naissance, il a plusieurs soeurs : Françoise (née en 1719), Marthe (née vers 1708). Jacques sera Sieur de Limérac. Il s’unit avec Anne MARCILLAUD (~ 1717-1785), la fille naturelle et légitime de Jean MARCILLAUD et d’Anne MARCILLAUD. Ce couple aura deux enfants : – Étienne Roch né vers 1753. – Jeanne née vers 1755. Ils se marient le mardi 5 février 1743 à Pluviers (24). Sa mère Jeanne meurt le 5 septembre 1747, Jacques est âgé de 24 ans. Son père Pierre meurt le 1 août 1751, Jacques est âgé de 28 ans. Vers 1753 naît son fils Étienne. Jacques est âgé de 30 ans environ. Vers 1755 naît sa fille Jeanne. Jacques est âgé de 32 ans environ. Le 27 novembre 1783 son fils Étienne meurt, Jacques est âgé de 61 ans. Le 13 juin 1785 son épouse Anne meurt, Jacques est âgé de 62 ans. Jacques de FORNEL est décédé le mardi 15 mars 1796, à l’âge de 73 ans, à Marthon (16). 

    6.2.1.1.1.3

    Louis Joseph de FORNEL voit le jour le dimanche 11 février 1725 à Marthon (16). Il est le fils naturel et légitime de Pierre de FORNEL, Sieur de Limérac, âgé de 38 ans environ et de Jeanne DEVOISIN, âgée de 35 ans. A sa naissance, il a pour frères et soeurs : Françoise (née en 1719), Jacques (né en 1722), Marthe (née vers 1708). Louis sera Sieur de Limérac. Sa mère Jeanne meurt le 5 septembre 1747, Louis est âgé de 22 ans. Son père Pierre meurt le 1 août 1751, Louis est âgé de 26 ans. Il s’unit avec Marguerite Mélanie DES SOURCES -, la fille naturelle et légitime de parents non relevés. Ce couple aura un enfant : – Madeleine Aimée. Louis J. de FORNEL est décédé le mardi 20 février 1770, à l’âge de 45 ans, à Sainte-Colombe (16). 

    6.2.1.1.1.4

    Jeanne Thérèse de FORNEL. Elle est la fille naturelle et légitime de Pierre de FORNEL, Sieur de Limérac et de Jeanne DEVOISIN. Elle s’unit avec Claude DU VERDIER -, Seigneur de Saint-Vallier, le fils naturel et légitime de François DU VERDIER et de Françoise Henriette DURIOU. Ce couple aura deux enfants : – Anne Angélique. – Suzanne Françoise. Ils se marient le jeudi 9 février 1747 à Angoulême (16). 

    6.2.1.1.2.1

    Marie de VILLEMANDY. Elle est la fille naturelle et légitime de Pierre Léon de VILLEMANDY, Sieur d’Anthieu et de Marguerite de FORNEL. Elle s’unit avec François LEDOUX (~ 1719-1777), Sieur du Luquet, le fils naturel et légitime de Guillaume LEDOUX et de Marguerite CORLIET. Ce couple aura deux enfants : – Marie Antoinette née en 1748. – François né en 1750. Ils se marient le mardi 14 novembre 1747 à Bunzac (16). 

    7.1.1.1.1.1

    Marguerite GAUBERT. Elle est la fille naturelle et légitime de Charles GAUBERT, Sieur du Poirier et de Marie BERTRAND. Elle s’unit avec Charles GARNIER (~ 1705-1739), Seigneur du Poirier, le fils naturel et légitime de parents non relevés. Ce couple aura deux enfants : – Eléonore née vers 1740. – Marguerite. Ils se marient le vendredi 11 février 1729 à Verneuil (16). Elle s’unit avec Antoine de LA FAYE (1708-1791), Seigneur de L’Allée, le fils naturel et légitime de François de LA FAYE et de Madeleine DEGORCE. Il n’y a pas d’enfants relevés pour ce couple. Ils se marient le lundi 30 janvier 1741 à Verneuil (16). 

    Chronique éditée pour Généalogie Charente Périgord.

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  • Fief dans la paroisse de Fouquebrune : M. Dutillet de Mézière.

    Il existait encore au XVIe siècle dans la paroisse de Fouquebrune, divers fiefs mouvant de l’évêché. La plupart se trouvent démembrés dans les deux siècles suivants.

    En 1276, Emery de Fouquebrune avoue tenir de l’évêque Guillaume de Blaye, sous l’achaptement d’éperons dorés, tout ce qu’il possède ou autres sous lui dans les paroisses de Fouquebrune, Dirac, Garat, Ladoux, Magnac, Touvre, Soyaux, Puymoyen, l’Isle d’Espagnac, l’Houmeau, Angoulême, Torsac, Angeac, Pranzac, et dans l’Anguienne.

    En 1470, Pierre de Chambes était seigneur de Fouquebrune, et le 30 septembre de la même année, Guy de Mareuil, seigneur de Ville. bois, lui permettait de fortifier ses maisons de Fougères et Fouquebrune, la première, dans l’hommage dudit seigneur à cause du fief de Fougères et de Plambaux, et l’autre, sise au bourg de Fouquebrune, dans l’hommage de l’évêque.

    Le 20 décembre 1472, Pierre de Chambes, fils de Jeanne Menuizier, fille et unique héritière d’Agnès de Fougères, sa mère, fournissait un aveu à l’évêque Raoul, pour les biens qu’il possédait dans les paroisses de Charmant, de Chadurie-et de Fouquebrune, tenus à hommage plain etachaptement de gants blancs appréciés à six deniers.

    Cet aveu était renouvelé en 1485 å l’évêque Robert de Luxembourg, par Pierre de Chambes ; le 10 juillet 1490, au même par Jean de Chambes, fils aîné de Pierre, et en 1519 à l’évêque Antoine d’Estaing, par Antoine de Chambes, fils de Jean.

    Le 11 février 1594, un partage eut lieu entre François de Chambes, écuyer, seigneur de Fouquebrune, demeurant à Fougères; Jean de Chambes, écuyer, sieur de Boisbaudrant, demeurant au lieu et bourg de Vilhonneur, en la châtellenie de Montbron; et Charles, écuyer, sieur de La Brousse, demeurant au même lieu que le précédent.

    Le 10 septembre 1668, les biens de Pierre de Chambes furent partagés entre Pierre, sieur de Fougères, Pierre Jaubert, sieur des Valoux, et demoiselle Marie de Chambes. Pierre de Chambes eut dans son lot (le premier), le fief de Fougères avec la moitié du pré, appelé le pré de La Font du Buguet, distraction faite des acquêts de Jean de Chambes sieur du Roc, et des biens des héritiers de feu Martial Chaignaud à la charge d’une soulte de 650 livres pour le possesseur du troisième lot.

    Marie de Chambes eut le second lot formé de la maison de Fouquebrune, du pré de Lit la joignant, d’un petit jardin par derrière, et d’un petit arrentement avec les articles de rente stipulés au nombre de vingt-et-un.

    Le troisième et dernier lot, échu à Jaubert des Valoux, était composé en entier de la métairie du Terme, avec les prés et vignes, circonstances et dépendances, tout ainsi et de la même forme qu’en jouissaient les métayers et bordiers, sans aucune réserve, avec les bois taillis, haute futaie, qu’on appelait la Brande brûlée et bois de la Sale y attenant, une muraille entre deux, confrontant par un côté au bois de la métairie de Fougères.

    Le 3 janvier 1696, fut passé un contrat portant démission de Louise Angibaud, veuve de Pierre Jaubert, écuyer, sieur des Valoux, et institution d’héritier universel dans tous les biens paternels et maternels, de Pierre Jaubert sieur du Terme, fils aîné, aux charges exprimées, entre autres, sous la réserve de l’usufruit du logis et métairie du Terme.

    En 1705 et le 1er août, par suite d’une vente faite par Pierre Jaubert, sieur du Terme et Aimée Robinet, sa femme, au sieur du Tillet des Vergnes, et d’une transaction conclue en 1707, Gabriel du Tillet devint seigneur en partie du Terme.

    Le 24 avril 1728 fut conclue une transaction entre M. Louis Jaubert des Valoux, dame Catherine Jaubert, épouse du sieur de La Place de La Tour Garnier, et Gabriel du Tillet, contenant entre autres choses, déport de la faculté de retirer le Terme et autres biens provenant de la succession de Pierre de Chambes, sieur du Terme et Aimée Robinet.

    En 1756, M. de Montalembert de Cers est dit seigneur de Fouquebrune, résidant en son château du Groc.

    Vers l’année 1770, par suite des démembrements opérés :

    M. du Tillet, procureur du roi, possédait la prise du pont d’Estampes,
    M. le comte de Segonzac possédait la Leterie, paroisse de Chadurie;
    Puygut, paroisses de Fouquebrune et Chadurie, formait un fief appartenant à M. de Charras;

    Un M. du Tillet était propriétaire de la pièce des Combes; M. de Mézières (du Tillet), conseiller, était dit sieur de chez Jamet.

    M. de Montalembert (Jean-Charles), chevalier, seigneur du Groc, Fouquebrune et de Houlme, appartenait à la première branche dite de Cers. Fils de Jean de Montalembert et de Marie-Anne Brossard, il naquit vers 1711, et entra en 1727 dans la compagnie des cadets de Metz. Chevalier de Saint-Louis en 1758, il fut nommé la même année major et commandant des ville et château d’Angoulême. Il mourut en 1786. Son frère Pierre, né le 6 février 1714 et mort en 1758, fut l’auteur de la deuxième branche de Cers, à laquelle aptient Charles-Forbes de Montalembert, marquis et comte de Montalembert, né le 29 mai 1810, ancien pair de France, député aux Assemblées nationales de 1848 et 1849, et membre de l’Académie Française.

    Chambes. — D’azur, semé de fleurs de lys d’argent sans nombre, au lion de même, couronné, armé et lampassé de gueules, brochant sur le tout.

    Jaubert. — D’azur, à la fasce d’or, accompagnée de six fleurs de lys de même, 3 en chef et 3 en pointe.

    Montalembert. — D’argent, à la croix ancrée de sable.

    Dutillet. — D’or, à la croix patée et alaisée de gueules.

    Source : Terres et fiefs relevant de l’évêché d’Angoulême, d’Edmond Sénemaud.

  • Comment on équipait un lieutenant au début du XVIIIe siècle

    Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1918

    Une étude fort documentée de M. George (« De l’obtention d’un brevet de capitaine, en 1693 », dans Bulletin de la Société Archéologique et Historique de la Charente, 1915) nous édifiait, naguère, sur ce qu’il en coûtait, à tous égards, pour parvenir au grade de capitaine, à la fin du XVIIIe siècle. Le postulant à cet emploi, qui constituait une propriété tacite, avait, en principe, la charge unique de lever le contingent de sa compagnie de ses propres deniers, avec tout ce que comportait de rétributions diverses, de primes d’engagement et de rasades, le recrutement de volontaires souvent hésitants. Dans la pratique, on achetait lé plus communément l’unité toute constituée, comme nous voyons procéder le jeune Pelluchon des Touches, dans le travail de M. George, quitte à en combler les lacunes par les moyens ordinaires. Mais auparavant, il fallait découvrir un résignataire, puis obtenir la commission, ce qui n’allait généralement pas sans recourir plus ou moins à de besogneux et coûteux intermédiaires. Enfin, on devait pourvoir à son équipage personnel, dont le faste était jusqu’à un certain point imposé par le rang qu’on avait à tenir et l’idée qu’on se faisait alors du prestige de la fonction.

    On conçoit sans peine que celle-ci ne fût guère accessible qu’aux jeunes gens riches, en dehors de quelques vieux officiers de carrière dont le Roi se réservait toujours d’utiliser les mérites en les aidant de sa cassette personnelle. Mais pour les grades inférieurs, l’écart avec notre conception moderne des fonctions publiques était bien moindre. Les brevets de sous-lieutenant et de lieutenant ne comportaient d’autre obligation que celle de s’équiper décemment. Et cependant, nous allons voir qu’en raison de la médiocrité des ressources des classes moyennes d’alors, cette simple condition à l’obtention d’un emploi qui, comme de nos jours, ne suffisait pas à faire’vivre son titulaire, décourageait les vocations. Aussi n’était-il pas rare que des cadets de familles même nobles, passionnés malgré tout de l’honneur de « servir », se contentassent de l’état de simple soldat, sans jamais tenter de sortir du rang.

    Les éléments de ce qui va suivre ont été entièrement puisés dans les Archives Départementales de la Charente, au fonds des Notaires, et dans les minutes de Ch. Gervais, notaire à Agris (E. 720-726).

    Là vivait, au début du XVIIIe siècle, un apothicaire, issu d’une ancienne famille bourgeoise de la région, Hélie Boissier, sieur de La Fayolle, que nous trouvons habitant d’abord le bourg même d’Agris, puis une maison isolée qui existe encore, au moins en partie, au lieu dit Les Barrières, dans la même paroisse. Marié en premières noces à une demoiselle Gesmond (1), d’une famille locale de condition analogue, il en avait eu au moins un fils, Roch, mineur en 1711, et était remarié, à cette date, avec Marie Lériget (2), aussi d’Agris, dont il ne paraît pas avoir eu d’enfant. Par sa première femme, il était le beau-frère de Jean Demarginière (3), de Jean Barraud, sr des Meules, et de François Renaud (4), chirurgien, qui avait épousé la plus jeune des quatre sœurs, Catherine Gesmond. Parmi ses proches parents paternels, peut-être ses frères, il comptait un garde des eaux et forêts d’Angoumois, Jean Boissier, sr des Combes (5) — dont il semble que la descendance soit encore représentée de nos jours, — Jean Boissier, sr de l’Esbaupin, et François Boissier, sr de La Motte (6). Tous ces noms appartiennent essentiellement à la bonne bourgeoisie rurale du duché de La Rochefoucauld.

    Les transactions au nom d’Hélie Boissier sont rares, dans le fonds des notaires d’Agris. Cependant, le 16 août 1702, nous le voyons acheter (7), à réméré et pour la somme de 60 livres, une pièce de terre d’un demi-journal appelée La Loupe, mouvante de la seigneurie de Ribérolle et sise aux Barrières, dans la tenue des Noailles. Le 30 juin de l’année suivante, le vendeur lui abandonnait son droit de rachat pour 30 sols.

    Mais au début de 1711, Hélie Boissier décida que son fils essaierait « sa fortune », comme on disait alors. Le jeune homme postulait un emploi de lieutenant d’infanterie et songeait à s’équiper. Où trouver l’argent nécessaire ? D’un commun accord, le père et le fils eurent recours au prêt sur gage, sous la forme euphémique d’une vente à réméré. Et ils s’adressèrent au prêteur qui offrait sans doute le plus de garanties de désintéressement, puisqu’il était, nous l’avons vu, le propre oncle du jeune homme. Le 22 février, Rocq Boixier (8), procédant sous l’autorité d’Hélie Boissier, sieur de La Faiolle, son père, vend à François Renaud qui, pour la circonstance, se qualifie « marchand », trois pièces de terre labourables sises dans la paroisse d’Agris, aux alentours du village de La Grange. appelées La Terre Noire, Les Grand’Vignes et Les Chamas, en tout environ deux journaux, confrontant par divers côtés aux terres de l’acquéreur, « moyennant le prix et Somme de Cents quatre Vingt seize Livres pour le payement de laquelle le dit Renaud a présentement délivré au dit Rocq Boixier Vendeur Un cheval de laage de six ans de poil Bay en tous les crains Bien marqué de moyenne taille Estimé avec son arnois la Somme de six Vingts Livres Et un paire de pistollets Estimés Cinqte livres et le surplus revenant à la Somme de Ving six Livres a esté Payée aussy presentement manuelle et Comptant Par le dit acquéreur au dit Vendeur…; et a ledit Vendeur declaré qu’il entend ce Servir dudit Cheval et armes pour le Service de sa maiesté ou II doit aller la Campagne prochaine en qualité de lieutenant d’Infantrie du Regt de ponthieux Et les Vingt six Livres d’argent seront employées pour aider au surplus de son Equipage auquel Il luy auroit Esté impossible de fournir sans Ce secours. Et par ces mesmes presentes ledit renaud acquereur a acordé de grace Specialle audit rocq Boixier vendeur faculté de Rentrer pendant Cinq ans dans lesd lieux vendus en par le dit Vendeur le Ramboursant a une Seulle fois en deniers Effectifs de la ditte Somme de Cents quatre Vings seize livres, prix de Ia ditte Venthe fraits et loyaux Cousts (9) ».

    Aucune trace ne subsiste de l’usage que Roch Boissier aurait pu faire de son droit de rachat dans le délai prescrit, et ce que nous savons de François Renaud dans l’art d’arrondir son bien donne à penser que le gage demeura définitivement entre ses mains.

    Mais, sur ces entrefaites, la commission étant arrivée, il devient urgent de vêtir convenablement le nouveau lieutenant, partant, de se procurer du numéraire. Le 4 mars 1711, Rocq Boissier, Lt de la Compaignie du sr Dumesny dans le Regiment de Ponthieux, procédant sous l’autorité de Hélie Boissier, sr de La Fayolle, son père, vend à Jean Forgeaud, fils d’Anthoine, laboureur à bœufs, demeurant à « Asgrix », quatre pièces de terre d’une contenance totale de trois journaux et quart, sises aux environs du village de La Grange, et appelées La Pierrière, l’Esbaupin (10), Unze Ven, — la quatrième, sur le village des Foucauds, étant innomée (11), — moyennant la somme de quatre vingt seize livres payée comptant, laquelle le vendeur déclare vouloir « Employer à l’achapt Dun habit Justacort Vezte Culottes Et autres fournitures necessaires a son esquipage pour le service De sa maiesté ou Il doibt aller La campaigne prochene en qualité De lieutenan Dinfanterie Dud Regiment De ponthieux Et auql esquipage Il luy auroit esté Impossibe De fournir sans ce secours…. »

    La même faculté de rachat que précédemment, sous les mêmes conditions, lui est accordée pendant 5 ans, « de grasse specialle » (12). A noter la mention en post-scriptum, que la qualité de l’acquéreur n’avait pas permis d’ajouter à l’acte précédent, mais que nous retrouverons tout-à-l’heure « En accordant ces pntes a este paye En depanse Par lacqr Du Commandemt du Vandr trente cinq solz », — façon de faire supporter les frais du contrat par l’acheteur.

    Mais plus approchait la date du départ, plus il était clair pour le jeune officier et pour son père que l’aventure était plus onéreuse, sans doute, qu’ils ne l’avaient prévu. Bien que la destination de la troisième somme réalisée ne soit plus mentionnée, cette fois, on peut avec vraisemblance admettre que l’acte passé quelques jours plus tard, à la date du 13 mars, n’avait pas d’autre objet que de munir Roch Boissier d’un peu d’argent de poche et de couvrir les frais du voyage. Ce jour-là, « Rocq Boixier, lieutenant de la Companie du sieur dumesnye dans le Regiment de ponthieux, procedant sous l’autorité de helie boixier sieur de la faiolle mre appre son pere », accense et arrente à Jean Feuillade, d’Agris, laboureur à bœufs, deux pièces de terre labourables « estant de present en Champois », sises dans les appartenances du village de La Grange, comme les précédentes. Ce sont la pièce « des Longs Seillons », d’une contenance d’environ 2 journaux, et celle appelée « au Chiron, dans les Conbes » (10), pour lesquelles sera servie une rente annuelle seconde, « hutille et amortissable de 40 sols, payable à la St Michel l’amortissement devant s’en faire jusqu’à concurrence d’une somme de 40 livres, en trois ans à partir de la date de l’acte. La clause ordinaire de réméré, pendant cinq ans, est accordée, « de grâce specialle », au vendeur (13).

    Enfin, voilà le jeune homme parti pour la gloire, — et la fortune, peut-être…. Combien de temps durèrent les illusions de sa famille ? Quels furent ses propres déboires ? A défaut d’une correspondance jaunie dont on peut présumer l’échange et le sens avec certitude, nous pouvons entrevoir la vérité à travers ces froids grimoires notariés le désenchantement a été complet en moins de cinq ans. Nous verrons plus loin, en effet, que Roch Boissier avait dû se marier vers le milieu de 1715 et avait fixé peu après sa demeure dans la paroisse d’Agris, chez son beau-père.

    L’acte du 17 novembre de cette année, au surplus, ne prouve pas qu’il fût au service, ni même absent, mais simplement que, pour rémunérer son père, sans doute, des sacrifices que celui-ci avait faits en sa faveur, il lui avait abandonné ses droits sur certaines bribes de son bien propre, où nous voyons figurer cette pièce des « Longs Seillons » qu’il avait arrentée, avant son départ, à Jean Feuillade. Celui-ci l’avait trouvée en si mauvais état, mangée de mauvaises herbes, remplie de pierres et obstruée de « chirons que, cinq semaines plus tard, il faisait avec amertume constater le fait par un procès-verbal de notaire, le 27 avril 1711. Sans doute la mauvaise humeur de Feuillade était-elle exagérée, puisqu’il semble bien que le droit de rachat ait été exercé par les Boissier. Mais pas pour longtemps. Car après un accord sous seing privé survenu entre le père et le fils, le 8 novembre 1715, le 17 « Helie Boissier mre appre comme Cessionnere Et estant aux droits de Rocq boissier sr de La Fayolle (14), son filz », vend à Jean Marthonneau, pour 75 la pièce des « Longs Seillons », en même temps que celle du Roc, d’environ un journal et demi, au lieu de celle des Combes.

    Tout cela ne semble pas indiquer que les affaires de la famille fussent en brillant état, et il est permis de supposer que le point de départ en ait été l’équipée militaire du fils. La dot de la seconde femme de l’apothicaire se trouvait probablement compromise, à telle enseigne que, le 1er janvier 1716, il doit assigner « sur tous et chacuns ses biens presents et avenir » tous les meubles de Marie Lériget et certaine somme de 250 # qu’il déclare avoir employée à ses affaires propres et particulières (15).

    Il n’est désormais plus question d’Hélie Boissier. Mais les relations entre le père et le fils ne semblent pas avoir jamais cessé d’être bonnes. Même, la seconde femme du père semble être devenue la tante du fils, car il est à croire que Madeleine Lériget, que Roch avait épousée en 1715, comme nous l’avons dit, était la fille d’un frère de Marie. Son père, en tout cas, était Pierre Lériget. demeurant aux Camus de Moussac (16), paroisse d’Agris, et sa mère feue Madeleine Degaroste.

    Toujours à court d’argent, l’ex-officier réalise tout ce qu’il peut. Le 29 novembre 1717, « Rocq boissier, sr de la fayolle demeurant De pnt au Village des Camus de Moussac, parroisse d’Agrix », en sa qualité d’héritier « bénéfisier », pour un tiers, de feu François Gesmond, sr de Cussac, son aïeul maternel, vend à François Pétis (17), marchand, demeurant au bourg de Villejoubert, sa tierce part dans la métairie de Cussac, située au bourg de Villejoubert et sur les territoires de Saint-Amant-de-Boixe, Montignac-Charente et Saint-Estienne dudit Montignac, sans qu’il soit besoin dé la spécifier davantage, ledit Pétis ayant déclaré bien connaître les lieux (18). Le prix est de 666# 13~ 4* sur laquelle l’acquéreur a payé comptant 300# 10~ 4* les 300 livres restantes devant être versées dans un délai de dix ans, en servant une rente annuelle d’un sol pour livre.

    Enfin, un motif d’intérêt, sans doute justifié, porte encore Roch à un acte assez douloureux. Le 29 novembre 1717, sur les huit heures du matin, à la requête de Rocq Boissier, sieur de La Fayolle, et de damelle Madeleine Lériget, son épouse, tous deux demeurant au village des Camus de Moussac, en vertu d’une autorisation qui leur a été donnée quelques jours auparavant par le juge sénéchal du duché de La Rochefoucauld, — le notaire Ch. Gervais se transporte avec eux audit village, en la demeure du sieur Pierre Lériget. Là, ayant rencontré ledit Lériget, ils le somment de leur délivrer la moitié des biens dotaux et conventions matrimoniales de feue damoiselle Magdeleine Degaroste, leur mère et belle-mère, tant en principal qu’intérêts de « souffrir » que soit fait un inventaire des membres et « effaiz » qui se trouvent dans sa maison, et de choisir un arbitre qui en fasse l’estimation pour sa part, faute de quoi il en sera désigné un ‘d’office. De leur côté, les demandeurs ont fait choix du leur, en la personne de Me Jean Demarginière(19), qui les accompagne. Mais Pierre Lériget s’oppose énergiquement à tout inventaire, consentant seulement à payer à son gendre et à sa fille la moitié des deniers dotaux qu’il peut avoir touchés de sa femme, leur belle-mère et mère, e en par eux justifiant de leurs droits et Vuidant la maison Dud sr Leriget qu’ils occupent presentement » représentant qu’au surplus, « led boissier a demeuré dans sa maison plus de deux ans en sa, attandeu que le bien De sa femme nest suffizant ny capable de les nourir ny entretenir tous deux. »

    A quoi Roch Boissier rétorque que, s’il a demeuré dans la maison de son beau-père, « c’est pour le soubstien et maintien De la maizon dud Lériget ou il a esté contrain De faire plusieurs Voyages pour les affaires particulières Dud Lériget tant a La Rochett que angme et ailleurs, ou Il a mesme employé pluzieurs sommes et Deniers de son argent propre Pour Lesafaires Dud Leriget ainsy qu’il sera Prest de Justifier en venan à compter, putre qu’il a mené et conduit Dans la maizon dud Leriget du bled vin et autre choze pour sa nouriture et entretien De sa maizon Venant De son bien ainsy qu’il sera prest de Justifier en temps et lieu. » Là-dessus, le notaire se retire en dressant un procès-verbal que signent : « Leriget, sans approuver rien de prejudiciable a mes droits attandu que je suis despourveu de conseil — Boissier — magdelene leriget — J. Marginiere — f. Brousse — Ch. Gervais nore roïal hereditaire. »

    C’est sur cette pénible scène de famille que nous tournerons cette page de la vie de Roch Boissier. Cela n’est pas de la grande Histoire; c’est à peine de l’Histoire locale, — de l’Histoire de mœurs. Mais c’est un aperçu de plus sur les conditions d’existence des classes moyennes rurales, aux deux derniers siècles de la Monarchie, dans notre région de petites propriétés où, le paysan étant aisé, le bourgeois et le gentilhomme étaient nécessairement pauvres. On ne se fait une idée juste de leur détresse qu’en parcourant, dans les archives particulières, les correspondances de cette époque. Un moment, le salut parut leur venir, de très loin, dans le magnifique essor colonial qui s’élargit tant vers le milieu du XVIIIe siècle et auquel notre Angoumois et les provinces voisines apportèrent un concours si enthousiaste. Mais la Révolution survint, et le mouvement fut enrayé net avant même que la perte de nos colonies fût un fait accompli. Le mouvement migratoire continua mais s’il mena les familles moins loin, ce fut sans esprit de retour. Elles se sont, pour la plupart, éteintes, hors du sol natal, comme si la sève s’était tarie dans ces vieux troncs déracinés…. Quelques-unes sont restées, heureusement, et c’est le cas de celle qui vient de nous occuper.

    Georges de Massougnes des Fontaines

    Notes :

    1. Fille de Me François Gesmond, sr de Cussac, garde des eaux et forêts d’Angoumois, et de dame Jeanne Gervais, tout deux déjà décédés en 1697. Ce nom, uni à celui de Bouniceau, était encore représenté naguère dans le département.

    2. Fille de jean Lériget, sr de Larchier, et de Marie Alanore, décédés avant 1716.

    3. Jean Demarginière, seul de sa famille, signait « J. Marginière ». Ce nom, sous cette dernière forme, a subsisté presque jusqu’à nos jours.

    4. Par contrat du 8 mai 1697. François Renaud, issu de la paroisse de la Rochette, où il habitait le village des Aillards, vint après son mariage, demeurer à celui de La Grange, en Agris. D’abord qualifié « sieur du Mineur » dans les minutes de Dubournais, — après 1713 il habite, à Agris même, le logis noble de La Michenie, dont il s’intitule sieur, par suite de l’acquisition qu’il en avait faite, à cette date, d’un marchand de biens d’Angoulême, Jean Pétis, se disant « blanchier » (E. 694, Dubournais jeune, not. à Agris). Possesseur d’une certaine fortune, qui semble s’être accrue longtemps, François Renaud était fils de Jean et de Marie Gounin, veuve en secondes noces (1697) de Me Jean Gervais, garde des eaux et forêts d’Angoumois. Son fils, Clément Renaud, sr de la Michenie, acheta une charge de notaire royal à Agris, où il exerça ses fonctions de 1742 à 1763 (Arch. Char. E. 777-794).

    5. Demeurant au village des Massés, — auj. Chez Masset, ou mieux: Chez Macé, — paroisse de Brie-de-La Rochefoucauld. Toute cette région, voisine de la Braconne, fourmillait alors de forestiers.

    6. Demeurant à Chez-Caille, — ou mieux: Chez Cail — en la paroisse d’Agris.

    7. De Noël Bezaud, sr du Parc et de Marie Dubournais, sa femme, demeurant au village de Puysaguet, paroisse d’Agris.

    8. Remarquer, en passant, que ce nom, qui veut dire forestier, est écrit indifféremment sous la même plume, par deux s ou un x, ce qui sert une fois de plus à prouver que cette dernière lettre n’était utilisée, jadis, que comme un double, et que des noms comme Texier, Boixier, La Boixe, Luxé, Xambes ou Bruxelles, ne doivent pas se prononcer autrement que Tessier, Boissier, La Boisse, Lussé, Sambes ou Brusselles (en flamand Brussels). Rien de plus fâcheux, pour la conservation de la prononciation française, que la vulgarisation de la « science » de l’orthographe !

    9. L’acte, passé au village de la Grange, dans la maison de l’acquéreur, est signé « Boissier — F. Renaud — h Boyssier, sanrien aprouver à mais autres droitz de préjudisiable — J. Couprie — L. ferrand ». Le notaire a oublié de signer.

    10. L’Esbaupin, Les Combes, etc. autant de lopins de terres, de simples champs appartenant à la même famille, dont nous voyons les noms portés par divers de ses membres, selon la coutume devenue générale à cette époque dans les familles nobles ou bourgeoises, à défaut de terres importantes, et à l’imitation des possesseurs de plusieurs fiefs.

    11. Ces pièces sont mouvantes, la 3e, à rente, du sgr de Coulgeant, et les trois autres, l’agrier et terrage, de Mgr le Duc de La Rochefoucauld et des hoirs du sr Fureau de Villemalet, « comme les ayant acquises du Roy nostre sire ».

    12. L’acte, passé « au lieu des Barrières parre dud Agrix maison et demeure dud helie Boissier et dud Vendeur en pnce de Jean Boissier, sr de Lesbaupin et René Martin clerq d’ au village des Mauberards et de Pussecq pare dud Agrix est signé « Boissier — J. Fourgaud — h. Boyssier — J. Boyssier — rené martinet (sic) — Ch. Gervais, nore Roial héréditaire ».

    13. « Fait et passé au lieu des Barrières parroisse susd en la maison et demeure dud hélie boixier et dud sieur bailleur, le treize mars mit sept Cens Onze avant Midy, es présence de jean de guilard escuyer Chevalier du quesroy et René martin, Clerc, demeurans scavoir led sieur de Guitard Escuyer au bourgt de st Constant Et ledit martin au village de puisse paroisse dudit agrix » Signé : « h. Boyssier — Boissier — Jean de Guitard — J. Fouillade — rené martine — Ch. Gervais note Roial héréditaire — En acordant ces pntes a esté payée En dépance Par Le Preneur Du Commandemt Dudt sr bailleur qnarante solz — Boissier ».

    14. C’est probablement par suite d’une cession réelle que la qualification de sieur de la Fayolle avait passé du père au fils, du vivant du premier.

    15. Parmi les meubles figurent un peu de vaiselle d’étain et quelques couverts de même métal, et la somme de 250 # est dite provenir en partie du don fait à Marie Lériget par feu Monsr de Gourville, et en partie du partage fait centre ladite « Lérigette » et ses frères, sœurs et beaux-frères, des biens de feus Jean Lériget, sr de Larchier, et Marie Alanore, ses père et mère. Monsieur de Gourvillle désigne sans doute, ici, Jean Hérauld, sgr de Gourville, né à La Rochefoucauld en 1625, mort en 1703, le célèbre financier frondeur et l’auteur des Mémoires.

    16. Les Camus de Moussac, aujourd’hui : Les Camus, village, commune d’Agris.

    17. Le nom de ce François Pétis,qui exerçait probablement la profession inavouée de « marchand de biens », doit être rapproché de celui de Jean Pétis, autre trafiquant de la même catégorie, dont il a été question ci-dessus, note 4.

    18. La métairie de Cussac est tenue et mouvante « aveq autres lieux Tant à Ranthe que agrier, Du chasteau De Montignac, abaie de st amant de boixe, Prieuré dud. st estienne Et chastelard dud. st amant de boixe ». — Me François Mallet, notaire et procureur de la chastellenie de Montignac-Charente, demeurant au bourg de St Amant de Boixe, assiste à la vente. Cette métairie de Cussac doit être recherchée parmi les maisons du bourg de Villejoubert, car le nom n’en figure aujourd’hui en aucun point isolé des trois paroisses dont elle dépendait.

    19. Nous avons vu qu’il était l’oncle maternel par alliance de Roch Boissier.

  • Le glas résonnait au clocher de l’église de Saint-Ciers-sur-Bonnieure, ce 8 octobre 1766. Mais déjà, de Vilars au Chenêt et du Breuil à Esnord, chaque manant de la paroisse connaissait la nouvelle : Messire Jean-Jacques de Salomon venait de mourir en son logis.

    Pourtant elle avait fait de son mieux, Françoise de la Cour, elle n’avait rien négligé et surtout pas lésiné pour soigner son époux dont la santé, à trente-sept ans seulement, donnait les plus vives inquiétudes.

    Monsieur Valier, docteur en médecine, le sieur Sirier, chirurgien à Angoulême ainsi que Fayoux, son associé s’étaient succédés au chevet du malade appliquant des « traitements » et ordonnant des « médicaments » malheureusement aussi inefficaces que ceux du sieur Moreau, chirurgien à Saint-Angeau à qui l’on devait encore la somme de 111 livres 13 sols.

    Avec six enfants mineurs à élever (dont l’aîné n’avait que onze ans) et bientôt sept, lorsque celui qu’elle portait naîtrait au printemps prochain, Françoise de la Cour n’avait pas le droit de se laisser aller à son chagrin.

    Aussi moins d’un mois plus tard réunissait-elle un conseil de famille et convoquait-elle à Saint-Ciers le sieur Quillard, notaire, afin de faire dresser l’inventaire détaillé des biens appartenant à la communauté, dans le souci « d’éviter tous les reproches qui pourraient lui être faits ».

    Heureusement elle n’était pas dans le besoin. Du grandpère, négociant en vins à Rochefort, Jean-Jacques de Salomon avait gardé le sens des affaires ainsi qu’une confortable aisance. De son père, Jacques de Salomon, écuyer, conseiller secrétaire du Roy près la Cour du Parlement de Bordeaux, il tenait la seigneurie du Chastenet en Saint-Amant-de-Bonnieure, dans laquelle il avait placé un fermier efficace, et la seigneurie de Saint-Ciers dont il occupait le logis près de l’église paroissiale.

    Pendant trois semaines, d’environ 8 heures du matin à midi et de 2 heures de l’après-midi à la nuit tombante, le notaire inventoria les meubles et les objets, la vaisselle et les outils, le linge et les papiers.

    Au total, c’est à la somme de 14.522 livres 18 sols et 7 deniers qu’il évalua la succession.

    Les vêtements du « feu seigneur de Saint-Ciers » furent aussi estimés à l’exception de certains — plus faciles à transformer sans doute — gardés pour l’usage des mineurs.

    Ainsi nous apprenons quelle pouvait être la garde-robe d’un gentilhomme angoumoisin qui, bien que d’une famille fraîchement anoblie n’en portait pas moins des armoiries « d’argent à une bande d’azur chargée de trois étoiles d’or accompagnée de six torteaux de gueules posés en orle, trois en chef et trois en pointe ».

    Les vêtements de Jean-Jacques de Salomon étaient pour la plupart rangés dans les meubles de la grande salle du logis. Ainsi, dans « un armoire à deux battants et un tiroir dans le bas, de bois de noyer presque neuf et fermant de clef » étaient empilées pas moins de cent trente deux chemises de différentes toiles, « la majeure partie usées, les autres assez bonnes ».

    Il ne faut pas s’étonner de trouver cette armoire lingère dans la grande salle puisque là était le lit du seigneur (bois de lit à la duchesse avec literie confortable, garni de rideaux de ras vert et taffetas ornés de rubans jaunes, estimé 200 livres).

    Lit et armoire ne représentant qu’une partie du mobilier de la pièce, lequel se composait également de huit fauteuils et de dix-sept chaises, de quatre tables et d’un guéridon, d’une autre grande armoire en noyer et d’une commode en bois d’ébène dont les trois tiroirs regorgeaient de vêtements.

    M. de Salomon, en effet possédait dix habits, dix-huit culottes et vingt-quatre vestes de différents tissus et de valeurs fort variables. Les trois plus belles de ces vestes sont estimées 30 livres chacune malgré une usure évidente.

    La première : en satin couleur de feu « galonnée à la Bourgogne d’un galon d’or brillanté large de trois doigts, ayant les derrières et les manches de callemande ».

    Fragment d’un tableau de Boily, 1787 : « La famille Gohin ».

    (Musée des Arts Décoratifs. Paris.)

    La seconde : avec des devants en écarlate brodés d’or.

    Et la troisième, toute de velours cramoisi doublée d’une peluche de même couleur.

    Aussi raffinées sont les vestes de soie : l’une verte galonnée d’or et doublée d’une peau jaune, une autre brodée de fleurs d’or, la troisième aux devants de péruvienne doublée d’une sergette de soie et les deux dernières en droguet de soie dont une « hors service parce que toute percée ».

    Cinq autres vestes de drap chamois, or ou noir, doublées de ras blanc paraissent plus rustiques.

    Une veste de flanelle fort usée, une de velours dont les galons ont été décousus, une de ratine d’Angleterre pourpre, une de lainage rayé d’Agen, deux d’écarlate, deux de basin doublées d’une toile de brin blanchie, une de « bergopsom » fort usée et deux de camelot dont l’une est du même gris que l’habit qu’elle accompagne, viennent compléter cette garderobe aux couleurs chatoyantes.

    Les mêmes tissus se retrouvent dans les habits qui sont de soie, de « bergopsom », de camelot, de ratine, mais surtout de drap garni parfois de parements et collets en peluche.

    Les culottes sont serrées au-dessus du genou par un ruban ou une agrafe. Parfois assorties à la veste et de couleur vive (rouge ou verte), elles sont plus souvent noires mais toujours doublées de peau jaune excepté deux doublées de toile de coton. Les boutons en font la garniture : bouton de jais, de poil, de soie ou d’or, assortis à la jarretière.

    Et à la taille, ceintures de soie noire ou ceinturons — de soie également — dont l’un est couleur de feu et l’autre jaune citron.

    M. de Salomon possédait aussi dans ses armoires deux douzaines de mouchoirs de poche assez bons, quatre bonnets de coton et quatre robes de chambre : une en « gros de Tours » doublée de toile grise, une de siamoise brodée et deux de flanelle fort usée.

    Les neuf paires de bas de soie noire bien qu’usés et troués seront estimées 4 livres, mais les trois gilets de basin sans manches, les jarretières de laine rouge et la « mauvaise paire de canessons d’espagnolette » gardés pour l’usage des enfants mineurs.

    Peu valeureuses semblent être les chaussures du seigneur puisqu’on note une paire de bottes molles tellement usées qu’elles valent tout juste 30 sols, deux paires de gros et vieux souliers, deux paires d’escarpins de veau ciré, quatre « socqs » de peau blanche et trois paires de « chossettes » de cuir jaune jugées de maigre valeur par le notaire. Seules sont appréciées les bottes récemment remontées estimées à 4 livres.

    Peut-être les jours de fête, le seigneur de Saint-Ciers remplaçait-il les boucles noires de ses chaussures et celles de ses jarretières par les boucles d’argent à brillants évaluées trente livres et soigneusement gardées dans le tiroir d’une table en bois d’ébène.

    En même temps il devait porter son chapeau presque neuf « mi-castor » orné d’un bouton de poil et d’un cordon de soie et choisir sa meilleure paire de gants blancs, ses autres chapeaux bordés d’or — mais en mauvais état — ainsi que ses autres gants restant rangés dans la grande armoire. Et ce jour-là probablement ceignait-il la plus valeureuse de ses deux épées, celle à la poignée d’argent mastiquée d’or.

    Rien ne nous dit si M. de Salomon portait perruque ; peut-être la lui a-t-on laissée lors de sa toilette funèbre, il ne reste dans les armoires que deux mauvaises bourses à cheveux.

    * * *

    Avec les vêtements du seigneur ou dans les armoires voisines étaient rangées les robes et les jupes de la dame Françoise de la Cour ainsi que ses bijoux et de nombreuses coiffures. Mais ceux-ci, comme les « hardes des mineurs » n’ont point été inventoriés.

    Le linge de maison par contre fait l’objet d’une estimation : les linceux de brin de lin ou de chanvre, au nombre de 48, valent de 3 à 5 livres le drap de six aunes tandis que 21 linceux d’étoupe, de quatre aunes seulement sont réservés aux domestiques. Pour les usages quotidiens on trouve deux douzaines de torchons de cuisine, 34 douzaines de serviettes tant de toile d’étoupe que de toile de lin et 46 nappes dont certaines sont de gros brin, de réparonne et d’autres de toile fine ourlée et ouvrée.

    Tout ce linge de maison, qu’il soit de chanvre ou de lin est sans aucun doute d’origine locale, filé et tissé sur place comme les textiles utilisés par les paysans.

    Ce qui fait l’originalité de la garde-robe du seigneur, ce sont bien les fibres nobles comme la soie, l’éclat des coloris, la richesse des galons et broderies, les passementeries aux fils d’or, les boucles d’argent à brillants. et par les chemins de Saint-Ciers on devait de loin reconnaître notre gentilhomme tant à sa silhouette qu’à l’éclat de son costume.

    Références : Arch. Dép. Chte 2 E 12453 ; Arch. privées des descendants de J.-J. de Salomon ; « Histoire de St-Ciers » de M. Reible (non publié).

    Glossaire des noms de tissus cités

    Basin : Etoffe croisée à chaîne de lin et trame de coton.
    Bergopsom : Peut-être de Berg-op-Zoom, ville des Pays-Bas.
    Callemande : ?
    Ecarlate : Tissu d’un rouge éclatant obtenu par un colorant tiré de la cochenille.
    Flanelle : Tissu de laine peignée ou cardée, peu serré, doux et pelucheux.
    Lainage rayé d’Agen : Probablement une serge.
    Peluche : Genre de velours à poils longs.
    Péruvienne : Etoffe du Pérou (lainage sergé ?).
    Ratine d’Angleterre : Drap croisé au poil tiré en dehors et frisé.
    Réparonne : Tissu de chanvre utilisant la fibre de 2° qualité (la lrc servant à faire le « brin »).
    Satin : Serge mince et légère.
    Taffetas : Tissu de soie mince façon toile.
    Velours : Etoffe de coton, soie, laine, etc., dont l’endroit offre un poil court et serré et dont l’envers est ras.

    * * *

    Pour les autres termes consulter le glossaire de l’article de Pierre Boulanger, Tome XII, lre livr., pp. 34-35.

    Source : La garde-robe d’un seigneur angoumoisin au XVIIIe siècle, de Michel Renaud.

  • Salomon de Saint-Ciers (Jean-Jacques).

    Famille d’Angoumois anoblie par charge de conseiller-secrétaire du roi en 1739, sa filiation est suivie depuis 1681.

    Né le 19 janvier 1755 à Saint-Ciers (Charente). Fils de Jean-Jacques, conseiller secrétaire du roi, et de Françoise-Madeleine de La Cour de Fontimbert. Petit-fils de Jacques, conseiller secrétaire du roi, et de Marie Rome. Frère de Paul-Joseph, né le 23 mars 1756, capitaine dans Aquitaine-infanterie, qui émigra. Marié à Élisabeth de Constantin (fille de Jacques, sgr de Villars, lieutenant général de police d’Angoulême), dont il eut : Jean-Jacques, né le 1er septembre 1783 à Saint-Ciers, garde du corps à la Restauration puis lieutenant-trésorier.

    Reçu garde du corps dans la compagnie de Beauvau (depuis Noailles) le 27 mai l 774. Retiré en avril l782. Il émigra et fit la campagne de l792 à l’armée des Princes dans la compagnie à cheval des gentilshommes de Saintonge. Mort à Angoulême le 30 mai 1816.

    Source : Les gardes du corps de Louis XVI, de Gilbert Bodinier.

  • Boissier, avec Généalogie Charente Périgord

    Origine très ancienne, nom provenant de boissière, lieu couvert de bois, clairière, d’après le dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle.

    Filiation suivie

    I. — Blaise Boissier, né en 1574, décédé en 1624, sieur de Maubras, garde des eaux et forêts d’Angoumois, marié avec Louise Leclerc, d’où : 1° Pierre Boissier, qui suit ; 2° Léonarde Boissier, mariée avec Imbert Ferrand, praticien ; 3° Louise Boissier, mariée avec Jean Broussard, marchand, d’où Pierre Broussard, notaire royal ; 4° Autre Louise Boissier, mariée avec Michel Poumeau, bourgeois ; 5° François Boissier, sieur de Grand-Champ, marié d’après acte du 29 janvier 1647, avec Louise Benoist ; 6° Roch Boissier, garde des eaux et forêts d’Angoumois, marié d’après acte du 11 janvier 1634, avec Catherine Frotier.

    II. — Pierre Boissier, sieur de La Fayolle, marié d’après acte du 14 février 1638, avec Marie Fureau, fille de François Fureau, garde des eaux et forêts d’Angoumois, et Jeanne de Rouffignac, d’où : 1° Roch Boissier, qui suit ; 2° François Boissier, sieur de La Mothe, marié d’après acte du 11 novembre 1682, avec Jeanne Malterre ; 3° Hélie Boissier, maître-apothicaire, marié d’après acte du 3 novembre 1685 avec Jeanne Gesmond, fille de François Gesmond, garde des eaux et forêts d’Angoumois, et Jeanne Gervais, d’où Roch Boissier, lieutenant d’infanterie ; 4° Jean Boissier, bourgeois, marié d’après acte du 17 novembre 1688, avec Marguerite Lériget.

    III. — Roch Boissier, sieur de La Fayolle, marié d’après acte du 14 mai 1675, avec Françoise Riffaud, fille de Gilet Riffaud, marchand, et Marie Dumousseau, d’où : 1° Jean Boissier, qui suit ; 2° Catherine Boissier, mariée d’après acte du 27 janvier 1701, avec Jean Grassin, maître-chirurgien, d’où Louis Grassin, né en 1717, décédé en 1791, sieur des Combes, père de Jean Grassin, né en 1752, décédé en 1833, notaire, maire de la commune de Coulgens.

    IV. — Jean Boissier, sieur des Combes, garde des eaux et forêts d’Angoumois, marié d’après acte du 18 septembre 1702 avec Marie-Anne Béchamil, fille de Pierre Béchamil, maître-chirurgien, et Elisabeth Benoist, d’où : 1° Jean Boissier, qui suit ; 2° Elisabeth Boissier, mariée d’après acte du 21 août 1725, avec Philippe Constantin, notaire royal, d’où : 1° Jean-Jacques Constantin de Villars, né en 1728, décédé en 1814, lieutenant-général de police à Angoulême ; 2° Elisabeth Constantin, mère de Pierre Fureau de Villemalet, né en 1760, décédé en 1795, général de division ; 3° Louise Constantin, femme de Alexis Lavialle, né en 1735, décédé en 1796, président de l’administration du district d’Angoulême.

    V. — Jean Boissier, sieur des Combes, fermier de l’abbaye Saint-Ausone d’Angoulême, marié d’après acte du 27 octobre 1734, avec Louise Benoist, fille de Roch Benoist, sieur du Châtelard, et Marie Valleteau, d’où : 1° Roch Boissier-Descombes, qui suit ; 2° Louise Boissier-Descombes, mariée d’après acte du 8 novembre 1761, avec Philippe Héraud, avocat, d’où Marie-Anne Héraud, belle-sœur de Pierre-Armand Pinoteau, né en 1769, décédé en 1834, général de brigade ; 3° Marie-Anne Boissier-Descombes, mariée d’après acte du 3 février 1756, avec Laurent Delisle, maître-chirurgien, oncle par alliance de René Doche, né en 1760, décédé en 1834, député de la Charente à l’assemblée législative ; 4° Anne Boissier-Descombes, mariée d’après acte du 8 mai 1757, avec Charles-Joseph Ducluzeau, greffier des eaux et forêts d’Angoumois ; 5° Marie Boissier-Descombes, mariée d’après acte du 5 février 1782, avec Jean Lhoumeau, marchand ; 6° Jean Boissier-Descombes, bourgeois, propriétaire du logis du Châtelard à Puyréaux, marié d’après acte du 9 février 1766, avec Marie-Catherine Plaignaud ; 7° Laurent Boissier-Descombes, né en 1759, décédé en 1829, bourgeois, propriétaire, député aux États provinciaux, capitaine de la garde nationale, maire de la commune d’Agris, marié d’après acte du 23 février 1784, avec Marie Arondeau ; 8° Marie Boissier-Descombes, mariée d’après acte du 5 novembre 1776, avec Jacques Meslier, avocat ; 9° Anne Boissier-Combes, mariée d’après acte du 11 juillet 1780, avec François Pantet, bourgeois.

    VI. — Roch Boissier-Descombes, né en 1749, décédé en 1807, lieutenant des chasses du comte d’Artois, député/maire/procureur/commissaire pendant la Révolution, marié 1) avec Marthe Orillac, décédée en 1777, d’où Marie-Denise Boissier-Descombes, mariée d’après acte du 12 janvier 1790, avec Jean Rivaud, né en 1765, décédé en 1803, général de division et propriétaire de l’hôtel de Bardines à Angoulême 2) avec Marie Boissier, d’où Alexandre Boissier-Descombes, né en 1782, décédé en 1813, chef de la bande responsable de l’attaque de la diligence de Churet.

    Archives départementales

    1626. — Vente par Louise Clerc, veuve de Blaise Boissier, vivant garde des eaux et forêts, d’une pièce de terre appelée Le Parc, paroisse de La Rochette.

    Vente par Héliot Ferrand à Jacques Boissier, d’une pièce de vigne au lieu dit La Terrière, paroisse de La Rochette.

    1638. — Transaction entre Jacques Lemercier, écuyer, sieur de La Borde et de La Trimouille, demeurant audit lieu noble de La Borde, et Pierre Boissier, praticien, au sujet de la ferme de la métairie dudit lieu de La Borde.

    1644. — Partage par dame Louise Le Clerc, veuve Blaise Boissier, vivant garde des eaux et forêts, entre Roch Boissier, aussi garde des eaux et forêts, Pierre Boissier, sieur de La Fayolle, et François Boissier, sieur de Grand-Champ, ses enfants, de tous ses biens meubles et immeubles, sous certaines conditions et réserves spécifiées dans l’acte.

    1649 — Transport par Roch Frotier­ Tizon, écuyer, sieur de La Rochette, tant pour lui que pour Clément Frotier-Tizon, son fils, à Pierre Boissier, sieur de La Fayolle, de toutes les rentes leur appar­tenant à cause de leurs seigneuries de Terrebourre, Chez-Pouillac et Villards.

    1656-1657. — Vente par François Gervais, avocat, maître particulier des eaux et forêts d’Angoumois, à Pierre Boissier, sieur de La Fayolle, d’une pièce de terre près le village des Barrières.

    Vente par Pierre Dufouilloux à François Boissier, notaire à La Rochette, d’une grange sise au village des Foucauds, paroisse d’Agris.

    1708-1713. — Vente par Jean Saulnier, laboureur, à Jean Boissier, sieur des Combes, garde des eaux et forêts d’Angoumois, de trois lopins de terre près le village des Chabrouleaux.

    1720-1722. — Procès-verbal à la requête de Jean Boissier, sieur de L’Aubépin, des dégâts commis dans un champ de blé d’Espagne lui appartenant.

    1731-1734. — Donation par Élizabeth Béchemilh, fille majeure, demeurant au village de La Motte, paroisse de Jaudes, à maître Philippe Constantin, notaire royal, et demoiselle Élizabeth Boissier, sa femme, nièce et filleule de ladite Béchemilh, en reconnaissance des bons services à elle.

    Vente par Pierre Ferrand, marchand, à François Boissier, sergent royal, demeurant en la paroisse d’Agris, d’une pièce de terre labourable sise en ladite paroisse.

    1738-1739. — Bail à ferme par Hélie Boissier, praticien, de présent engagé au service de Sa Majesté avec monsieur de Guitard, capitaine d’infanterie, à maître François Boissier, sergent royal, de tous les biens-fonds et héritages appartenant audit Hélie Boissier, du chef de Roch Boissier, son père, dans les paroisses d’Agris et de La Rochette.

    Cheptel à moitié croît, pour un an, de 2 vaches de six ans estimées 120 livres, et de 2 boeufs de tire estimés 160 livres, consenti à un laboureur de la paroisse de Brie et à sa femme par Jean Boissier, sieur des Combes, garde en la maîtrise des eaux-et-forèts d’Angoumois.

    1759. — Arrentement par Clément Boissier, sieur de Beaumont, soldat, à François Boissier, sergent royal, d’une maison tombant en ruines, au lieu des Barrières, paroisse d’Agris.

    1769. — Bail à ferme de la moitié des dîmes de la paroisse de Brie, consenti moyennant 1,200 livres, chacun an, à Jean Boissier, sieur des Combes, bourgeois, et à Robert Machenaud, sieur des Plantes, aussi bourgeois, par ladite abbesse.

    Bibliothèque généalogique

    • Pierre Dubourg-Noves, Châteaux, manoirs et logis : La Charente, 1993.

    Maison Boissier-Descombes. Cette demeure, qui ne fut pas noble, est située au village de « Chez Masset ». Elle appartenait, en 1752, à Jean Boissier, sieur Descombes, garde des Eaux et Forêts. C’est une belle demeure du XVIIIe siècle, avec une aile principale et une autre, plus courte, en retour. Elle possède deux niveaux sur cave, et un en surcroît. Les fenêtres sur rez-de-chaussée sont en arc bombé, celle de l’étage, rectangulaires ; au-dessus, se voient de petites lucarnes. Une belle porte avec imposte sous arc bombé, dans un avant-corps à angles arrondis sous un entablement à moulures saillantes, occupe le centre de la façade. Le logis a été pour moitié modernisé tristement, et reste pour l’autre dans son état ancien, avec plusieurs cheminées Louis XV à trumeau peint. La margelle du puits est datée de 1744. Cette maison avoisinait le cimetière des chiens de la meute des la Rochefoucauld, qui y étaient enterrés avec une plaque de cuivre mentionnant leur nom et leur pédigrée. Tout vestige de cette intéressante sépulture semble avoir malheureusement disparu.

    • Jane-Marcelle Delahaye, Notes historiques sur Agris, paroisse d’Angoumois, 1975.

    La famille Boissier (le nom de Boissier est l’équivalent de Forestier) est à l’origine une famille de gardes des Eaux et Forêts. On remonte dans la généalogie de cette famille jusqu’à la fin du XVIe siècle où vit Blaise Boissier, garde, époux de Louise Clerc (ou Le Clerc) dont la fille Léonarde Boissier est baptisée le 12 octobre 1614 dans l’église d’Agris. Elle a pour marraine Léonarde Laisné, femme de Roch Frotier Tison, escuyer, sieur de La Rochette et de Sigougnes. Blaise Boissier fait un échange d’héritage en 1622 et meurt peu après puisque Louise Clerc est déclarée veuve dans un bail à ferme qu’elle fait en 1624 à Georges Saulnier clerc de plusieurs rentes dont une seigneuriale et foncière due à la seigneurie de Ribérolles et que ledit Boissier avait affermée de la demoiselle Marsay. En 1644, Louise Le Clerc partage ses biens avec ses enfants : Roch Boissier, aussi garde des Eaux et Forêts ; Pierre Boissier, sieur de La Fayolle ; François Boissier, sieur de Grand-Champ.

    Pierre Boissier, sieur de La Fayolle, époux de dame Marie Furaud de Villemalet, habite aux Cailles, paroisse d’Agris, en 1656 puis aux Maubras en 1661. Le 26 novembre 1670, il lui est fait par Jean de Guitard, écuyer, sieur de La Borie et de Ribérolles autorisé de maître Pierre de Saunières « son tuteur onéraire », un bail à ferme « de la maison noble de Ribérolles avec les métairies du Logis, du Gainard (?), de La Moussière, de Chez Gaillou, autrement Chez Micheau, et généralement de toutes les dépendances de la seigneurie de Ribérolles sauf le corps de logis qui est au-dessus du portail et entrée de ladite maison de Ribérolles, dans lequel ledit seigneur entend faire son habitation, en allant et venant, et y loger ses meubles, ledit bail moyennant 1 400 livres par an, payables savoir, une moitié à la fête de Saint-Jean, l’autre moitié à la fête de Noël ».

    Pierre Boissier, sieur de La Fayolle, et Marie Furaud vivent encore lors du mariage de leur plus jeune fils, François Boissier, sieur de La Mothe, domicilié chez Caille, paroisse d’Agris, avec Jeanne Malterre, en 1682.

    Au début du XVIIIe siècle, s’élevait, au village des Barrières, paroisse d’Agris, la maison du maître-apothicaire Hélie Boissier, fils aîné de feu Pierre Boissier, sieur de La Fayolle, époux de Jeanne Gesmon. Il avait acheté cette maison en 1702, ainsi qu’une terre au lieu-dit La Loupe, de Bezaud Noël, sieur du Parc, et de Marie Dubournais, son épouse, du Puyssaguet, le tout relevant de la seigneurie de Ribérolles. La porte de la maison de l’apothicaire était surmontée d’une inscription latine servant d’enseigne. En voici le texte qui fut communiqué à la Société Archéologique et Historique de la Charente (1936, p. XXXIII) :

    ECCE DOMUS PHARMACOPOLÆ
    MEDICAMENTA SUNT
    DEORUM MANUS

    (Ici la maison du pharmacien. Les médicaments sont la maison des dieux.)

    La maison existe toujours, du moins en partie, au lieu-dit Les Barrières, et l’inscription est encore lisible sur une pierre en forme de demi-cercle encastrée dans le mur au-dessus d’une petite porte donnant dans la cour.

    Veuf de Jeanne Gesmon, décédée à l’âge de trente-sept ans et enterrée le 29 juin 1697 dans la chapelle Saint-Paul de l’église d’Agris, Hélie Boissier épouse en secondes noces Marie Lériget, fille de Jean Lériget, sieur de La Taillandière et de Larchier (mort ainsi que sa femme avant 1705). Son frère, Jean Boissier, sieur de Laubespin (terre en agris), a épousé Marguerite Lériget, sœur aînée de Marie, tandis que Jean Lériget, fils, s’unit en 1716 à Françoise Boissier, sœur des précédents.

    De son premier mariage, Hélie Boissier, maître-apothicaire, a un fils, Roch Boissier, sieur de La Fayolle (parfois dit René), qui épouse le 28 novembre 1715 Madeleine Lériget, fille de Pierre Lériget, sieur de Beaumont. La sœur de Madeleine Lériget, Anne Lériget, est mariée à Barthélemi Gadon, praticien en 1718, puis juge assesseur de la châtellenie de Saint-Mary en 1724 et procureur au siège de La Rochefoucauld en 1725. Les deux sœurs, Madeleine et Anne, et leurs époux, Roch Boissier, sieur de La Fayolle, et Barthélemi Gadon, se partagent en 1718 les biens de la succession de dame Madeleine de Garoste, leur mère et belle-mère, femme (ou veuve) de Pierre Lériget. En 1727, Hélie Boissier et Marie Lériget partagent avec Roch Boissier, fils de Jeanne Gesmon, première femme d’Hélie, plusieurs fonds dépendant de la succession de celle-ci. A sa mort, Hélie Boissier, âgé d’environ quatre-vingts ans, est enterré dans l’église d’Agris le 10 juillet 1736. Roch Boissier meurt avant 1741, date à laquelle Madeleine Lériget est dite veuve dans un acte de vente. Décédée à Villemalet dans la maison de son fils Hélie, elle est inhumée le 11 février 1756 dans la chapelle Saint-Paul de l’église d’Agris, âgée d’environ soixante-dix ans.

    La famille Boissier se perpétue avec Jean Boissier, sieur des Combes, garde des Eaux et Forêts, dont on retrouve le nom entre 1720 et 1748 dans plusieurs actes d’achat de terres. Sans doute est-ce lui qui, en 1761, est dit fermier général de l’abbaye de Saint-Ausone d’Angoulême quand il fait avec le prieur-curé de la paroisse de Brie, un bail à ferme à Pierre Rossignol, laboureur, des dîmes de la paroisse de Brie. En 1789 le nom de Boissier, sieur des Combes, sera soudé en Boissier-Descombes. A Agris, le sieur Laurent Boissier, de La Brousse, est alors le plus riche propriétaire terrien de la paroisse.

    • Stéphane Calvet, Les grandes affaires criminelles de la Charente, 2011.

    « Le sieur Descombes père, sans état avant la révolution et retiré à la campagne, vivait de ses rentes, sa fortune personnelle était de 130 000 à 140 000 francs. S’étant prononcé pour les principes de la Révolution, il fut appelé à la place de procureur syndic du District de La Rochefoucauld à celle de maire de sa commune et depuis à celle de percepteur des contributions. Ses opinions politiques et ses relations ont toujours été bonnes. Quant à sa probité on ne saurait lui faire le moindre reproche. »

    Une étude dans les différentes registres paroissiaux et dans l’état civil montre, en outre, qu’il dispose d’un solide réseau de parentèle et de clientèle à travers tout le département de la Charente. Possédant plusieurs propriétés, il est lié aux Fureau de Villemalet, ainsi qu’à la famille Frottier de La Rochette. Son mariage, célébré à Saint-Projet-Saint-Constant le 7 décembre 1790, permet également de voir qu’il compte parmi ses amis un certain Constantin-Villars, lieutenant général de police à Angoulême. Enfin il a été, par sa sœur Marie Denise, le beau-frère du général de division Rivaud, l’une des plus grandes gloires locales de cette époque. Honnête et raisonnable, Boissier-Descombes père est cependant mis à l’index dès qu’on évoque sa conduite privée. Rudler affirme ainsi : « Le mauvais exemple qu’il a donné à ses enfants par ses mœurs dissolues et l’attachement aveugle qu’il avait pour son fils sont les sources de ses malheurs (…). Sa fortune se trouve réduite à 50 000 ou 60 000 francs. Outre son fils et une fille mariée, il est encore chargé de cinq enfants ». Il est vrai que ces derniers sont tous issus d’un mariage contracté en 1790 avec sa cousine germaine Marie Boissier avec laquelle il a vécu un long moment en concubinage. Né le 22 octobre 1783, Antoine est donc le fruit d’une union illégitime. Marcel Reible certifie même que la première épouse du père Boissier-Descombes se serait suicidée en raison des frasques amoureuses de son époux. Mais une fois de plus, aucun document d’époque ne nous permet d’infirmer ou de confirmer cette hypothèse. Il est certain néammoins que l’homme a eu des enfants illégitimes avec sa cousine germaine, ce qui peut paraître scandaleux dans le monde de la notabilité de l’époque. Quoi qu’il en soit, le préfet de la Charente estime que cette immoralité serait à l’origine de la mauvaise conduite du fils dont il dresse un portrait peu flatteur.

    • Revue de Saintonge & d’Aunis, 1938.

    Ce titre pourrait faire croire à un roman ; pas du tout, c’est un récit d’histoire locale, une histoire de brigands. L’affaire se passe sous Napoléon Ier, en 1807. Une diligence transportant une somme très importante à l’adresse de la Banque de France, part d’Angoulême pour Paris, et se trouve attaquée près du pont de Churet, non loin de son lieu de départ, par plusieurs individus conduits par un nommé Boissier-Descombes, fils d’un gros propriétaire de la région. C’est une affaire banale. Mais elle devient intéressante lorsqu’on s’aperçoit des ménagements dont bénéficient Boissier et ses acolytes. Le chef de la bande, condamné à 24 ans de bagne, ne subit pas la flétrissure de la marque ; on essaie de le faire évader du fort du Hâ, on se résout enfin à l’envoyer au bagne de Rochefort où il mourut en 1813.

    M. Reible s’est demandé quelle pouvait être la cause de tant de mansuétude à l’égard d’un voleur de grand chemin. Il en trouva l’explication aux Archives de la Charente et aux Archives nationales. Des documents irréfragables lui permirent de constater que parmi les nombreux fonctionnaires mêlés au procès, certains d’entre eux étaient affiliés à la Franc-Maçonnerie, de même qu’un nommé Boissier-Descombes, sans prénom, le père du condamné sans doute ou même celui-ci.

    Ce petit livre, plein de détails intéressants, est précieux pour l’histoire locale. Il donne, en un style expressif et coloré, un aperçu sérieux de la vie sociale, politique et judiciaire au début du XIXe siècle.

    • Mémoires de l’Académie celtique, 1807.

    Tout est ici encore une fois celtique, et les choses et les mois; c’est donc dans le celtique qu’il faut chercher à retrouver ces derniers, qui n’ont de latin et de grec que la finale, encore pas toujours; car le breton et le gallois ont, comme le latin, beaucoup d’adjectifs en us. Or la langue celtique m’offre trois élymologies du nom d’Esus, plus ou moins vraisemblables, entre lesquelles je vous laisse à choisir, Messieurs. Celle qui s’accorde le mieux peut-être avec notre bas-relief, dans lequel on voit un Dieu au milieu d’un bois, qui émonde un arbre comme un bûcheron, c’est celle de Gwez, Goez, en construction wez ou oez, qui se contractent facilement en ez, lequel devient Esus, en ajoutant la finale latine us, et signifie sauvage, rustique, farouche, féroce, sylvestris, ferus, adjectif formé du substantif gwez, arbres, bois, comme l’adjectif latin sylvestris ou sylvester, et le français sauvage, sont formés du substantif latin sylva; comme encore nos mots français forestier, boisier, d’où le nom propre boissier, homme qui travaille et vit dans les bois, et bûcheron, ont été dérivés, l’un du mot forest, l’autre du mot bois, et le troisième des mots bûcher, bûche, bosc ou bois. L’Esus des Celtes serait donc alors le Silvanus, ou le dieu Silvain des Romains, mot dérivé, comme on sait, de Sylva, forêt. Ce qui le confirme, outre l’analogie du nom, c’est que ce dieu est représenté sur plusieurs monumens comme l’Esus de nos autels druidiques, une serpe à la main, un habit rustique qui lui descend jusqu’aux genoux, et des arbres à ses côtés. Nonnus le représente comme un renverseur d’arbres et un perce-forêts, nom d’un héros de la mythologie druidique. Sur une pierre de la chaussée, il est placé entre deux arbres, et tient d’une main une serpe. Sur une médaille il est nu, tient d’une main le pedum, et de l’autre la serpe, avec le mot Silvain; on le voit sur un jaspe de Stosch debout sous deux arbres, tenant de la main droite une serpe; enfin sur un bas-relief de Beger, il tient dans la droite une serpe, dans la gauche une branche de pin, et auprès sont d’autres pins, dont cette branche paraît détachée. Silvestris et Silvanus étaient aussi les épithètes de Mars, et Rusticus d’Hercule. On offrait, selon Caton, des vœux dans la forêt à Mars Silvanus; les Romains et les autres peuples latins appelaient Mars Silvestris.

    Liens web

    Le procès de l’attaque de la diligence.

    Comment on équipait un lieutenant au début du XVIIIe siècle.

  • Mon cher Directeur, Les Sociétaires d’Hallali-Charente viennent de faire une magnifique chasse en Braconne, en l’honneur du divin patron des chasseurs. Seulement le dénouement de ce magnifique laisser-courre a failli devenir tragique. Vous en jugerez par ce compte rendu que je vous adresse à la hâte.

    Le 14 dernier, à neuf heures du matin, le piqueur de M. Lassée brisait à vue, dans les enceintes de Jauvigières, sur un vieux dix-cors qui, dès le lancer, avait manifesté des intentions hostiles, en faisant mine de charger ce jeune homme, qui n’avait échappé à ce danger imprévu qu’en saluant l’animal des deux fanfares de circonstances : la Vue et la Royale.

    Une demi-heure après, les chiens réunis de MM. Lassée, baron Des Graviers et Roux de Reilhac, étaient découplés sur la brisée et partaient à fond de train sur cette voie saignaale.

    L’animal, vigoureusement poussé, contourne la maison forestière de la Jauvigière, prend l’eau à la mare du même nom; traverse les tailles du Logis de la Fosse, celle des Guille-Douc et s’engage, en plaine, dans la direction du bourg de Brie; se fait relancer dans un petit bois et rentre en forêt par son contre; retourne à son lancer, traverse les enceintes de la Jauvigières, de la Grande-Fosse, saute la route d’Angoulême à Chasseneuil, prend l’eau au lac du Rossignol, traverse l’immense quartier de Glanges, le village du même nom, situé au milieu des bois, et débuche dans les vignes, jusque dans les douves du château de Fayolle, dont nous admirons, en passant au galop, les imposantes ruines et la magnifique position, qui domine au loin toute la contrée. Puis, toujours courant à une allure que nous avons peine à suivre, le cerf obliqué un peu sur la gauche, traverse deux ou trois villages dont le nom m’échappe; bientôt il est aperçu sur une éminence, majestueusement campé, attendant la mèute de pied ferme. Au bruit des trompes il se décide à courir encore quelques centaines de mètres; mais il est bien vitè rejoint par les chiens qui lui mordent les jarrets. C’est alors que commence un hallali des plus émouvants. Le cerf, en furie, charge les chiens à outrance; plusieurs sont foulés et blessés; mon fils, qui aime ses chiens plus que lui-même, se précipite, le couteau de chasse au poing, à l’aide des braves toutous, mais il est chargé, renversé par le cerf, qui le foule aux pieds et lui passe sur le corps, heureusement sans le blessér. Mon piqueur Buisson, résolument accouru au secours de son jeune maître, a le même sort; moins heureux, il reçoit un coup d’andouiller qui lui laboure la cuisse; mais le brave garçon, en tombant, a pu frapper d’un vigoureux coup de dague ce terrible animal qui s’affaissé pour ne plus se relever, à la grande satisfaction des témoins justement inquiets de cette scène, qui, bien que grandiose, pouvait devenir désastreuse.

    Nul doute que, du haut des cieux le grand saint Hubert veille sur ses disciples; il n’a pas permis qu’un malheur vint attrister une journée qui lui était consacrée par bon nombre des plus fervents. Grâces donc lui soient rendues au plus haut des cieux. J’espère que le blessé en sera quitte pour une quinzaine de jours de repos forcé.

    Cette superbe chasse a duré deux heures; le cerf était énorme de taille et portait un bois magnifique. Il avait été si durement mené, sur ce terrain couvert de pierres, qu’il était complètement dessolé. Étaient présents à l’hallali, Sociétaires : MM. A. Lassée, L. Lassée, baron Des Graviers, de Ferrières, de Lavigerie, E. Machenaud, de Reilhac (père et fils). Invités : MM. S. Auguis, L. Duquérois, G. Callaud, Bernard, G. de Nieuil, de Magnac, G. de Saluces. Je saisis cette occasion, mon cher Directeur, pour · vous renouveler mes sentiments de gratitude pour les deux fox-hounds que vous avez eu la bonté de me procurer, ils se sont vaillamment comportés à cette chasse. J’espère bien en tirer excellente et nombreuse lignée.

    Victor Roux de Reilhac.

    (Journal des chasseurs, de Léon Bertrand)

  • Au Camp du Quesnoy, le 13 Septembre 1709.

    Monsieur et très cher Père,

    J’ai reçu celle que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire, en datte du dernier aout, laquelle me fut rendue par M. Barrault au camp de Denaing, la citadelle de Tournay ayant été obligée de se rendre faute de vivres et de munitions ; nous avons quitté ce camp le 7 de ce mois pour nous retirer du coté de Mons et tacher de rompre les desseins des ennemis qui en voulaient à cette place ; nous fûmes camper ce jour-là à Kieuvrin, trois lieues par de là Valenciennes. Le 8, les Ennemis ayant passé la Haine, M. le Chevalier de Luxembourg ne l’attaqua pas à leur passage à cause de l’infériorité de son détachement ; ils entrèrent dans nos lignes et vinrent camper à Gerriel pour investir Mons. M. le Maréchal de Villars, pour mettre à couvert tout le pays de Bavay et Maubeuge et reppousser les ennemis de manière qu’ils ne puissent faire leurs courses en deçà de Mons, résolut d’avancer et de passer la rivière d’Hosneau pour s’emparer de la trouée de Bavay ou d’Aulnois dans laquelle nous entrâmes le lundi 9, après avoir fait faire à une armée la plus belle marche, et la plus forte et la plus déterminée qui se soit encore vue. Le Dimanche, la veille, il nous passa en revue avec M. le Maréchal de Boufflers, et gratieusa chaque troupe en particulier de manière que chacun fut content. Lorsqu’il vint à passer devant les gendarmes de la garde, M. le Maréchal de Boufflers, pour nous faire honneur et nous rendre justice, dit tout haut : « Voilà une troupe invincible ». A quoi M. le Maréchal de Villars ajouta : « Et invaincue ». Ce jour là on fit marcher tous nos équipages du coté de Valenciennes et chacun se disposa à voir l’Ennemi de moment en moment ; nous restâmes couchés en bataille, et la nuit le pain fut distribué à toute l’armée. Le Lundi 9 nous marchâmes aux Ennemis, passâmes l’Hosneau et entrâmes dans la trouée d’Aulnois, qui devient à présent fameuse par la grande bataille qui s’y est donnée et dont on parlera dans tous les siècles, Dès notre arrivée, nous nous rangeâmes aussitôt en bataille, nous dressâmes nos batteries de canons au nombre de 80 pièces et reçumes la bénédiction de nos aumôniers, tout prêts à recevoir les Ennemis qui marchaient à nous en grande diligence du côté d’Aulnois, mais nous ne fîmes ce jour-là que nous canoner de part et d’autre ; les ennemis avaient 150 pièces en batteries, avec plusieurs mortiers qui faisaient un carrillon terrible et qui nous ont abîmé une infinité de braves gens et de chevaux. Le matin nous fîmes 4 à 500 maraudeurs prisonniers. Le 10 mardi au lever du soleil on recommença à se canoner jusqu’au soir. Toute la nuit on avait travaillé à faire des retranchements au haut de la trouée du côté d’Aulnois, et le soir on dressa des fascines. M. le Marquis de Coatquin, maréchal de camp, eut la jambe emportée d’un boulet de canon. M. d’Albergothy, lieutenant général, eut une conférence d’une demi-heure avec quelques officiers des ennemis qui purent profiter de ce moment pour reconnaître nos retranchements. Nous perdîmes quinze chevaux dans l’Escadron, avec un de tué et 5 de blessés ; il y eut deux coups de canon sur l’Escadron arrêté près de nous, un boulet vint donner dans le poitrail du cheval de M. de Frontigny, un de nos brigadiers qui est près de Saint-Quentin, qui sortit par le fondement et vint percer le poitrail d’un autre cheval qui le suivait. L’autre coup est plus surprenant et si je ne l’avais vu je ne le croirais pas, un boulet vint directement mourir au pied d’un cheval, lui emporte le fer sans le blesser.

    Le Mercredi 11, jour qui fut jour de la bataille d’Oudenarde qui se donna l’année dernière au 11 juillet qui était aussi un mercredi, toute la Maison du Roy, et la Gendarmerie portèrent la fascine aux retranchements et vers nos batteries pour y faire des épaulements. Un brouillard épais qui suivit l’aurore. favorisa nos travailleurs et donna le temps à toute la cavalerie de faire plusieurs mouvements sans que les ennemis aient pu nous inquiéter par leur canon, qui de leur côté se disposaient à venir nous forcer dans nos retranchements. Sur les huit heures du matin, le brouillard étant dissipé par le soleil, qui m’a paru cette journée luire plus que jamais, nous nous vîmes en présence des Ennemis qui marchaient à nous tout de bon ; nous commençâmes à les saluer de toute une artillerie qui sur la droite et sur la gauche fut pendant trois bonnes heures des mieux tirée ; ensuite le combat commença, ils nous attaquèrent tout d’un coup par la droite, la gauche et le centre avec 20.000 grenadiers. Nous les repoussâmes sur la droite fort vigoureusement, mais sur la gauche ils nous forcèrent après cinq heures de résistance, et le centre ne tenant presque plus a rien, les gardes françaises et les gardes suisses ayant plié – sans quoi nous aurions gagné la bataille – M. le Maréchal de Villars qui était déjà blessé assez dangereusement au jaret d’un coup de balle, après avoir eu son cheval tué sous lui, pour donner le temps à toute notre infanterie de se retirer, fit amener toute la Maison du Roy qui chargea les ennemis sur la droite, pendant que la gendarmerie chargeait sur la gauche. Ce combat de cavalerie fut aussi violent et aussi opiniâtre que celui d’infanterie ; pendant trois grandes heures nous les chargeâmes d’une manière qui, si la cavalerie blanche qui était derrière nous avait voulu nous suivre, il ne serait pas revenu un seul de leurs cavaliers; dès que nous paraissions, il se rampaient et se sauvaient ; mais la Maison du Roy s’affaiblissant à force de combattre et de perdre du monde, après voir chargé des 6 et 7 fois et même par pelotons, et se voyant abandonnée du reste de notre cavalerie, pour ne pas tomber entre deux feux, l’infanterie des ennemis étant toute avancée à droite et à gauche dans les bois, qui commençaient déjà à nous canarder, nous nous retirâmes de cette maudite trouée pour revenir sur la hauteur entre Taisnières et Bavay, mais en si bon ordre et avec une contenance si hardie et si fière qu’ils n’osèrent nous poursuivre ni charger notre arrière garde ; de l’aveu des ennemis mêmes, on n’a jamais fait une plus belle retraite, Nous leur avons bien abandonné le champ de bataille, que nous ne pouvions garder, notre infanterie ayant été repoussée et la leur s’étant emparée des bois ; mais nous leur avons tué deux fois plus de monde, pris plus de drapeaux et d’étendards, fait presque autant de prisonniers et leur ayant pris autant de canons. Jamais bataille n’a été plus sanglante que celle-ci, et de mémoire d’homme on n’a jamais essuyé une si terrible canonade et qui ait duré plus longtemps. Ils jettaient jusqu’à des bombes (au milieu de nos escadrons qui nous enlevèrent des douzaines de chevaux à la fois avec plusieurs hommes.

    M. Beudiac (?) qui est dans la gendarmerie, frère de M. Reise (?), a eu son cheval tué d’un éclat de bombe, on l’a cru mort, mais il est revenu en bonne santé. La Maison du Roy a le plus souffert de cette canonade ; nous étions juste derrière l’infanterie et nos batteries, dont quelques-unes ayant cessé de tirer, faute de munitions, furent démontées par les leurs et d’autres nouvelles qu’ils dressèrent directement vis-à- vis les mousquetaires et nous, gendarmes, dont plus de 80 furent en un instant tués ; ils nous choisissaient et nous tiraient , comme avec le fusil. Notre cavalerie a beaucoup souffert aussi de cette canonade. Je ne compte pas à moins de 50.000 hommes, de part et d’autre, qui sont hors de service Les ennemis, de leur propre aveu, perdent vingt-cinq mille hommes, mais ils en perdent bien davantage. Nos prisonniers qui viennent de leur armée rapportent que sur le champ de bataille, à l’endroit où étaient nos retranchements, il y a des monceaux de corps morts de la hauteur d’un homme ; ils s’en étaient même trouvés dans le milieu du combat pour faire des retranchements. On doit demain envoyer un détachement sur le champ de bataille pour enterrer les corps morts, de concert avec les ennemis, qui en enverront aussi un, et pour retirer les pauvres blessés qui languissent depuis deux jours.

    Nous ne perdons pas plus de 500 prisonniers, et 1.500 hommes hors de combat ; beaucoup d’officiers de distinction tués ou blessés, dont on ne peut pas encore donner une liste exacte. Voici les noms de quelques-uns que je sais et que vous pouvez connaître :

    Blessés

    M. le Maréchal de Villars.
    M. d’Albergothy, Lieutenant général.
    M. le Comte de Tournemines, Brigadier.
    M. le Duc de Guiche.
    M. le P. Charles, prisonnier.

    M. de Massé, Maréchal des Logis des Mousquetaires noirs.
    M. des Vignaux, Maréchal des Logis, jarret emporté.
    M. Keringnart (?), cuisse emportée.
    M. Dauzat, sous-Brigadier.

    (Officiers des Mousquetaires noirs.)

    M. du Codiou, des Grenadiers à cheval.
    M. de Taville, gendarme de Soissons.
    M. le Marquis de Gaulnier (?).
    M. le Marquis d’Equevilliers, officier des gendarmes de la Garde.

    Tués

    M. de Tournefort, Maréchal de brigade dans les Gardes du Roy.
    M. du Clozel, garde du corps, d’un boulet de canon à la tête.
    M. Vaubripiat (?), garde du corps, d’un boulet de canon dans l’estomac.
    M. de la Fosse, sergent des Grenadiers à cheval.
    M. Viart, Maréchal des Logis des Mousquetaires.
    M. le Chevalier de Crouy, Brigadier d’armée.
    M. le Baron de Palavicini, Lieutenant général.
    M. de Chemerault, Lieutenant général.
    M. de Canly (?), sous-Brigadier des Mousquetaires noirs.
    M. Degrainbert, Commandant des Mousquetaires gris.

    Plus de 500 gardes du Roy sont tués ou blessés. Plus de 120 mousquetaires, 20 à 30 cheveaux légers. Plus de 60 gendarmes de la Garde. Trente grenadiers ou environ hors de combat. M. de Champagnac a eu un cheval de tué sous lui ; nous perdons une infinité de chevaux ; nous avons des Régiments tout défaits, surtout celui de Bretagne où il ne reste pas 150 hommes ; je n’ai encore pas eu de nouvelles du cousin et du fils de M. Redon qui y étaient ; ni de M. Barault, frère de Mademoiselle de la Haye.

    Pour moy, grâce au Seigneur, je suis revenu de cette cruelle bataille en très bonne santé et mes chevaux en bon état ; je n’ai pas monté mon limousin dans l’action, mais ma jument qui m’a tiré d’affaire on ne peut pas mieux. Si je n’avais pas eu cette précaution, je n’en serais jamais revenu ; mon limousin m’aurait emporté avec sa trop grande ardeur au milieu des ennemis. Je l’ai échappé belle plus de mille fois et il me semble aujourd’hui que je suis ressuscité ; il ne devait pas revenir un seul du combat qui a duré jusqu’à 4 et 5 heures du soir. Les ennemis couchèrent sur le champ de bataille, et nous nous sommes retirés au Quesnoy. Le lendemain ils sont rentrés dans leur camp à Geuvixf, pour se disposer à faire : le siège de Mons, d’où nous entendons déjà le canon. Ils sont fâchés d’avoir donné cette bataille qui leur est beaucoup préjudiciable par la perte considérable qu’ils ont fait à leurs troupes; ils n’ont que l’honneur du champ de bataille dont le Prince Eugène et Mylord Malborough profitent seuls et non les alliés ; le Prince Eugène a été blessé d’un coup de balle qui lui a effleuré la joue ; c’est lui seul qui a voulu que l’on nous attaque. M. de Malbarough et les Etats de Hollande s’y étaient opposés ; pour 3 drapeaux et 4 ou 5 étendards qu’ils nous ont pris, nous en avons plus de 30 à eux et huit pièces de leurs canons ; ils n’en ont que sept des nôtres. Nous ne savons pas encore le nom qu’elle portera, notre grand bataille. Si c’est celui du lieu où était le quartier général, c’est la bataille de Taisnières ; si c’est celui du champ de bataille, c’est la bataille de Malplaquet. C’est M. de Boufflers qui commande à présent, il a combattu le roi d’Angleterre à la tête de la Maison du Roy comme un lion. Nous allons travailler à couvrir Maubeuge et , ce pays-ci par des lignes que l’on va tirer.

    Les ennemis ont perdu une infinité d’officiers, près de 70 colonels et 7 généraux ; ils se sont servis dans leur artillerie de pierriers pour abîmer une infanterle qui en a beaucoup souffert ; il y eut de leurs bombes qui ont tué quelques quinze chevaux à la fois. Par cette bataille, les Français ont recouvré leur ancienne gloire et de l’aveu des ennemis, on ne peut combattre avec plus d’intrépidité et de bravoure que nous n’avons combattu, surtout la Maison du Roy, dont M. de Malborough, le Comte de Tilly et autres généraux des Ennemis ont fait tout publiquement l’éloge.

    Nous espérons que les Ennemis ne pourront faire le siège de Mons, leur arméé étant toute délabrée, et nous pensons bien nous cantonner vers la fin de ce mois.

    Vous excuserez mon griffonage, je n’ai pas eu le temps de peindre ni de polir.

    J’assure de mes respects très humbles, ma très chère Mère, salue avec votre permission mes frères et sœurs et Mademoiselle de Belleville, sans oublier tous nos bons amis ; c’est avec soumission que je me dis, Monsieur et très cher Père,

    Votre très humble et très obéissant fils,

    Dehagues de Belleville.

    (Bulletin de la Société historique de Compiègne, 1938)